Goma: des présumés auteurs de meurtres et assassinats dans des camps des déplacés arrêtés

La Police Nationale Congolaise (PNC) a annoncé, le 26 décembre 2024, l’arrestation d’un groupe de suspects liés à des meurtres survenus dans des camps de déplacés autour de la ville de Goma.
Ce phénomène de violence dans les camps de déplacés soulève des inquiétudes croissantes quant à la sécurité des populations vulnérables.
En plus des meurtres, d’autres individus ont été arrêtés pour extorsion de biens, notamment des motos, qui ont été restitués à leurs propriétaires.
Cette opération est perçue comme un coup dur porté à la criminalité dans cette région déjà marquée par l’instabilité.
La participation active des citoyens est essentielle pour lutter contre la criminalité et assurer la sécurité des camps de déplacés.

Sud-Kivu : les FARDC déjouent une attaque des rebelles à Minembwe

Uvira, 27 décembre 2024 (ACP).- Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont déjoué l’attaque de la coalition des groupes armés Makanika-Red Tabara visant à prendre le contrôle de l’aérodrome de Kiziba à Minembwe au Sud-Kivu dans l’Est du pays, a appris l’ACP, vendredi de source militaire.
Et d’ajouter : « je vous informe que ces terroristes se sont heurtés à la puissance de feu de votre armée loyaliste et ont été repoussés et délocalisés de quelques-unes de ses positions« , avant de signaler le bilan provisoire de 2 morts et 3 blessés du côté ami et 31 morts et plusieurs blessés du côté ennemi.
« Faisant suite à cet échec cuisant, l’ennemi a comme plan de désolidariser la population de la contrée de son armée en y commettant massacres, vols et viols lors de sa fuite afin de rejeter ces actes macabres sur l’armée loyaliste » a-t-il soutenu.
A l’en croire, les FARDC dénoncent ce plan machiavélique, jeux auxquels joue malheureusement la société civile de minembwe à travers son vice-président Santos Mufashi, qui, d’après lui, travaille sous les ordres de son président Saint Cadet Ruvunzangoma, qui, a-t-il souligné, ça fait déjà une année qu’il a rejoint le mouvement terroriste du M23.
« Tout en réitérant son engagement républicain, les FARDC assurent la population de sa sécurité et celle de ses biens et appellent cette dernière à créer un front commun contre ces ennemis de la nation qui n’ont que pour objectif de semer la peur et la terreur » a-t-il conclu.

Nord-Kivu: une campagne de soutien aux FARDC et Wazalendo lancée à Beni

Beni, 27 décembre 2024 (ACP).- Une campagne de soutien aux Forces armées de la République démocratique du Congo et aux volontaires pour la défense de la patrie (Wazalendo), a été lancée, vendredi, par la société civile du Grand Nord-Kivu, dans la ville de Beni, dans l’est du pays, a appris l’ACP de sources locale.
« La coordination urbaine de la société civile de Beni, les femmes et toute la jeunesse veulent voir tout le monde s’approprier cette campagne de soutien aux militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) qui militent pour la défense de l’intégrité territoriale, d’une part contre la rébellion du M23 sur différentes lignes de front dans le Petit-Nord et des ADF dans le grand-Nord, de l’autre », a déclaré Pépin Kavotha président de la société civile ville de Beni.
« Si vous avez 1$,1000fc, 100$ et plus, donnez aux membres de la commission qui sont déjà institués et qui auront des badges pour que vous sachiez que ce sont des personnes qui ont été choisies par la grande commission qui se réunira à la date qui vous sera communiquée », a-t-il ajoutéToutes les couches de la population de la ville de Beni devraient s’approprier la démarche, parce que la patrie en dépend.
La patrie est en danger et nous tous, comme population, devons être du côté de notre armée car la guerre ne se gagne pas sans la contribution de la population.

Sud-Kivu : la société civile dénonce l’extradition clandestine de 15 Chinois impliqués dans l’exploitation illégale des minerais

Le cadre de concertation de la société civile, une structure réunissant plusieurs faîtières de la société civile, notamment la Société civile environnementale (SOCEARU), la Fédération de la société civile congolaise (FESCIV), le Mouvement des sociétés civiles du Congo (MSCO), la Société civile Espoir (SOCINE) et l’Ordre des agronomes, a exprimé son indignation face à l’extradition clandestine de 15 ressortissants chinois arrêtés dans le territoire de Mwenga pour exploitation illégale des minerais dans le territoire de Walungu, au Sud-Kivu.
“Aux autorités de Kinshasa, nous demandons d’éviter tout trafic d’influence au mépris des dispositions du Code et des règlements miniers en vigueur en RDC.
Il faut également dégager les militaires et autres forces de sécurité non autorisées des carrés miniers,” déclare le cadre de concertation de la société civile.
Cela inclut l’exigence stricte des études d’impact environnemental et social et le respect des cahiers des charges des communautés avant toute exploitation minière par des étrangers.
Cette situation a provoqué la colère du gouverneur Jean-Jacques Purusi et des structures de la société civile, qui appellent à des sanctions contre les auteurs de ces actes.

Sécurité alimentaire dans le Haut-Katanga : pour un total de 960.000 tonnes de maïs, la province n’en produit que 317.000, des efforts doivent être fournis pour diversifier les cultures dont celles de

À l’occasion, Lucien Kimuni, docteur en sciences agronomiques, a parlé de la sécurité alimentaire dans le Haut-Katanga.
“En 2019, après la tenue de la table ronde, le gouvernement provincial du Haut-Katanga avait initié un programme agricole qui donnait déjà ses fruits.
En 2019, le niveau de la production locale s’élevait à 200.000 tonnes de maïs, et aujourd’hui, nous sommes à 317.000 tonnes de maïs.
À ces jours, poursuit-il, “ Nous avons besoin de 960.000 tonnes de maïs pour couvrir les besoins de la province.
Face à ces écarts ou encore des besoins, ce scientifique intervenant au symposium sur des outils de gestion à apporter pour la résolution des problèmes socioéconomiques du Haut-Katanga, propose notamment la diversification des cultures.

Sécurité alimentaire dans le Haut-Katanga : pour un total de 960.000 tonnes de maïs, la province n’en produit que 317.000, des efforts doivent être fournis pour diversifier les cultures dont celles de

À l’occasion, Lucien Kimuni, docteur en sciences agronomiques, a parlé de la sécurité alimentaire dans le Haut-Katanga.
“En 2019, après la tenue de la table ronde, le gouvernement provincial du Haut-Katanga avait initié un programme agricole qui donnait déjà ses fruits.
En 2019, le niveau de la production locale s’élevait à 200.000 tonnes de maïs, et aujourd’hui, nous sommes à 317.000 tonnes de maïs.
À ces jours, poursuit-il, “ Nous avons besoin de 960.000 tonnes de maïs pour couvrir les besoins de la province.
Face à ces écarts ou encore des besoins, ce scientifique intervenant au symposium sur des outils de gestion à apporter pour la résolution des problèmes socioéconomiques du Haut-Katanga, propose notamment la diversification des cultures.

Nord-Kivu : journée sans taxi à Goma suite au meurtre d’un conducteur de voiture-taxi

Patrick Ushindi, jeune conducteur de voiture taxi, a été abattu par des hommes armés dans la nuit du mardi 24 décembre dernier.
En réponse à cette tragédie, les conducteurs de taxi de l’Association des Chauffeurs du Congo (ACCO) ont érigé des barricades sur les principaux axes routiers de la ville.
Ce geste visait à honorer la mémoire de leur camarade et à exprimer leur indignation face à l’insécurité qui continue de sévir à Goma.
Cette action vise à sensibiliser la population à la gravité de la situation, révélant ainsi le climat d’insécurité qui règne sur la ville.
Jusqu’à présent, les auteurs de ce meurtre odieux sont toujours en cavale, laissant un sentiment d’impunité et d’inquiétude parmi les habitants de Goma.

Haut-Katanga : appel à ne pas adhérer au plan déstabilisateur de la province

Lubumbashi, 27 décembre 2024 (ACP).-La population du Haut-Katanga, (sud-est de la République démocratique du Congo), a été appelé vendredi, à ne pas adhérer au plan qui vise à déstabiliser la province, lors du deuxième jour du symposium sur la présentation des outils de gestion et de résolution des problèmes dans le Haut-Katanga.
«Je vous exhorte à appeler la population à ne pas adhérer au plan qui stabilise la province car il n’y a pas de développement sans sécurité.
«La sécurité n’est pas seulement le travail de l’Armée, la Police ou les services de sécurité mais ça demande la participation et l’implication de tous», a renchéri le commandant de la 22ème région militaire.
Il a saisi l’occasion pour présenter au président de l’assemblée provinciale ainsi qu’à toute la population, les vœux de sécurité et de paix.
Par ailleurs, plusieurs sous-thèmes ont été développés tour à tour par les professeurs d’université notamment sur les enfants des rues socialisation et sécurité ; la pauvreté des masses; les principaux problèmes de santé dans la province du Haut–Katanga.

Nord-Kivu : des jeunes recrues de l’armée appelés à ne pas divulguer des informations sensibles sur les réseaux sociaux

Dans un message parvenu à 7SUR7.CD, Jean-Paul Waitswalo a salué les progrès significatifs accomplis par les FARDC sur les différents fronts contre le M23-RDF.
Waitswalo a ainsi appelé à une stratégie militaire axée sur le terrain et la tactique, loin des ébruitements médiatiques.
« La guerre, bien que menée avec des armes et du courage, dépend également de la maîtrise de l’information.
En parallèle, celui-ci a réaffirmé sa confiance indéfectible en les FARDC, les félicitant pour leur bravoure et leur dévouement.
Il a appelé l’ensemble de la population à soutenir les efforts de l’armée dans cette lutte pour la paix et la souveraineté de la République Démocratique du Congo.

Ituri : 8 civils libérés par la coalition FARDC-UPDF à Irumu

Huit (8) civils ont été libérés des mains des rebelles d’Allied democratic forces (ADF) par la coalition FARDC-UPDF en territoire d’Irumu (Ituri), le mardi 24 décembre 2024.
“Ils sont, au total, 8 civils libérés par la coalition FARDC-UPDF depuis mardi 24 décembre.
Ces victimes étaient sorties par le village Ndimo dans la chefferie de Walese-Vonkutu”, a fait savoir Soniau Malangayi, premier-vice coordonnateur de ladite structure, ce vendredi 27 décembre 2024.
Les exploits de la coalition FARDC-UPDF sont, ces jours-ci, palpables et salués dans la partie sud du territoire d’Irumu, avec notamment la pacification de certaines entités, jadis des bastions des rebelles ADF.
Il convient de rappeler que la coalition FARDC-UPDF avait libéré 117 otages des mains de rebelles ADF, la nuit du 30 au 31 octobre dernier, dans la profondeur de la forêt de Mont Hoyo, en chefferie des Walese-Vonkutu au sud du territoire d’Irumu.

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