CongoKiosk

Plus de Trente(30) écoles des sections primaires et secondaires, peinent à reprendre les cours dans plusieurs agglomérations des chefferies Baswagha et Bapere en territoire de Lubero, au Nord-Kivu.
“Pas d’activités scolaires dans presque toutes les écoles de la partie Ouest de Lubero.
A celles-ci s’ajoutent d’autres qui se trouvent dans les villages qui étaient attaqués les deux derniers mois.
C’est plus de 30 écoles qui peinent à reprendre les activités” a rapporté à 7SUR7.CD Vianney Vitswamba, défenseur des droits humains, au cours d’une interview exclusive accordée ce mercredi 22 janvier 2025.
Que les éléments des FARDC intensifient les patrouilles dans la profondeur afin de permettre la reprise des activités dont les cours dans les écoles”, a-t-il exhorté.

Dans un communiqué de presse parvenu à la rédaction de 7SUR7.CD ce mercredi 22 janvier 2025, la plateforme Maintecas annonce le lancement de la première place de marché en ligne pour la mise en relation des utilisateurs et des freelances à proximité dans le cadre de la révolution du monde de travail en République Démocratique du Congo (RDC).
À en croire Joe Shortano, co-fondateur et CEO de Maintecas, la technologie de cette plateforme s’adapte aux besoins des utilisateurs pour préserver la proximité qui les unit.
Nous avons donc créé le premier marché de services à proximité pour permettre aux utilisateurs de travailler avec les meilleurs talents freelances près de chez eux.
Pour sa part, Levy Kalala, co-fondateur et COO de Maintecas a noté que Maintecas apporte principalement les outils aux freelances pour améliorer leur situation sociale et garder leur flexibilité.
On s’occupe de tout ce qu’il ne veut pas faire », rapporte ce même communiqué de presse.

Le 24 janvier marque la Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante, une occasion de célébrer la richesse et la diversité des patrimoines culturels africains et afro-descendants.
À Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo, le Desk Femme d’Actualité.cd a rencontré ce mercredi 22 janvier, des femmes qui jouent un rôle dans la préservation des traditions et des savoir-faire locaux.
Ces femmes sont des actrices dans la transmission orale des histoires, ainsi que dans la valorisation de l’artisanat et des modes vestimentaires traditionnels.
Dans la commune de Maluku, Madeleine Mungonzi, 54 ans, nous ouvre la porte de sa maison.
Madeleine raconte des récits de royaumes disparus, des batailles historiques et des proverbes ancestraux qui façonnent encore aujourd’hui la société congolaise.

Le 24 janvier marque la Journée mondiale de la culture africaine et afro-descendante, une occasion de célébrer la richesse et la diversité des patrimoines culturels africains et afro-descendants.
À Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo, le Desk Femme d’Actualité.cd a rencontré ce mercredi 22 janvier, des femmes qui jouent un rôle dans la préservation des traditions et des savoir-faire locaux.
Ces femmes sont des actrices dans la transmission orale des histoires, ainsi que dans la valorisation de l’artisanat et des modes vestimentaires traditionnels.
Dans la commune de Maluku, Madeleine Mungonzi, 54 ans, nous ouvre la porte de sa maison.
Madeleine raconte des récits de royaumes disparus, des batailles historiques et des proverbes ancestraux qui façonnent encore aujourd’hui la société congolaise.

Je viens souvent avec 5 000 francs congolais et je rentre à la maison avec la nourriture au complet.
Au-delà de la hausse des prix, une autre inquiétude plane sur Goma : le risque que le M23 bloque les accès à Minova.
« Nous espérons que tout cela ne durera pas, mais pour l’instant, c’est nous, les petits, qui en payons le prix.
Depuis l’occupation de Masisi, Rutshuru et d’autres villages, les denrées alimentaires ont connu une rareté et du coup une hausse de prix sur le marché à Goma.
Yvonne Kapinga, à Goma

Emmanuel Assani Wa Losomba, créateur des armoiries en vigueur en République démocratique du Congo, a été honoré vendredi lors d’une soirée d’échange de vœux organisée à l’espace culturel Kimya, à Kisangani.
L’histoire d’Assani Wa Losomba, qualifié de « héros méconnu », soulève des interrogations sur la place et la considération des artistes en RDC.
« La fleur représente un grand artiste négligé », a-t-il expliqué, dénonçant l’insuffisance de l’appui gouvernemental au deuil d’Assani Wa Losomba.
Durant sa vie marquée par la misère, selon sa famille, Assani Wa Losomba a servi comme officier de police judiciaire (OPJ) au sein de la PNC.
Parmi leurs revendications figurent l’engagement de deux de ses enfants et la restitution d’une médaille d’or qui lui avait été volée peu avant sa mort dans un hôtel de Kinshasa.