La Corée du Sud a connu, dans la nuit du mardi 3 au mercredi 4 décembre, une crise politique inédite depuis plus de quarante ans.
Dans la foulée, l’armée a pris position autour du Kuk Hoe, le Parlement monocaméral de la Corée du Sud, dans lequel étaient retranchés près de 200 parlementaires.
Mais ces derniers ont voté le blocage de la loi martiale, contraignant le président à renoncer à sa décision.
JUNG YEON-JE / AFPA 22 h 25 (à Séoul, 14 h 25 à Paris), mardi, le président Yoon Suk Yeol est apparu à la télévision.
La plus importante intersyndicale de Corée du Sud a appelé, elle, à une « grève générale illimitée » jusqu’à la démission du président Yoon Suk Yeol.
Auteur(s): mediacongo.net
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