Avis au public : lancement de l’appel d’offres pour le développement et l’exploitation de la mine satellite Sokoroshi 2

MMG Kinsevere Sarl annonce au public de la République Démocratique du Congo que l’appel d’offres suivant est en cours de préparation et de finalisation pour les futurs travaux à entreprendre sur le site de Sokoroshi 2 (SOK2), la mine satellite de Kinsevere, dans le Haut-Katanga :Développement et exploitation de la mine satellite Sokoroshi 2Les contractants intéressés par les appels d’offres susmentionnés sont tenus de se conformer pleinement aux exigences énumérées ci-dessous et de soumettre les documents requis à l’examen de MMG Kinsevere Sarl et à des vérifications de diligence raisonnable avant d’être acceptés en tant que participant possible au processus d’appel d’offres.
Le fait de ne pas soumettre ces documents, références entraînera une exclusion de la participation au processus d’appel d’offres.
DESCRIPTION SOMMAIRE DES TRAVAUXLes contractants participeront à l’appel d’offres sur le projet du développement et de l’exploitation du site de SOK2 qui sera répartis dans les sections suivantes: Le forage et le dynamitage; l’excavation, le chargement et le transport du minerai de SOK2, y compris la construction et la maintenance de la route de la carrière vers l’aire de décharge et à l’intérieur du périmètre de la zone minère ; la construction des installations auxiliaires ( le système du drainage, par exemple) et d’ingénierie environnementale; le transport du minerai de SOK2 à Kinsevere (KSV) incluant la maintenance de la route; la construction de la route SOK2-KSV et des installations auxiliaires (le systéme de drainage, par exemple); et enfin la sécurité.

Appel à candidatures formation RSE dans le secteur minier

Lieu : Likasi, Lubumbashi, en partie en ligneSociété : BGREmail : formation.rserdc@gmail.comRésumé de la formation :Formation certifiant de 100 heures sur la RSE dans l’industrie minière et les chaînes d’approvisionnement en matières premières.
Lieu : Likasi, Lubumbashi, en partie en ligneConditions :• Frais de participation de 200 $ à la FEC• Nationalité congolaise• Employé(e) à une entreprise ayant un lien avec le secteur minier en RDC (p.ex.
La sélection des candidats incombe à la Chambre des Mines et au BGR.
Les questions visent à remplir les fonctions suivantes :Aider à la sélection des participants à la formation afin de garantir un impact maximal.
En répondant à cette enquête de 10 à 15 minutes, vous nous aidez à adapter au mieux le contenu de la formation à vos besoins.

RDC : Le M23 contrôle la chaîne d’approvisionnement du coltan et de cassitérite à Masisi

Dans la province du Nord-Kivu près de 19 organisations de la société civile sont préoccupées et se disent inquiètes de la contamination de la chaîne d’approvisionnement des minerais dans les zones occupées par les rebelles du M23 notamment dans le territoire de Masisi où le coltan et la cassitérite sont exploités à souhait par ces rebelles.
C’est ce qu’a révélé le leader du groupe thématique mines et hydrocarbures au sein de la société civile du Nord-Kivu, Alexis Muhima.
Il a été interrogé par la radio onusienne :Podcast Mines.cd RDC : Le M23 contrôle la chaîne d’approvisionnement du coltan et de cassitérite à Masisi Play Episode Pause Episode Mute/Unmute Episode Rewind 10 Seconds 1x Fast Forward 30 seconds 00:00 / 4:32 Share Share Link Embed

RDC : La sous-traitance dans le secteur minier est « mourante, moribonde et c’est pire qu’avant »

L’un des entrepreneurs congolais actifs dans le secteur minier du pays, Don Israël Mbuyi dresse un tableau sombre de la sous-traitance en République démocratique du Congo.
Se confiant à MINES.CD, malgré le changement à la tête de l’ARSP – autorité de tutelle – la sous-traitance, surtout minière, est « mourante et pire qu’avant ».
Don Israël Mbuyi a été interrogé par Stéphie MUKINZI M

Angola : nouveau lieu d’exportation des minerais congolais ?

Celui-ci permettrait d’évacuer les minerais du Lualaba et de la Copperbelt zambienne par train, au lieu de passer par la route vers les ports de Dar-es-Salaam ou Durban comme cela se fait actuellement.
Résultat : le cuivre et le cobalt congolais sont évacués par route vers l’Afrique australe, et toute une économie de transport routier s’est développée autour.
De surcroît, il pourrait bousculer le commerce des minerais et équipements connexes à leur exploitation, bien établi, entre la RDC, l’Afrique du Sud et la Tanzanie.
Enfin, ce projet pourrait s’inscrire dans la compétition géopolitique autour des minerais stratégiques (cuivre et cobalt) entre l’Occident et la Chine.
L’exportation de minerais par Lobito sera-t-elle le précurseur de l’achat de plus grandes quantités des minerais stratégiques par des sociétés occidentales ou favorables aux intérêts de l’Occident ?

Pourquoi la RDC hésite à revendiquer les blocs pétroliers exploités par l’Angola

Depuis plus de 15 ans, la RDC tente de revendiquer la moitié des gisements de pétrole en cours d’exploitation par l’Angola.
Ces blocs pétroliers, qui représentent le tiers de la production pétrolière de l’Angola, sont situés à l’intérieur des frontières maritimes de la RDC.
Un exemple concret est son soutien financier et militaire substantiel à la RDC lors de la guerre de 1998.
En outre, malgré la mise en place de la Zic en 2007 pendant le régime de Joseph Kabila, l’Angola n’a jamais accordé de concession significative à la RDC.
Aujourd’hui, par exemple, l’Angola joue un rôle de médiateur entre la RDC et le Rwanda dans le conflit lié à la rébellion du M23.

RDC : le gouvernement appelé à faire de la Gécamines, la MIBA et la SOKIMO sa priorité

Au cours d’une interview exclusive accordée à MINES.CD, le directeur de la structure Afriwatch, Emmanuel Umpula, a fustigé la mauvaise gestion du secteur minier congolais depuis plusieurs années, constituant au passage, un frein pour le développement du pays.
Cela est lié à la question de gouvernance comme la Gécamines, vu qu’il y a beaucoup de partenariats, elle devrait prospérer également mais malheureusement elle ne prospère pas tout comme la MIBA, la SOKIMO également », a-t-il déclaré.
En outre, pour ce qui est de l’environnement, il a insisté sur le fait que la loi est claire en ce qui doit être fait et, à cet effet, les entreprises doivent savoir comment protéger l’environnement.
« L’autre défi est en terme de l’argent que les miniers payent.
Vous avez suivi récemment ce qui se passe à la Gécamines où les gens se sont partagés 11 millions de dollars américains comme ça seulement.

Afrique : La Libye devance le Nigeria et devient le premier pays africain producteur de pétrole (OPEP)

Le récent rapport de l’organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), renseigne qu’au cours du mois de mars dernier, la production de l’or noir de la Libye a été revue à la hausse.
Et que la production de pétrole brut du pays a atteint 1,24 million de barils par jour, soit une augmentation de 5,7%.
A en croire l’organisation, ces avancées significatives observées dans la chaine de production Libyenne s’inscrivent dans le contexte du changement de la classe politico-administratives du pays.
La production totale de pétrole, précise l’OPEP, s’est élevée en moyenne à 26,6 millions de barils par jour en mars, ce qui souligne l’organisation, représente une augmentation de 300 000 barils par jour en glissement annuel.
Il sied de noter que le Nigeria est l’un de plus grands producteurs de pétrole du continent africain, avec une réserve estimée à 37,5 milliards de barils.

MONDE : La production de lithium du continent africain devrait tripler en 2024

Benchmark Minerals Intelligence, agence suivant les cours de différents métaux notamment le lithium, renseigne que suite à la montée en puissance des investisseurs Chinois en Afrique, la production de lithium du continent devrait presque tripler en 2024.
Selon son rapport, le lithium, un de métaux indispensable à la fabrication de batteries de véhicules électriques ( EV), issu de la production des pays africains devrait atteindre 10% de l’offre mondiale.
À en croire la même source, une grande partie de la production africaine dudit métal serait contrôlé par les entreprises chinoises, et que plus de 90% de l’approvisionnement en lithium prévu du continent pour cette décennie proviendra des projets appartenant en partie aux géants chinois.
Il sied de rappeler qu’en Afrique, seuls la République démocratique du Congo, le Zimbabwe, la Namibie ainsi que le Mali, concentrent des réserves connues.
Dans la foulée, la RDC et le Mali seraient parmi de gros producteurs africains potentiels de lithium.

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