Province

Mpox au Sud-Kivu : évasion d’une dizaine de malades du centre de traitement de Miti-Murhesa, alerte le ministère de la santé

Le ministère de la santé a également signalé un bombardement au centre de traitement de Mpox à Kalehe.
Le ministère de la santé a enregistré un total de 2 décès confirmés.
Au sujet de la vaccination, 20.736 personnes ont été vaccinées et 711 ont reçu la seconde dose, selon les données de la SE6.
Par ailleurs, le ministère de la santé annonce avoir lancé en collaboration avec l’Organisation mondiale de la Santé une campagne de sensibilisation de masse au quartier Pakadjuma, en vue de répondre aux préoccupations de la communauté sur la Mpox, les vaccins et la prise en charge.
Depuis la semaine 01 2024 à la semaine 06 2025, la RDC comptabilise à ce jour 79.519 cas suspects, dont 14.976 cas confirmés et 1.507 décès (taux de létalité de 1,51%).

Ituri : trois véhicules de transport en commun tombent des embuscades des miliciens CODECO à Djugu

2025-02-232025-02-232025-02-232025-02-23Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/17-23/camion_transporta_des%20sacs_25.pngDes miliciens de CODECO ont tendu, samedi 22 février, des embuscades contre trois véhicules de transport en commun sur différents axes routiers du territoire de Djugu en Ituri.
La première embuscade a eu lieu à Kpengbele, à 56 kilomètres au nord de la ville de Bunia, sur la route nationale numéro 27, (RN27).
Cinq passagers se trouvaient à bord du véhicule ciblé, selon des sources locales.
Les assaillants ont emporté des valises contenant diverses marchandises, notamment des vêtements, des panneaux solaires, ainsi qu’une somme d’argent estimée à 1 850 dollars américains, précisent des sources sécuritaires.
Ce même jour, deux autres conducteurs de taxi sont également tombés dans les embuscades tendues par ces miliciens sur le tronçon Katoto-Largu, une route de desserte agricole.

Haut-Katanga : le maire de Kasumbalesa appelle ses administrés à dénoncer tout mouvement suspect dans cette contrée

André Kapampa, maire de la ville de Kasumbalesa, troisième ville de la province du Haut-Katanga, appelle les habitants de cette ville située à la frontière avec la Zambie à plus de vigilance et à dénoncer tous les suspects dans sa contrée.
Cet appel intervient après des mouvements de panique constatés jeudi à Kasumbalesa où des vidéos et des audios ont inondé la toile sur des menaces rebelles à la frontière.”
La ville de Kasumbalesa vit paisiblement et ses habitants vaquent paisiblement à ses occupations, et la frontière connait des activités régulières “, précise, dans une mise au point, André Kapampa, maire de la ville frontalière de Kasumbalesa.
Face à la situation sécuritaire précaire au pays, le maire dit avoir activé ses services et la vigilance.
Les activités à la frontière de Kasumbalesa sont toujours en cours.

Haut-Katanga : Justicia Asbl appelle les autorités provinciales à reconduire le couvre-feu

Après près d’un mois du couvre-feu instauré dans les villes du Haut-Katanga par Jacques Kyabula Katwe, gouverneur de province, Justicia Asbl, une structure de la société civile spécialisée dans la défense et la promotion des droits humains, appelle à la reconduction de cette mesure.
Cette décision était consécutive à la montée des cas d’insécurité dans la région, Sud-Est de la RDC.
Avant l’instauration du couvre-feu dans le Haut-Katanga, qui va de 24 heures à 5 heures du matin, des cas de criminalité avaient pris de l’ascension surtout dans la ville de Lubumbashi.
Ses bourreaux, une dizaine, jugés et condamnés à la peine de mort.
D’où la demande de sa reconduction pour assurer davantage la sécurité de la population dans le Haut-Katanga.

Insécurité dans l’Est du pays : la RDC reste engagée dans des solutions diplomatiques ( vice-Ministre des Affaires étrangères)

Kinshasa, 3 décembre 2024( ACP).– La vice-ministre des Affaires étrangères a déclaré lundi à Kinshasa, que face à l’insécurité dans l’Est du pays, le gouvernement de la République Démocratique du Congo est engagée dans des solutions diplomatiques.
De plus, des infrastructures essentielles, telles que des écoles et des hôpitaux, ont été détruites, aggravant davantage la crise humanitaire ».
Parlant de l’évaluation post-électorale, la vice-ministre a attiré l’attention de la délégation sur les progrès réalisés par la RDC.
« Une mobilisation remarquable des électeurs dans les zones sécurisées, témoignant de leur aspiration à la démocratie et à la stabilité.
Cela inclut le financement des efforts humanitaires, la réhabilitation des infrastructures détruites, et l’appui à la réinstallation des déplacés internes.

Le député Willy Mishiki accuse le bureau de l’Assemblée nationale de freiner l’examen de la motion contre Alexis Gisaro

Le bureau de l’Assemblée nationale n’a toujours pas programmé la plénière pour l’examen de la motion de défiance contre le ministre des Infrastructures et Travaux publics, Alexis Gisaro, alors que celle-ci a été introduite depuis le 22 novembre dernier.
Dénonçant ce retard, le député national Willy Mishiki le qualifie « de violation flagrante » de la constitution et du règlement intérieur de la chambre basse du Parlement.
Elle est l’initiative de quelques députés de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS).
Mais voilà, plus de 10 jours après, elle n’est toujours pas examinée, alors que la constitution et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale accordent seulement un délai de 48 heures, dénonce le député Willy Mishiki.
Cependant, si les signatures sont réduites à moins de 50, la motion sera rejetée purement et simplement par le bureau de l’Assemblée nationale et ce, conformément au règlement intérieur.

Après combats M23-Wazalendo: situation humanitaire précaire à Bukombo

La situation humanitaire reste dégradée dans le groupement de Bukombo, chefferie de Bwito, territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).
Et donc la population vit dans la terreur à Bukombo”.
Les rebelles du M23 occupent le centre de Bukombo depuis le 13 novembre dernier.
Cependant, les combattants Wazalendo, qui en avaient été délogés, sont toujours dans les environs.
Ce qui rend la situation sécuritaire très volatile dans la zone.

Gaza: le Fatah et le Hamas discutent au Caire de la gestion de l’enclave après la guerre

Selon l’Agence France presse, un accord aurait été trouvé entre les deux mouvements sur la formation d’un comité pour administrer Gaza après la guerre.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d’accord sur la formation d’un comité chargé d’administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l’AFP auprès de négociateurs des deux camps.
Un document publié ce mardi par le journal qatarien Al-Araby Al-Jadeed, basé à Londres, fait également état d’un accord sur un comité qui administrerait la bande de Gaza après la guerre, rapporte le Jerusalem Post.
Selon le journal, ce comité « administre la bande de Gaza, et sa référence est le gouvernement palestinien et est responsable de tous les domaines ».
L’objectif du comité est de maintenir l’unité des territoires palestiniens et de renforcer les communications entre le gouvernement de l’Autorité palestinienne en Cisjordanie et à Gaza.

Vers la délivrance d’un nouveau type de passeports en RDC ( Ministre )

Parmi les problèmes les plus urgents figuraient lesretards dans les paiements, les équipements manquants, et des projets cruciaux qui n’avançaient pas comme prévu ».
Concernant le nouveau bâtiment administratif du ministère, la cheffe de la diplomatie congolaise renseigne qu’« un accord a été signé avecnos partenaires de la République populaire de Chine.
Il faut noter que c’est depuis 2020 que la RDC a résilié le contrat qui le liait à la firme belge SEMLEX pour l’impression des passeports.
En dépit de cette résiliation et du nouveau contrat signé entre le gouvernement et la firme allemande DERMALOG, Semlex a continué à imprimer des passeports, à travers sa filiale Locosem.
Mais cet accord provisoire a été prorogé plusieurs fois, exposant la RDC à des poursuites pour non exécution du contrat avec la firme allemande DERMALOG.

Les causes principales de la chute des cheveux chez les jeunes filles et les moyens de la prevenir

2024-12-032024-12-032024-12-032024-12-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/11-17/tresechev.jpgLa chute des cheveux, bien qu’elle soit souvent associée au vieillissement, peut également toucher les jeunes filles.
Voici les principales causes de la chute des cheveux chez les jeunes filles et les moyens de la prévenir.
Les carences nutritionnellesUn régime pauvre en fer, en zinc, en vitamines D et B peut fragiliser les cheveux et provoquer leur chute.
Comprendre les causes de la chute des cheveux chez les jeunes filles est essentiel pour trouver des solutions adaptées.
Avec les bons soins et une prise en charge précoce, il est possible de préserver la santé et la beauté des cheveux.

La Belgique condamnée à payer 50.000 € aux victimes de sa politique de ségrégation raciale et d’enlèvement durant l’administration du Congo belge

La Cour d’appel de Bruxelles a rendu un verdict historique en condamnant la Belgique pour crimes contre l’humanité commis durant la colonisation du Congo belge.
Pour la Cour d’appel de Bruxelles, ces pratiques s’inscrivaient dans une politique systématique de ségrégation raciale et d’enlèvement durant l’administration du Congo belge.
« C’est un jugement historique que la cour d’appel de Bruxelles vient de rendre.
La Résolution Métis reconnaît l’existence de cette sombre page de l’histoire de la Belgique et permet l’accès aux archives coloniales.
Par ailleurs, la Cour condamne l’État belge à indemniser les appelantes à hauteur de 50.000 € pour le préjudice moral résultant de la perte de leur lien avec leur mère, ainsi que de l’atteinte à leur identité et à leur lien avec leur milieu d’origine.

Les marchandises de 10 000 petits commerçants congolais bloqués au Rwanda à la suite d’une mesure du maire de Rubavu

Les marchandises d’au moins 10 000 petits commerçants congolais regroupés dans 47 associations sont bloqués au Rwanda, à la suite de la décision du maire de Rubavu (Gisenyi) d’interdire la traversée des produits à la petite barrière de Birere par des camions.
Seules le moto-tricycles des marchands rwandais devraient traverser à Goma et cela, au détriment des Congolais, déplorent les marchandes congolaises.
Il en est de même pour les gros camions qui font entrer les denrées alimentaires, notamment les fruits et les tomates en provenance de la Tanzanie, de l’Ouganda et du Rwanda.
La plateforme des associations des petits commerçants transfrontaliers explique que cette mesure du maire de Rubavu est contraire aux normes des échanges transfrontaliers.
Elle favorise les marchands rwandais et les Congolais sont les grands perdants, déclarent les femmes marchandes.

Un journaliste non voyant appelle à un changement de perception sur les personnes vivant avec handicap

Le monde célèbre ce 3 décembre la Journée mondiale de personnes vivant avec handicap.
A cette occasion, Gomli Makola, journaliste non voyant, exerçant à Kinshasa, appelle la population congolaise au changement de leur perception vis-à-vis de ces personnes vivant avec handicap.
« La perception de la personne vivant avec handicap est toujours vue autrement.
Nous ne sommes pas là pour tendre la main mais nous devons être ceux qui peuvent donner quelque chose aux autres et la société a besoin de notre contribution », interpelle Gomli Makola.
Pour lui, la société congolaise doit changer de regard, éviter les préjugés et la discrimination.

Changement de la Constitution : “le pays se trouve aux portes d’une guerre civile” (Olivier Kamitatu)

2024-12-022024-12-022024-12-022024-12-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/olivier_kamitatu_02_dec_2024.jpgLe débat sur le changement de la Constitution se renforce avec des avis partagés.
Ces informations corroborent une vidéo virale montrant la mise à disposition d’uniformes militaires aux extrémistes recrutés au sein d’une même communauté.
En réalité, le pays se trouve aux portes d’une guerre civile.
Cependant, les critiques fusent au sein de l’opposition, qui est unanime contre le projet de changement de la Constitution.
Du côté de l’Udps parti au pouvoir, l’heure est déjà à la mise en place d’une commission chargée d’étudier la question sur le changement de la Constitution.

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