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Le vice-premier ministre et ministre des Transports, Jean-Pierre Bemba, a défendu mercredi sur les ondes de Top Congo l’idée d’une révision ciblée de la Constitution de la RDC, tout en rejetant les craintes d’un éventuel changement constitutionnel.
“Je ne comprends pas de quoi les gens ont peur en fait, de la révision de la Constitution”, a-t-il déclaré, précisant que la discussion actuelle porte uniquement sur une révision, telle que prévue dans le cadre constitutionnel.
Interrogé sur les déclarations récentes d’Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS, évoquant un changement, Jean-Pierre Bemba a répondu : “Vous lui poserez la question là-dessus.”
Parmi eux, l’article 10 sur la nationalité congolaise, qu’il considère comme “trop exclusif”.
“Est-ce qu’on ne peut pas se mettre d’accord pour dire que les gouverneurs soient également élus au suffrage direct ?

Sur des vidéos en circulation, d’une rare violence, on voit Kabue Ditunga et ses miliciens dansant autour d’un “Tshiota”, exhibant des dizaines de têtes humaines.
Kabue Ditunga s’était rendu tristement célèbre le 31 mai 2017 lorsqu’il avait intercepté le véhicule des inspecteurs de l’enseignement en route pour l’organisation des épreuves de dissertation à Kafuba.
Les quatre inspecteurs, dont une femme, avaient été décapités, en plus d’un conseiller du ministre provincial de l’enseignement et du chauffeur.
À l’avènement de Félix Tshisekedi, Kabue Ditunga, à la tête d’une cohorte de miliciens lourdement armés, avait paradé dans les rues de Kananga et déposé les armes sans être inquiété.
Son arrestation pourrait soulager plusieurs familles qui avaient perdu les leurs, selon un défenseur des droits de l’homme actif à Kananga.

Le Syndicat national des chefs des travaux et assistants des services académiques (SYNACASS) a réaffirmé, dans un communiqué publié mercredi, que la grève prévue pour le 9 décembre 2024 à partir de 7 heures sera maintenue sur tout le territoire national.
Le mouvement, initié par le Ban Syndical de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU), est motivé par le non-respect des engagements pris par le gouvernement lors des accords de Bibwa 1 et Bibwa 2.
Le SYNACASS accuse le gouvernement de n’avoir pas honoré la plupart des dispositions convenues lors des négociations qui avaient mis fin à la grève générale de janvier 2022.
Le communiqué critique les actions de certains acteurs qui cherchent à discréditer le mouvement syndical en s’érigeant en porte-parole officieux.
Face à cette situation, le SYNACASS appelle à une mobilisation générale et à l’unité pour garantir la réussite de cette grève, rappelant les acquis obtenus grâce à la mobilisation de janvier 2022.

Ce refus de suivre le traitement serait aussi dû à la désinformation et à la stigmatisation dont sont victimes les personnes atteintes.
Par ailleurs, elle invite les communautés à promouvoir les droits des personnes atteintes du VIH pour mettre fin non seulement à la stigmatisation, mais aussi au VIH/Sida lui-même.
« Nous savons aujourd’hui que la lutte contre le VIH/Sida ne peut être gagnée sans respecter les droits fondamentaux de toutes et de tous.
Le droit à la santé, à l’information, à la dignité et à l’égalité doit être au cœur de toutes les stratégies de prévention, de soin et de soutien.
Par ailleurs, 98 % de ces personnes vivant avec le VIH/Sida sont sous traitement.

Le député Flory Mapamboli Posa a déposé, le mardi 3 décembre, une question écrite à l’attention de Jeannau Kikangala Ngoy, directeur général de l’Office des routes, sur les fonds décaissés en 2022.
L’élu de l’UDPS-Tshisekedi dit « n’être pas en mesure d’identifier les traces des travaux pour lesquels le Trésor public a décaissé le fonds ».
M. Mapamboli ne retrouve pas les traces des travaux réalisés dans le cadre des fonds décaissés.
Ancien conseiller en charge de la Trésorerie du ministre des Finances veut des éclaircissements de ce mandataire public sur des préoccupations suivantes:- Quel est l’état d’avancement des travaux décrits ci-dessus ?
– Quelles sont les raisons des retards constatés dans l’exécution de ces travaux sur terrain ?

Ce projet sera mené par une entreprise dont le nom n’a pas encore été révélé, mais il a été précisé que la société Milvest ne sera pas impliquée.
« D’ici le premier trimestre de l’année prochaine, les travaux vont commencer à N’Djili.
Il a également indiqué que le président Félix Tshisekedi attachait une importance particulière à ce chantier, destiné à moderniser une infrastructure jugée vieillissante et à améliorer les capacités d’accueil de l’aéroport.
La mention de Milvest, une entreprise qui a été associée à plusieurs projets d’infrastructure en RDC, a été écartée.
L’aéroport de N’Djili, situé à Kinshasa, fait face à des critiques depuis des années en raison de son état vétuste et de ses équipements inadéquats.

« La RDC a pris une série d’engagements internationaux afin de promouvoir la santé et le bien-être des populations dans le domaine des droits liés au VIH/Sida.
Les relations entre le VIH/Sida et les droits de l’homme mettent en évidence la façon dont les personnes infectées par le VIH sont les plus vulnérables aux violations des droits humains et n’ont pas accès à des soins appropriés.
Nous pensons que le chemin des droits en RDC doit aussi passer par le renforcement du leadership communautaire dans la riposte, et que nous devons placer la communauté au centre des actions.
Cela signifie que plus de 70 % de nos jeunes ne connaissent pas ces moyens, 40 ans après le lancement de la lutte contre le VIH.
La Journée mondiale de lutte contre le Sida a pour thème cette année : « Suivons le Chemin des Droits ».

Une déception totale pour les fauves congolais lors de cette confrontation, qui laissent passer la possibilité de se qualifier pour la Coupe du Monde et mettent fin à leur espoir de remporter cette compétition qui se déroule à Kinshasa.
vraiment déçus pour les joueuses, parce qu’elles se sont beaucoup investies depuis de nombreux mois maintenant.
Et puis déçu pour tout le monde, pour la fédération qui a porté le projet, pour le peuple congolais qui nous a poussés jusqu’au bout.
Malheureusement, on manque un tir un peu trop tôt, ce qui laisse l’opportunité à l’adversaire de marquer à la dernière seconde ».
En revanche, l’Égypte, qui a remporté ce duel, se voit attribuer la qualification pour la demi-finale de cette compétition continentale.

Le gouvernement congolais lancera prochainement un appel d’offres pour l’acquisition de radars destinés à surveiller l’ensemble de son espace aérien, a déclaré Jean-Pierre Bemba, vice-premier ministre et ministre des Transports et des Voies de communication.
“Un appel d’offres va être lancé pour acquérir des radars qui couvriront l’ensemble du pays”, a affirmé le ministre lors d’une interview sur Top Congo.
Le ministre a également évoqué la commande de matériel de balisage pour plusieurs aéroports, ce qui permettra d’autoriser les atterrissages de nuit, une avancée significative pour fluidifier le trafic aérien, aussi bien pour le fret que pour les passagers.
Ces mesures visent à combler les lacunes dans la surveillance et la gestion de l’espace aérien congolais, tout en répondant aux normes internationales.
“Nous identifions et bloquons ces pistes dès que nous sommes informés”, a assuré le ministre

Les affrontements se poursuivent entre l’armée congolaise appuyée par les wazalendo et les rebelles du M23 soutenus par Kigali au sud de Lubero (Nord-Kivu).
Pour la première fois, les tirs à l’arme lourde venus de Kaseghe sont attendus à Kirumba, poussant les habitants à sécher leurs activités.
Les rebelles sont attaqués à Matembe, Kaseghe, et Mighombe”, rapporte à ACTUALITE.CD un habitant de Kirumba.
“Et à partir des périphéries de Kirumba, le M23 réplique avec des bombes qu’il largue à Kaseghe et Katwa.
Des habitants rapportent à ACTUALITE.CD que, face à la résistance de l’armée congolaise, les rebelles tentent de renforcer leurs positions.