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Sur le site de la base-vie, le Président de la République a reçu des explications du ministre des Infrastructures, Alexis Gisaro, sur le déroulement des travaux.
De son côté, le député provincial Pierre Sosthène Kambidi, élu du territoire de Kazumba, que traverse la route Kalamba-Mbuji, salue la présence du président Tshisekedi sur le terrain, mais reste sur sa faim :”La partie de la route que le président Félix Tshisekedi a parcourue n’a jamais posé problème pour les usagers, avec ou sans travaux.
Car sans cette route, le Kasaï-Central, et au-delà tout l’espace Grand Kasaï, resteront enclavés”, a déclaré l’ancien journaliste Sosthène Kambidi.
Avant de visiter la route Kalamba-Mbuji, le président Tshisekedi a pris part, ce mercredi de Noël, à la pro-cathédrale Saint-Clément de Kananga, à la messe de la Nativité célébrée par l’archevêque métropolitain, Mgr Félicien Ntambwe Kasembe.
Au cours de cette célébration eucharistique, l’archevêque de Kananga n’a pas manqué de rappeler au président Tshisekedi les attentes de la population : les routes, l’électricité et la lutte contre les érosions.

Nous vous félicitons de prendre le temps de visiter la route de Kalamba Mbuji, qui nous ouvrira sur l’Angola », a déclaré l’archevêque Félicien Tambwe.
Cependant, concernant la finalisation de la route de Kalamba Mbuji, le prélat a attiré l’attention de Félix Tshisekedi sur la nécessité d’aller au-delà de ce projet pour éviter que la RDC ne subisse le diktat économique de l’Angola.
« Nous ne sommes pas opposés à la construction de cette route.
Ce n’est pas parce que les Kassaiens ne sont pas forts, ni parce qu’ils ne sont pas intelligents, ni parce que la terre du Kasaï n’est pas fertile.
Depuis l’accession de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême, plusieurs grands projets structurants peinent à se concrétiser dans cette partie du pays.

Anxiété, inquiétude et désolation : tel est le climat qui a régné mercredi sur le site des déplacés de Kwamouth, installés dans les entrepôts du marché central de Bandundu.
“Les enfants des amis, ici à Bandundu, ont acheté les meilleurs vêtements que nous voyons aujourd’hui, de nouveaux modèles.
Mais nos enfants souffrent, ils restent à nos côtés pour nous poser des questions : ‘Papa, qu’est-ce que nous allons manger ?
Un chef de famille d’accueil, qui héberge quinze enfants dans son ménage, témoignait également de sa désolation.
À ce jour, au moins 110 décès ont été enregistrés, liés à la malnutrition, au manque de soins de santé et à une alimentation insuffisante.

Sur le site de la base-vie, le Président de la République a reçu des explications du ministre des Infrastructures, Alexis Gisaro, sur le déroulement des travaux.
De son côté, le député provincial Pierre Sosthène Kambidi, élu du territoire de Kazumba, que traverse la route Kalamba-Mbuji, salue la présence du président Tshisekedi sur le terrain, mais reste sur sa faim :”La partie de la route que le président Félix Tshisekedi a parcourue n’a jamais posé problème pour les usagers, avec ou sans travaux.
Car sans cette route, le Kasaï-Central, et au-delà tout l’espace Grand Kasaï, resteront enclavés”, a déclaré l’ancien journaliste Sosthène Kambidi.
Avant de visiter la route Kalamba-Mbuji, le président Tshisekedi a pris part, ce mercredi de Noël, à la pro-cathédrale Saint-Clément de Kananga, à la messe de la Nativité célébrée par l’archevêque métropolitain, Mgr Félicien Ntambwe Kasembe.
Au cours de cette célébration eucharistique, l’archevêque de Kananga n’a pas manqué de rappeler au président Tshisekedi les attentes de la population : les routes, l’électricité et la lutte contre les érosions.

La relance de la centrale hydroélectrique de Katende est un dossier récurrent dans les discussions gouvernementales.
Ce qui se fait, c’est que construire la centrale de Katende est un additif, une injection”, a expliqué le ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité, Teddy Lwamba.
Cela signifie que Katende, avec 60 mégawatts, représente environ 1,2 milliard USD supplémentaires en création de richesse pour la RDC.
Faut-il soutirer ou ajouter une centrale pour créer de la richesse ?
Je pense que la meilleure façon de faire, le meilleur crédit que vous pouvez nous accorder, c’est de nous laisser avancer”, a plaidé Teddy Lwamba.

Après Kananga (Kasaï-Central), le Président Félix-Antoine Tshisekedi doit arriver ce jeudi 26 décembre à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental).
La population locale dit attendre de lui la concrétisation de ses promesses, dont celle relative à la relance la Minière de Bakwanga (MIBA).
Il y a aussi un autre problème : il nous a longtemps promis la relance de la MIBA, mais, jusqu’ici, nous ne voyons pas clair », a déclaré un habitant de Mbuji-Mayi a Radio Okapi.
En outre, la famille sévit dans cette région, où les biens de premières nécessite coutent extrêmement cher.
Cette route, qui relie la République d’Angola à la République démocratique du Congo, à partir Kasaï-Central voisin, qui pourrait aussi contribuer à l’amélioration de le vie socio-économique dans la capitale provinciale du Kasaï-Oriental.

La pratique du tatouage devient de plus en plus frequente auprès des jeunes à Kinshasa comme dans d’autres villes du pays.
Invité de Radio Okapi, John Kuba, tatoueur dans la ville-province de Kinshasa, indique recevoir de nombreux jeunes qui veulent se faire beaux.
« Le tatouage n’est plus qu’une histoire de mode car ça redonne confiance en soi aux uns qui se sont gênés par rapport à une cicatrice ou un défaut quelconque.
En dépit de certaines difficultés rencontrées, John Kuba dit recevoir des personnes de tous âges : hommes, femmes et jeunes, qui viennent se faire tatouer.
John Kuba s’entretient au téléphone avec André Kitenge :/sites/default/files/2024-12/09._261224-p-f-invite-_beni_johkuba-tatoueur-web.mp3