Consultant (firme) chargé l’élaboration de l’étude de faisabilité et d’un plan d’affaires de bourse de valeurs mobilières en RDC

Les consultants peuvent se mettre en association pour augmenter leurs chances de qualification.
L’intérêt manifesté par un Consultant n’implique aucune obligation de la part de l’Emprunteur de le retenir sur la liste restreinte.
Les expressions d’intérêt doivent être écrits en français et être déposées sous plis fermés à l’adresse physique mentionnée ci-dessous et/ou envoyés par mail à l’adresse mentionné ci-dessous au plus tard lundi 05 mai 2025 à 15heures (heure de Kinshasa, TU+1) et porter expressément la mention « AMI n°010/PADSFI/MIN.FIN/UGP/2025/SC – Recrutement d’un consultant (firme) chargé l’élaboration de l’étude de faisabilité et d’un plan d’affaires de bourse de valeurs mobilières en RDC ».
Unité de Gestion du Projet8594, avenue Pumbu6ème étage, local A,Kinshasa-GombeRépublique Démocratique du CongoTél.
: (+243) 815026064E-mail : padsfi.rdc@finances.gouv.cdMichel BAFIBA K.Coordonnateur——————————————————–8594, avenue Pumbu, 6ème Etage, Commune de la Gombe, Kinshasa-RDCE-mail : padsfi.rdc@finances.gouv.cd – Tél.

Firme ou ONG chargé de mener une étude et capitalisation des bonnes pratiques sur la gestion des ouvrages d’eau potable, d’hygiène et d’assainissement dans les écoles et les centres de santé en RDC

Appel d’offres précédent Consultant (Firme) pour la conception et la production des matériels de communication en vue de la tenue des campagnes de marketing social pour appuyer la diffusion des solutions de cuisson propre dans le cadre du mécanisme RBF du PIFORES

Coltan de conflit : Global Witness appelle l’Union européenne à rompre son partenariat stratégique avec le Rwanda

L’organisation britannique Global Witness exhorte l’Union européenne (UE) à cesser toute coopération minière avec le Rwanda, qu’elle accuse d’être une plaque tournante dans le trafic de coltan issu de zones de conflit en République démocratique du Congo (RDC).
Une chaîne d’approvisionnement entachée par le conflitSelon le rapport, les minerais extraits illégalement dans l’Est de la RDC — notamment du coltan — transiteraient par le Rwanda avant d’être intégrés dans les chaînes d’approvisionnement européennes.
Une situation qui, selon Global Witness, contribue directement au financement du groupe armé M23, actif dans le Nord-Kivu.
« L’actuel partenariat entre l’UE et le Rwanda sur les matières premières menace la crédibilité des efforts européens contre le commerce de minerais de conflit », souligne l’ONG.
Cette posture luxembourgeoise fait polémique au sein de l’UE, certains y voyant un obstacle à une action européenne cohérente face à l’exploitation illégale des ressources naturelles dans les zones de conflit.

RDC: de la mine à l’usine, Expobéton appelle à une transformation locale des richesses congolaises

Avec une production de cuivre passée de 400 000 tonnes à plus de 3,1 millions en une décennie, le pays s’impose comme leader africain.
Il appelle à l’émergence de zones industrielles intégrées, de corridors logistiques connectés aux sites de production, et de dispositifs incitatifs à la transformation locale.
Cela implique également la formation d’une main-d’œuvre qualifiée, la planification territoriale, et l’intégration des nouvelles technologies dans les processus de production.
« Le cobalt, le lithium, le niobium ou le tantale sont au cœur de la transition énergétique mondiale.
Nous ne pouvons pas continuer à les exporter à l’état brut », a-t-il alerté.

RDC : un appel à la prise de conscience lancé aux magistrats (Président du Conseil supérieur de la magistrature)

Kinshasa, 17 avril 2025 (ACP).- Un appel à la prise de conscience collective et individuelle a été lancé jeudi aux magistrats de la République démocratique du Congo, par le président du Conseil supérieur de la magistrature, lors de la clôture des travaux de l’assemblée générale ordinaire de cette corporation, à Kinshasa.
Représentant le Chef de l’Etat à cette cérémonie, la Première ministre Judith Suminwa a rappelé aux magistrats la volonté du président Tshisekedi, dans sa qualité de magistrat suprême, de la tenue régulière de ces assemblées générales ordinaires du Conseil supérieur de la magistrature en avril de chaque année.
« En impulsant cette assemblée générale ordinaire, le Président de la République a voulu marquer un retour à la régularité statutaire.
Trop longtemps, les sessions du Conseil Supérieur de la Magistrature ont été reléguées à des réunions extraordinaires, souvent incertaines.
L’organisation d’une assemblée générale du conseil supérieur de la magistrature est une obligation légale repris repris dans l’article 10 de la loi organique n° 08/013 du 05 août 2008 portant organisation et fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature et que pour la première fois , elle a été organisée en respectant le délai fixée par la dite loi soit le premier lundi du mois d’avril.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No