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Dans la nuit du lundi à mardi 24 décembre, deux femmes ont perdu la vie et deux autres personnes ont été blessées par balle au camp des déplacés Rego, situé dans le quartier Lac vert, à l’ouest de Goma.
Ce dernier a pris la fuite vers Mubambiro, dans le territoire voisin de Nyiragongo, laissant les corps des victimes dans leur cabane située sur l’avenue Lushagala, dans le bloc 118, indique le chef de quartier Lac vert, Dedesi Mitima.
C’est comme s’il est venu ayant déjà des informations sur sa femme commerçante des boissons fortement alcoolisées et le chanvre.
Un autre incident a eu lieu dans le même site des déplacés de Rego : un homme et son enfant ont été blessés par des inconnus armés.
La présence d’hommes armés dans les sites de déplacés autour de Goma demeure un véritable casse-tête.

Les Forces armées de la RDC et le M23 ont continué, mardi 24 décembre, à se battre pour le contrôle de la localité de Mambasa, située à 60 km de Lubero-Centre (Nord-Kivu).
Ce mardi dans la matinée, les rebelles ont de nouveau attaqué une position défensive de l’armée dans cette localité, tentant, sans succès, de briser les lignes des FARDC pour occuper Mambasa et progresser vers Ndoluma.
D’après des sources militaires, à la mi-journée, une partie de Mambasa, située dans une vallée, est devenue une zone neutre entre les deux camps.
Les FARDC y ont établi leurs positions défensives avancées, tandis que le M23, situé à distance de Mambasa, a érigé une forteresse pour bloquer toute progression des FARDC vers Alimbongo.
La situation reste tendue sur le terrain, où des mouvements de population sont signalés dans la zone des combats.

Kinshasa, 24 décembre 2024 (ACP).- La bonne alimentation joue un rôle important sur la bonne santé mentale, a fait savoir une neuropsychiatre lundi, au cours d’un entretien à Kinshasa en République démocratique du Congo.
« Bien manger joue un rôle très important dans la santé mentale et empêche que celle-ci ne devienne un trouble mental », a déclaré la Dre Love Ntumba, neuropsychiatre à l’hôpital Biamba Marie Mutombo de Kinshasa.
Elle a donné quelques orientations et recommandations pour vivre sainement, notamment bien manger et dormir suffisamment.
« Aujourd’hui avec les écrans et les réseaux sociaux, les gens dorment très tard et reste souvent longtemps au téléphone, chose qui ne favorise pas un sommeil de qualité », a-t-elle fait savoir.
Cette spécialiste a insisté sur un mode de vie qui nous aide à développer une bonne santé mentale, à savoir faire les exercices tous les jours, faire la marche pendant 30 minutes chaque jour pour se vider la tête, surtout pour les personnes qui sont de nature nerveuse et irritable.

Kisangani, 24 décembre 2024 (ACP).- L’application des textes juridiques relatifs à la protection et à la conservation des ressources en eau et forêts, a été au centre d’un atelier, ouvert lundi, à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo, (nord-est de la République démocratique du Congo).
« Dans cet atelier, il a été question de vulgariser les textes juridiques se rapportant à la protection et à la conservation des ressources en eau et forêts pour leur application, d’exposer les rôles de chaque partie prenante impliquée dans la protection et la conservation des ressources en eau et forêts.
Il a appelé tous les participants à une prise de conscience, à une participation à l’application et à la mise en œuvre de ces lois.
« Ceci pour que les personnes qui violent ces dispositions légales qui protègent les ressources en eau et en forêts soient poursuivies et puissent être pénalisées, en vue de décourager justement ces pollutions et destructions des ressources en eau et forestières », a poursuivi M. Maindo.
Des participants, parmi lesquels les acteurs judiciaires, des organisations de la société civile environnementale, des professeurs d’université et des chercheurs, ont discuté sur la manière de procéder pour susciter l’application des textes juridiques se rapportant à la protection et à la conservation des ressources en eau et forêts.

Kamituga, 24 décembre 2024 (ACP).– 7.000 (sept mille) personnes sont attendues pour la deuxième dose de vaccination contre le Mpox dans la zone de santé de Kamituga au Sud-Kivu dans l’Est de la de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP, lundi, de source sanitaire, lors du lancement de cette opération.
« La cible pour cette deuxième phase de vaccination est constituée notamment du personnel soignant, des personnes du troisième âge, ainsi que des professionnels de sexe…», a déclaré Robert Kyanga, représentant du médecin directeur de la zone de santé de Kamituga.
De son côté Alexandre Bundya M’pila, maire de Kamituga a remercié l’autorité provinciale du Sud-Kivu pour son implication dans le cadre de cette opération visant le bien-être de la population de son ressort.
« Je demande à la population concernée de se rendre disponible en vue recevoir le vaccin pour se protéger contre cette terrible maladie.
Chacun le fera là où il avait reçu la première dose », a-t-il fait savoir avant de donner le go de cette campagne de vaccination dans son entité.

L’ambassadeur du Japon en République Démocratique du Congo, Ogawa Hidetoshi, a annoncé un financement de 15 millions de dollars américains de son gouvernement pour la réhabilitation du pont Maréchal à Matadi, dans la province du Kongo central.
«Le Japon est engagé comme partenaire dans le développement socio-économique de la RDC et ceci vient se matérialiser à nouveau à travers deux projets porteurs.
Le premier concerne l’injection d’environ 3 millions 200 mille dollars américains dans le cadre de l’assistance alimentaire.
Le second projet apporte une enveloppe de 15 millions de dollars américains pour la réhabilitation du pont Maréchal à Matadi et ses voies d’accès», lit-on dans la dépêche du ministère des Affaires étrangères.
Par ailleurs, cette source a fait savoir à la presse que quarante et une années se sont écoulées depuis l’inauguration du pont Maréchal à Matadi, scellant ainsi une amitié « indescriptible et inébranlable » entre le Japon et la RDC.

Le bourgmestre de Mulekera, dans la ville de Beni, Dieudonné Ngongo Mayanga met en garde les patrouilleurs ainsi que toute autre personne qui sera reconnue responsable de tracasseries envers la population aux heures nocturnes pendant cette période de festivité de fin d’année.
L’autorité communale de Mulekera a indiqué que les coupables subiront la rigueur de la loi.
« C’est une information qui nous a été livrée au cours de la réunion que les patrouilleurs aussi dérangent et insécurisent la population.
Dieudonné Ngongo a rappelé que la population doit travailler avec les forces de sécurité pour la restauration de la sécurité :« Le problème sécuritaire c’est notre combat de tous les jours.
Que ça ne soit pas seulement l’affaire de moi bourgmestre et les services de sécurité mais que ça soit l’affaire de nous tous.