Province

Haut-Katanga : les policiers appelés à la vigilance et au respect de la loi

Les éléments de différentes unités de la police nationale ont été appelés lundi 24 février à Lubumbashi (Haut-Katanga) à la vigilance et l’accomplissement de « leur mission dans le respect des lois du pays ».
Le commissaire provincial de la police dans le Haut Katanga, le général Dieudonné Odimba, les a ainsi exhortés lors d’une parade organisée au camp Est de la police dans la commune de Kampemba.
A cette occasion, le patron de la police dans cette partie du pays s’est dit satisfait de la baisse de la criminalité dans la ville depuis l’instauration du couvre-feu.
Il est revenu ensuite sur la mission dévolue à la police, à savoir la protection de la population et de ses biens, le maintien et le rétablissement de l’ordre public, la protection des institutions et de hautes personnalités.
Il a profité de cette occasion pour inviter les uns et les autres à la discipline.

Ituri : trois miliciens capturés et plus de 400 munitions saisies dans un site de déplacés à Djugu

2025-02-252025-02-252025-02-252025-02-25Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/24-28/jules_ngongo_les_positions_de_fardc_sont_a_mambasa_et_irumu_pour_etouffer_les_menaces_adf_jpg_711_473_1.jpegTrois miliciens du mouvement Zaïre ont été capturés, et trois armes de type AK-47 ainsi que plus de 400 munitions de guerre ont été récupérées lors d’une opération de bouclage menée par la force navale au site de déplacés de Nyalimusasi, dans le groupement Tchomia, chefferie des Bahema Banywagi, territoire de Djugu, au nord-est de la ville de Bunia (province d’Ituri).
Selon Jules Ngongo, porte-parole des opérations militaires dans le secteur opérationnel de l’Ituri, ce coup de filet a été rendu possible grâce à la collaboration et aux dénonciations de la population.
À en croire le porte-parole du gouvernement provincial, ces miliciens avaient l’intention d’attaquer la position militaire des FARDC située à Sabe.
Face à ce succès, le gouverneur Luboya N’Kashama Johnny invite la population à poursuivre sa collaboration avec l’armée régulière et, d’autre part, à promouvoir l’éducation à la paix afin de barrer la route aux ennemis de la République démocratique du Congo.

RDC : J-P Lihau remet des annuaires des agents publics du Grand-Kasaï

Le vice-premier ministre de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau, a procédé à la remise des annuaires alphabétiques et numériques des cadres et agents valides des provinces du Kasaï-Oriental, Kasaï, Kasaï Central et Lomami.
Dans son discours devant les gouverneurs des provinces de l’espace Kasaï, Jean-Pierre Lihau a souligné l’importance de ces documents dans la gestion des ressources humaines de l’État.
Jean-Pierre Lihau a, par ailleurs, présenté un tableau détaillé des agents identifiés dans les quatre provinces du Grand Kasaï.
Dans le Kasaï, un total de 8.731 agents identifiés sur 19.327 certifiés; au Kasaï-Central : 19.591 agents identifiés sur 29.654 certifiés; dans le Kasaï-Oriental : 19.462 agents identifiés sur 25.714 certifiés; et enfin dans la Lomami : 8.449 agents identifiés sur 14.272 certifiés.
La cérémonie s’est clôturée par la remise symbolique des annuaires aux gouverneurs des provinces concernées.

Kasaï Oriental: le Chef de l’Etat veut une Fonction publique moderne (VPM Fonction publique)

Mbuji-Mayi, 25 février 2025 (ACP).- Le Chef de l’Etat veut une Fonction publique moderne, a déclaré le vice-Premier ministre chargé de la Fonction publique aux agents d’Etat à Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, lors de l’inauguration, mardi, de la Caisse nationale de sécurité sociale des agents publics (CNSSAP).
«L’agence qui va être inaugurée ce jour est à l’image ce qu’est devenue la Fonction publique nationale depuis notre avènement à la tête de ce ministère, sous la vision éclairée de M. le Président de la République, Chef de l’Etat, qui veut une Fonction publique moderne, une fonction publique méritocratique qui solidifie la retraite progressivement, une fonction publique qui rajeunit compétitivement, qualitativement ses animateurs», a déclaré le vice-Premier ministre, ministre de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau Ebwa, en présence des gouverneurs des provinces du Kasaï, du Kasaï Central, du Kasaï Oriental et de la Lomami ainsi que des députés nationaux et provinciaux.
Et d’ajouter: «alors que je me tiens débout en ce lieu, il me revient encore en mémoire les instructions claires du Chef de l’Etat nous formuler il y a près de deux ans lorsqu’il présidait la cérémonie d’inauguration du bâtiment abritant le siège central de la CNSSAP à Kinshasa.
Je cite: ‘’la CNSSAP doit progressivement étendre sa présence dans tous les chefs-lieux de provinces afin de se rapprocher davantage des agents publics dont elle est garante de la sécurité pendant et surtout après leur carrière’’ ».

Sensibilisation des élèves de deux écoles de Kindu aux enjeux liés aux VBG

Kindu, 05 décembre 2024 (ACP).- Les élèves de l’Institut « Basoko » et du Complexe Scolaire « Kasuku » à Kindu au Maniema (Est de la République Démocratique du Congo), ont été sensibilisés aux enjeux liés aux violences basées sur le genre, lors d’une journée d’échange.
« L’objectif de cette sensibilisation est d’outiller les élèves avec des connaissances centrées sur les enjeux liés aux VBG afin de les dénoncer.
Et d’ajouter : « Au cours de cette séance, ces élèves ont appris plusieurs notions en rapport avec l’exploitation sexuelle, abus et harcèlement sexuels.
Ces thématiques sont cruciales pour leur permettre de comprendre les enjeux liés à cette pratique néfaste».
Ces notions visent à encourager une réflexion sur les rôles du genre et la promotion des comportements respectueux, a-t-il conclu.

Kinshasa : les élèves d’une école sensibilisés à la lutte contre les VBG

Kinshasa, 05 décembre 2024 (ACP).- Les élèves de l’Institut Cardinal Malula, dans la commune de Mont-Ngafula, au Sud-est de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC), ont été sensibilisés à la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) par la Fondation Grâce à ma Mère (GRAME), a-t-on appris jeudi des organisateurs.
Le but de cette rencontre était de sensibiliser les élèves filles comme garçons de l’Institut Cardinal Malula à la lutte contre les violences basées sur le genre », a déclaré Julie Nsuele, présidente de la Fondation Grâce à ma Mère (GRAME).
Cette femme entrepreneure a, en outre, montré à ces élèves les moyens par lesquels ils peuvent dénoncer les VBG.
« Il était important, selon notre structure, de cibler les élèves de 3ème et 4ème des humanités de cette école, car ils sont les adultes de demain et peuvent se défendre contre les VBG.
C’est autour du thème « Riposter et se reconstruire après les violences » qu’elle a échangé avec les élèves de l’Institut Cardinal Maluka.

Sud-Kivu : les accusations de sorcellerie au centre de sensibilisation des leaders d’Uvira

Uvira, 05 décembre 2024 (ACP).- Les allégations et accusations de sorcellerie portées sur les enfants, filles et femmes ont été au centre d’un échange entre le ministère provincial du Genre et les leaders d’Uvira, au Sud-Kivu, (Est de la République démocratique du Congo), en marge de la campagne de 16 jours d’activisme.
Et d’ajouter : « Dans la pratique, nous savons que la sorcellerie existe, mais la façon dont les enfants, filles et femmes sont traités, cela a des répercussions sur la santé mentale de ces victimes.
Dans notre contrée, il y a tendance de soupçonner et d’indexer les gens ce qui peut conduire au suicide ».
La représentante de la GIZ, une ONG internationale, a, pour sa part, demandé aux participants et toutes les parties prenantes à cette formation de conjuguer ensemble les efforts pour bien évoluer.
Il a en été de même pour les chefs de quartiers qui se sont engagés à aller, à leur tour, sensibiliser leurs bases respectives pour que les actes de justice populaire ne se commettent plus dans leurs entités, à la suite des accusations de sorcellerie.

RDC : l’implication de la population sollicitée pour mettre fin aux VBG

Kinshasa 05 décembre 2024 (ACP).- L’implication de toutes les couches sociales a été sollicitée jeudi à Kinshasa, pour mettre fin aux violences basées sur le genre (VBG), lors de la campagne ‘’Jeudi en Noir’’ organisée chaque semaine en République démocratique du Congo.
« Les féminités et les masculinités positives est une potion incontournable pour un monde sans viol, ni violences.
On ne peut pas arrêter cette hémorragie tout en étant dispersés, car c’est un grand combat qui exige l’implication de toutes les couches sociales.
Hommes et femmes, nous avons l’obligation de collaborer ensemble pour le bien-être de notre pays », a-t-il dit.
Cette campagne est un plaidoyer contre les violences sexuelles et sexistes, car dans tous les pays, les violences sexuelles et sexistes constituent une réalité tragique.

Ouverture d’un centre de formation des femmes leaders à Kinshasa

« L’Académie CAFCO vise à pérenniser les actions d’un projet assurant l’émergence des jeunes femmes leaders à la base.
Selon Mme Lula, cette plateforme innovante va permettre aux femmes leaders de transmettre des compétences intergénérationnelles aux jeunes émergentes, tout en favorisant des synergies de travail entre elles.
« Les activités de l’Académie incluent les dialogues intergénérationnels entre femmes leaders et jeunes émergentes pour échanger des expériences.
Des modules de formation sur le leadership féminin, les droits fondamentaux des femmes, les conférences mondiales sur les femmes et le Programme d’Action de Beijing», a-t-elle expliqué.
Ce programme marque une étape décisive dans la promotion du leadership féminin en RDC, en plaçant les jeunes femmes au cœur de l’action pour une transformation durable.

RDC: «La progression du M23 après la chute de Kanyabayonga a été très rapide»

Est de la RDC, dans la région de Kanyabayonga, la population fuit les combats entre le M23 et l’armée régulière, mai 2024.
C’est vrai que c’est un nœud de communication, mais en fait ces routes-là étaient déjà très largement contrôlées par le M23.
Effectivement, la progression du M23 après la chute de Kanyabayonga a été très rapide.
Les experts de l’ONU affirment que l’armée rwandaise est aussi nombreuse, sinon plus, que les troupes du M23 en RDC actuellement.
Mais ce qui me frappe, c’est que d’une part, on l’a dit, c’est arrivé à la veille de la fête nationale congolaise.

Violences basées sur le genre (VBG) : comprendre et agir en RDC à l’occasion des 16 jours d’activisme

Et qu’en est-il en République démocratique du Congo (RDC), alors que les VBG toucheraient environ 7 % de sa population ?
Mais tout d’abord qu’entend-on exactement par ces 16 jours d’activisme contre les VBG ?
L’objectif est de sensibiliser à la problématique des VBG, de contester les attitudes discriminatoires et de plaider pour de meilleures lois et des services renforcés afin d’éliminer durablement ces abus.
Elles se manifestent sous différentes formes, selon les régions et les contextes.
Les 16 jours d’activisme offrent une occasion unique de briser le silence autour des VBG en RDC.

La délivrance des permis de conduire suffit-elle pour améliorer la sécurité routière en RDC ?

La délivrance du permis de conduire était suspendue en RDC depuis septembre 2017.
C’est l’entreprise OTOJUST, qui va se charger de mettre en place l’architecture pour la délivrance du permis.
En outre, du fait des lenteurs des procédures, de nombreux citoyens pourraient contourner le processus officiel en passant par des intermédiaires, comme c’est le cas pour les passeports biométriques.
Au reste, le permis de conduire est, certes, un élément essentiel pour la sécurité routière, mais il ne suffit pas pour garantir celle-ci.
En outre, pour garantir la sécurité, les signalisations routières et les marquages au sol sont importants.

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