Institut des musées nationaux du Congo
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Tshikapa, 4 mars 2025 (ACP).- La 4 ème édition du festival Grand Kasaï organisée sous le thème ; « Une paix durable pour un Congo meilleur », a été lancée lundi à Tshikapa dans la province du Kasaï au centre de la République démocratique du Congo.
Dans son allocution, il a exhorté les élèves présent à cet évènement, à faire preuve d’assiduité et de détermination afin d’honorer la province lors de la phase finale du concours tout en saluant cette initiative qui met en lumière l’identité culturelle du Grand Kasaï.
Elle a aussi mis l’accent sur la cohésion sociale, le respect du genre, la non-violence, l’épanouissement de la jeunesse du Grand Kasaï et la promotion de la paix à travers divers échanges est une opportunité.
Le Centre Culturel de la Jeunesse a été créé en 2020 avec le soutien de plusieurs jeunes vivants dans l’espace Grand Kasaï.
Son objectif est d’accompagner les jeunes dans le développement de leurs talents naturels, la relance des activités culturelles dans le Grand Kasaï, la promotion des droits des enfants, la protection des droits des femmes, ainsi que l’initiation à l’entrepreneuriat et à l’agriculture.
Kinshasa, 4 mars 2025 (ACP).- Le Président du Sénat de la République démocratique du Congo (RDC) a rendu visite, dimanche, aux jeunes nouvellement recrutés et regroupés pour la formation militaire, au Camp Nzilo, à 30 km du centre de Kolwezi, dans la province du Lualaba, dans le sud-est du pays, selon un communiqué parvenu lundi à l’ACP.
« Dans le cadre de la sensibilisation et mobilisation de la jeunesse, le président du Sénat, Sama Lukonde, visite le centre de Nzilo où sont regroupés plus de 600 jeunes qui ont volontairement pris l’engagement de s’enrôler dans l’armée pour défendre l’intégrité de la RDC », a-t-on lu.
Porteur d’un message fort d’encouragement, le président du Sénat congolais a exhorté ces jeunes recrues à plus de patriotisme et d’engagement pour barrer la route aux envahisseurs.
Le président du Sénat a apporté des dons en vivres et non-vivres.
« Le message ici, c’était de venir constater la matérialisation de l’appel à la mobilisation totale lancé aux jeunes par Son Excellence Monsieur le Président de la République, Félix Tshisekedi.
Les travailleurs de la société Anhui Congo d’investissement Minier du Kasaï-Oriental (SACIM) sont descendus dans la rue ce lundi 03 Mars 2025 à Mbujimayi .
Objectif, exprimer leur colère face à la crise actuelle que traverse la société.
Les travailleurs de la SACIM totalisent déjà 13 mois d’arriérés de salaire,et la société fait face à la restriction de la vente du diamant, suite à un arrêté de 2022, restreignant la vente du diamant de la SACIM à un seul groupe avec des prix imposés, qui ont quitté de 12 à 8 dollars le carat.
Des mesures qui selon le représentant des travailleurs John Numbi, mettent en difficulté la viabilité économique de l’entreprise qui tend à fermer ses portes.
Implantée à Miabi dans la province du Kasaï-Oriental, la société Anhui d’investissement minier produit en moyenne 300.000 carats de diamants et emploient environ 700 personnes.
Les travailleurs de la société Anhui Congo d’investissement Minier du Kasaï-Oriental (SACIM) sont descendus dans la rue ce lundi 03 Mars 2025 à Mbujimayi .
Objectif, exprimer leur colère face à la crise actuelle que traverse la société.
Les travailleurs de la SACIM totalisent déjà 13 mois d’arriérés de salaire,et la société fait face à la restriction de la vente du diamant, suite à un arrêté de 2022, restreignant la vente du diamant de la SACIM à un seul groupe avec des prix imposés, qui ont quitté de 12 à 8 dollars le carat.
Des mesures qui selon le représentant des travailleurs John Numbi, mettent en difficulté la viabilité économique de l’entreprise qui tend à fermer ses portes.
Implantée à Miabi dans la province du Kasaï-Oriental, la société Anhui d’investissement minier produit en moyenne 300.000 carats de diamants et emploient environ 700 personnes.
FM: Kinshasa 103.5 :: Bunia 104.9 :: Bukavu 95.3 :: Goma 95.5 :: Kindu 103.0 :: Kisangani 94.8 :: Lubumbashi 95.8 :: Matadi 102.0 :: Mbandaka 103.0 :: Mbuji-mayi 93.8
Des cadres et agents de l’Institut des musées nationaux du Congo, des experts du ministère de la Culture et Arts et ceux de l’UNESCO ont recommandé, vendredi 22 novembre, au Gouvernement de mettre en place une politique des institutions muséales nationales.
Ils ont fait cette recommandation à la clôture des travaux des Etats généraux sur la politique nationale des musées en RDC.
C’est toute une politique que nous sommes en train de mettre en place pour réapproprier au Congolais son identité culturelle ».
Pour sa part, le représentant de l’UNESCO à ces assises, Augustin Bikale, a assuré de l’accompagnement de son institution dans la mise en place des cadres juridique et institutionnel des musées en RDC.
« L”UNESCO reste dispose à accompagner l’Institut de musées nationaux du Congo dans la mise en place des politiques dans l’enrichissement et la mise à jour du cadre juridique et institutionnel des musées en RDC pour que ces derniers jouent leurs rôles », a-t-il souligné.
Les jeunes filles font souvent face à des barrières dans le domaine de la technologie.
Beaucoup ne savent pas utiliser un ordinateur, naviguer sur Internet, gérer des fichiers ou utiliser des logiciels essentiels comme Microsoft, World, Excel et autres applications de la bureautique.
Et pourtant, le numérique offre aujourd’hui des nombreuses opportunités professionnelles et sociales.
Pour des nombreux experts, l’alphabétisation numérique des filles reste un atout majeur pour leur permettre de devenir autonome dans la vie.
– Quelle est l’importance de l’inclusion numérique des jeunes filles et des femmes congolaises ?
Les établissements scolaires et universitaires sont des lieux d’apprentissage essentiel où les apprenants acquièrent des connaissances et développent des compétences qui les préparent à l’avenir.
Avoir de bonnes notes à l’école est souvent perçu comme un indicateur de succès académique.
Il est cependant, difficile pour des nombreux apprenants de mieux assimiler la matière enseignée devant leur permettre de distinguer ou de satisfaire aux épreuves d’évaluations des enseignants pendant l’année scolaire.
C’est qui est facteur de redoublement scolaire pour plusieurs apprenants.
– Comment mieux apprendre ses notes scolaires et académiques ?
À la question de savoir : peut-on réviser la Constitution de la République Démocratique du Congo ?
D’après ces derniers, on peut réviser certaines dispositions constitutionnelles, à l’exception de celles qui sont intangibles, en vertu de l’article 220.
Cependant, le chef de l’Etat Felix Antoine Tshisekedi a au cours d’un meeting tenu le 19 novembre dernier sur la place de la poste à Lubumbashi, dans le Haut-Katanga, renouvelé son intention de changer la constitution de la RDC.
Dès 2025, un comité sera mis en place pour travailler sur ce projet a renchérit le chef de l’Etat.
-Est-ce que c’est possible de modifier ou de changer cette loi fondamentale et quels sont les préalables à réunir avant de changer ou de réviser la constitution en vigueur en RDC ?
La RDC souffre d’un manque criant d’une main d’œuvre qualifiée dans le domaine de l’environnement et développement durable, considéré comme des professions aux valeurs d’employabilités assez élevé, au regard des potentialités que le pays regorge.
En sa qualité de levier de développement et de certification des compétences, l’Institut national de préparation professionnelle (INPP) organise des filières de formation à compétence professionnelle dans le secteur des métiers verts.
– Quelles sont les filières qui ont fait l’objet de la présentation de l’INPP à la COP 29 de Bakou ?
– Est-ce que ces filières ont de l’avenir en RDC ?
– Comment mobiliser les partenaires à mettre des moyens conséquents dans le développement des métiers verts en RDC ?
Plusieurs quartiers de la ville de Kinshasa, capitale de la RDC se retrouvent sous les eaux chaque fois qu’une pluie s’abat.
Pour bon nombre des kinois, cette situation est due au manque de curage des caniveaux et des rivières de la capitale congolaise.
La prolifération des constructions anarchiques serait aussi à la base des inondations à chaque précipitation.
– Comment lutter contre les inondations à Kinshasa et dans les autres grandes villes de la RDC ?
Ir Bertin Mwanambuka, géomètre-topographe a également pris part à cet entretien.
La RDC possède un immense potentiel agricole avec ses vastes étendus de terres arables, son climat favorable et ses ressources en eau abondante.
Cependant, les 80 millions d’hectares de terres arables, dont seulement une petite fraction est actuellement valorisée n’arrive pas à assurer la sécurité alimentaire et le développement de 70 % des ménages ruraux qui n’ont que comme activités principales : l’agriculture et l’élevage.
Pour aider ces ménages à améliorer leur rendement agricole et contribuer à la lutte contre le changement climatique, l’ONGI Better Life initie divers projets en faveur des fermiers dans plusieurs régions de la RDC.
– Comment bénéficier des projets agricoles et environnementaux de l’ONGI Better Life ?
Taty DILENGENDJU Mapuku discute de ce sujet avec Bernard Kilungu et Ir Blaise Molo, respectivement administrateur exécutif et coordonnateur des projets de l’ONGI Better Life/RDC.
La lithiase urinaire est une maladie méconnue par bon nombre du personnel soignant, ici à Kinshasa et l’accès aux soins de cette maladie caractérisée par la présence des pierres qui sont formées par des sels minéraux qui s’accumulent dans le rein est très difficile surtout dans les provinces de la RDC.
Leur taille est très variable, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre, selon nos sources.
– Quelles sont les causes de la lithiase urinaire ?
– Comment faciliter l’accès aux soins des patients affectés par cette pathologie en RDC et comment prévenir efficacement cette maladie ?
Taty DILENGENDJU Mapuku s’entretient sur ce sujet avec Dr Tshisekedi Kalonji Anaclet, spécialiste en radiologie.