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Le poisson chinchard communément appelé « mpiodi » est devenu, depuis quelques mois, rare sur les marchés et le prix de son carton de 30 kg se négocie à 84 USD au lieu de 59 comme d’habitude, à Kinshasa.
Réagissant jeudi 21 novembre à Radio Okapi, certains commerçants attribuent cette hausse à la rareté de ces produits dans les chambres froides où ils s’en approvisionnent.
Celles qui parviennent à en trouver, les revendent plus chers que prévu :« Nous venons à 4 heures pour acheter les chinchards mais lorsque nous vendons au marché les gens n’achètent pas ».
Les chinchards se raréfient souvent pendant la saison sèche mais pendant la saison de pluie il n’y en a ».
D’autres sources interrogées lient cette situation à la rareté de certains produits, y compris le chinchard, en cette période de l’année.

S’ils sont des Congolais, qu’ils restent au Congo et utilisent la monnaie congolaise.
Mais le mal en est que les gens sont mal avertis ».
Ce qui explique que la monnaie de ce pays est plus en circulation dans la chefferie de Watalinga que le franc congolais, monnaie nationale.
La présidente de la société civile de Watalinga exhorte le Gouvernement à désenclaver la région afin de faciliter une meilleure circulation de la monnaie nationale notamment à Kamango, chef-lieu de cette chefferie :« Lorsque l’administrateur territorial a pris cette décision, nous lui avons dit que la population de Kamango est prête à utiliser la monnaie congolaise.
Mais qu’il nous amène des banques ou des changeurs pour que la population ait la facilité d’utiliser cette monnaie congolaise ».

Selon lui, plusieurs véhicules sont bloqués de part et d’autre de deux rives du fleuve Congo depuis que le bac de l’Office des routes est tombé en panne.
Les difficultés sont nombreuses et la plus grande est celle de la traversée.
Vous venez de constater que depuis que le bac est sous l’eau au niveau de Mulenda, la traversée devient un case tête.
Les gens, les opérateurs économiques éprouvent beaucoup de difficultés pour assurer la traversée de leurs véhicules ici au niveau du beach central de Kasongo rive ».
En attendant, les opérateurs économiques utilisent trois pirogues motorisées, y étalent des planches pour assurer la traversée des véhicules, des personnes et des autres biens.

L’Assemblée nationale a voté vendredi 22 novembre le projet de loi des Finances exercice 2025 moyennant les amendements de la commission économique, financière et contrôle budgétaire.
Ce vote est intervenu à trois semaines de la clôture de la session budgétaire de septembre 2024, après l’examen minutieux du projet de loi de finances déposé par le Gouvernement.
Ce budget pour l’exercice 2025 s’élève à 49.846, 8 milliards de francs congolais soit environ 18 milliards des dollars.
Cette loi des finances connait une augmentation des crédits alloués aux investissements et des fonds destinés à des secteurs tels que la sécurité, l’agriculture, pêche et élevage mais aussi le développement rural.
Et lors du débat général qui a suivi la présentation de ce projet de finances pour l’année 2025, bon nombre des députés nationaux avaient exprimé leurs préoccupations sur la viabilité de ce projet et les recettes projetées ainsi qu’à la politique salariale du gouvernement.

Des produits vivriers en provenance de l’étranger inondent les marchés de Goma au détriment des produits locaux, a constaté vendredi 22 novembre un reporter de Radio Okapi.
A la suite de la guerre que connait la province du Nord-Kivu, toutes les voies d’approvisionnement internes de la ville sont coupées.
Les agriculteurs ont abandonné leurs champs pour se mettre à l’abri dans des sites des déplacés autour de Goma.
Ces produits pour la plupart proviennent des pays tels que la Tanzanie, le Kenya, l’Ouganda et le Rwanda.
Les quelques produits des champs qu’on trouve ici sont très chers.

L’Office national des produits agricoles du Congo (ANAPAC) a déploré samedi 23 novembre la vente illégale du café de l’Ituri vers les pays frontaliers.
Cette vente illégale occasionne, toujours d’après lui, un énorme manque à gagner au pays, particulièrement à la province de l’Ituri.
Il s’agit entre autres du territoire de Mahagi, qui produit du café arabica dans presque toutes ses chefferies.
Les exportations classiques se font rares, et ce sont les pays voisins qui tirent profit du café Iturien », dénonce-t-il.
Cela est dû à la porosité des frontières, et au manque d’opérateurs économiques qui respectent les normes d’exportation.

La directrice intérimaire de la Commission nationale pour la prévention routière, (CNPR) en Ituri, est accusée de détournement de plus de cent mille dollars américains par un groupe de travailleurs de ce service étatique.
Dans une correspondance adressée au ministre des Transports et Voies de communication, treize agents et cadres de la CNPR dénoncent la mauvaise gestion et le détournement des redevances perçues auprès de la société Kibali gold mining.
Les travailleurs pétitionnaires exercent dans les bureaux de la CNPR installés à Mambasa, Aru, et Bunia, d’autres sont des cadres de la direction provinciale.
« La directrice provinciale a déjà détourné plus de cent mille dollars, et nous avons des preuves en annexe de cette correspondance.
La directrice provinciale intérimaire de la CNPR Ituri, Irene Bubulenga, rejette en bloc ces accusations.

Boniface Matabishi est Directeur Général de Biakwetu Life, Une ASBL oeuvrant pour l’insertion socio-culturelle et la promotion des droits des personnes vulnérables.
En 2016 il fait ses débuts dans le monde culturel et événementiel avec la création de l’agence Le Seul, une agence de mannequinat et des ventes qui porte le nom de sa marque vestimentaire “Le Seul/La Seule” officialisé en 2017.
En Mai 2022, il lance la deuxième phase du projet Byakwetu Live avec une approche socio-humanitaire à travers la promotion des artistes vivant avec handicap.
Byakwetu Live qui était un simple projet Culturel devient toute une structure et est baptisée BYAKWETU LIFE ASBL avec 4 domaines d’intervention: Byakwetu Care, Byakwetu Live, Byakwetu Scholarship, Byakwetu Human Rights.
A ce jour, cette asbl encadre une vingtaine d’artistes en situation de handicap.

Laurent Kasindi est un Congolais engagé dans les actions sociales et culturelles.
Il est directeur de la foire entrepreneuriale « Independence Cha cha » organisée du 27 au 30 juin 2023 à Bukavu.
En effet, pour les organisateurs de cette foire, la première indépendance est économique.
Ce qui l’a mené à sortir le livre « Ces vérités qui nous mentent », qui lui a valu le prix national de littérature congolaise Makomi en 2018.
Ecrivain, journaliste, opérateur culturel, aujourd’hui Laurent travaille dans la transformation des conflits et la construction de la paix.

NDAO HERI Naomie, 21ans, étudiante à l’Université catholique la Sapientia en G2 dans la faculté des sciences de l’information et de la communication.
Avec aucune expérience dans la mode ou le mannequinat, elle s’est inscrite dans le concours Miss Kivu avec comme objectif : Remporter la couronne.
Malgré qu’elle n’ait jamais fait cela avant, elle s’est engagée dans cette compétition de beauté avec détermination.
Et cela a payé, le 06 août 2023, lors de la finale tenue à Bukavu, elle est élue Miss Kivu 2023 sur les 22 finalistes qui y ont pris part.
Elle est également chroniqueuse à la radio Kivu stars Goma.