Category: Province

Les combats se poursuivent dans le sud du territoire de Lubero, au Nord-Kivu, où les armes continuent de résonner.
Les hostilités ont éclaté aux environs de 5h30, heure locale, lorsque le M23 a lancé une attaque sur les positions des FARDC situées sur le flanc gauche de Matembe.
Les affrontements à Matembe sont particulièrement violents, et la situation sur le terrain demeure incertaine.
L’armée congolaise a annoncé avoir abattu, samedi après-midi, un drone de surveillance utilisé par le M23 dans la zone.
Ce sommet est consacré à la recherche d’une solution pacifique au conflit qui ravage l’est de la RDC.

« La mission qu’on nous a donnée, c’est de former au moins une brigade sur les quatre prévues ici en Ituri.
C’est-à-dire, il y a trois bataillons dans le cadre des éléments de manœuvre, et un bataillon quartier général », a déclaré le directeur chargé des affaires civilo-militaires dans le cadre de l’éveil patriotique au sein de la RAD, le lieutenant-colonel Emmanuel Libandi Ngabu.
Et de renchérir : « Pour le moment, nous sommes dans la sensibilisation et la mobilisation des volontaires pour la défense de la patrie.
S’adressant directement aux jeunes, le lieutenant-colonel Libandi a invité tous les jeunes de l’Ituri à venir intégrer la RAD parce que c’est pour leur intérêt de la nation.
Il a également souligné que l’effectif de ceux qui ont déjà adhéré à la RAD ne peut être dévoilé en raison du principe de secret militaire.

Les affrontements entre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23 ont repris ce samedi 14 décembre aux environs de 11 heures, dans la localité stratégique de Kaseghe.
En revanche, sur d’autres lignes de front, aucun affrontement n’a été rapporté, et les positions des forces en présence n’ont pas évolué.
La reprise des combats à Kaseghe révèle la fragilité de la situation sécuritaire dans cette région du Nord-Kivu, où les populations civiles continuent de subir les conséquences des affrontements entre l’armée congolaise et les rebelles du M23.
Ces combats ont lieu la veille de négociations cruciales entre la RDC et le Rwanda sous la médiation angolaise.
Objectif : négocier un accord de paix pour mettre fin aux tensions entre la RDC et le Rwanda, accusé par Kinshasa de soutenir les rebelles du M23 dans le Nord-Kivu.

La province du Haut-Katanga, au sud-est de la République démocratique du Congo, traverse une période de tensions sécuritaires marquées, particulièrement dans le territoire de Mitwaba.
Face à des incursions récurrentes et à une insécurité enregistrées récemment, les autorités provinciales ont renforcé leur dispositif de sécurité.
Mitwaba, une localité stratégique dans le Haut-Katanga, a récemment été témoin d’une incursion violente non loin de Manono, un territoire voisin.
Au-delà de la situation spécifique à Mitwaba, la ville de Lubumbashi, dans la province du Haut-Katanga connaît une insécurité croissante à l’approche des festivités de fin d’année.
Le renforcement des effectifs militaires et policiers, ainsi que l’intensification des patrouilles, sont des mesures essentielles pour maintenir la paix et la sécurité.

Certains analystes contactés par TazamaRdc estiment qu’il n’y a pas de fluidité dans l’actualisation des informations sur la poursuite des opérations militaires.
Cette passivité de communiquer, est une porte d’entrée aux fausses informations avec comme conséquence déchirer la cohésion et la confiance de la population envers l’armée loyaliste.
Mais aussi ce département de communication doit être capable de fournir la mise en jour des avancées des hostilités.
Le lieutenant Reagan Mbuyi kalonji estime que la presse demeure l’un des moyens le plus efficace pour balayer les fausses informations.
« L’ennemi a largué non-seulement ses bombes atomiques mais aussi ses bombes électroniques dans le but de contrer certaines comutations des FARDC dans les réseaux sociaux.

« La mission qu’on nous a donnée c’est de former au moins une brigade sur les quatre prévues ici en Ituri.
C’est-à-dire il y a trois bataillons dans le cadre des éléments de manœuvre, et un bataillon quartier général », a déclaré le directeur chargé des affaires civilo-militaires dans le cadre de l’éveil patriotique au sein de la RAD, le lieutenant-colonel Emmanuel Libandi Ngabu.
Et de renchérir: « pour le moment nous sommes dans la sensibilisation et la mobilisation des volontaires pour la défense de la patrie.
S’adressant directement aux jeunes, le lieutenant-colonel Libandi a invité tous les jeunes de l’Ituri à venir intégrer la RAD parce que c’est pour leur intérêt de la nation.
Il a également souligné que l’effectif de ceux qui ont déjà adhéré à la RAD ne peut être dévoilé en raison du principe de secret militaire.

C’est un bouleversement dans les rangs des résistants Wazalendo opérant dans la province de l’Ituri, principalement dans les territoires de Mambasa et d’Irumu.
Selon les sources locales, ces miliciens originaires du Nord-Kivu avec des ramifications à Beni et Lubero, procèdent de manière arbitraire pour enrôler de force les enfants dans leurs rangs.
Notre source condamne ce phénomène et rappelle à ces miliciens que la place de ces enfants n’est pas dans les milices, mais à l’école.
Ces recrutements violent non seulement les droits fondamentaux des enfants, mais aussi les lois de la République.
Prohibé par le règlement militaire, l’utilisation des enfants dans des faits de guerre constitue un crime grave.

Participation active à la conférence tenue à l’UNIBULa délégation du FOGEC, conduite par son directeur général Laurent Munzemba, a pris part à la conférence tenue par le ministre Louis Watum Kabamba face aux étudiants de l’Université de Bunia (UNIBU), le samedi 7 décembre 2024.
Cette activité a été sanctionnée par une visite guidée des stands implantés par des entrepreneurs où étaient exposés leurs produits.
Descente à Aru et à MahagiAux côtés de ses collègues, le directeur général du FOGEC, Laurent Munzemba, a accompagné le ministre de l’Industrie et du Développement des PME-PMI, Louis Watum Kabamba, dans le territoire d’Aru le 9 décembre 2024.
Des activités prometteusesParallèlement à la descente du ministre dans les territoires d’Aru et de Mahagi, la délégation du FOGEC restée à Bunia est allée à la rencontre des acteurs de l’écosystème entrepreneurial de la ville, notamment des incubateurs et structures d’encadrement des entrepreneurs.
La délégation du FOGEC et son Directeur général se sont félicités du déroulement des activités en marge de la mission effectuée en Ituri, une province en plein essor et à fort potentiel économique et industriel.

Participation active à la conférence tenue à l’UNIBULa délégation du FOGEC, conduite par son directeur général Laurent Munzemba, a pris part à la conférence tenue par le ministre Louis Watum Kabamba face aux étudiants de l’Université de Bunia (UNIBU), le samedi 7 décembre 2024.
Cette activité a été sanctionnée par une visite guidée des stands implantés par des entrepreneurs où étaient exposés leurs produits.
Descente à Aru et à MahagiAux côtés de ses collègues, le directeur général du FOGEC, Laurent Munzemba, a accompagné le ministre de l’Industrie et du Développement des PME-PMI, Louis Watum Kabamba, dans le territoire d’Aru le 9 décembre 2024.
Des activités prometteusesParallèlement à la descente du ministre dans les territoires d’Aru et de Mahagi, la délégation du FOGEC restée à Bunia est allée à la rencontre des acteurs de l’écosystème entrepreneurial de la ville, notamment des incubateurs et structures d’encadrement des entrepreneurs.
La délégation du FOGEC et son Directeur général se sont félicités du déroulement des activités en marge de la mission effectuée en Ituri, une province en plein essor et à fort potentiel économique et industriel.

Ceci suite aux bousculades survenues lors de la distribution d’une assistance humanitaire composée des vivres et non vivres.
Dans une adresse à la presse, jeudi 12 décembre dernier, la société civile de Kalehe indique que les victimes sont deux femmes et deux enfants.
À en croire, pendant cette distribution, la foule était immense et chacun des nécessités voulait passer à tout prix.
Il plaide pour la réorganisation des programmes de distribution humanitaire afin d’éviter à l’avenir des incidents similaires.
Il sied de signaler que durant cet incident, c’est le Programme alimentaire mondial (PAM) qui procédait à la distribution, renchérit la société civile locale.