Consultants Traducteurs en Swahili et Lingala

APPEL À MANIFESTATION D’INTERÊT : CONSULTANTS TRADUCTEURS EN SWAHILI ET LINGALA1.
Dans le cadre de ses activités, le FCF produit divers supports destinés aux communautés locales et peuples autochtones basés à l’Equateur et dans le Nord-Kivu, qui doivent être traduits en swahili et lingala pour assurer une communication efficace et inclusive.
ObjectifsLes consultants retenus auront pour mission de :Traduire les supports de communication et les documents techniques du FCF du français vers le swahili et le lingalaAssurer la cohérence et la qualité des traductions en respectant le contexte culturel et linguistique des CL&PA basés soit à l’Equateur soit dans le Nord-KivuTravailler en coordination avec l’équipe du FCF pour toute clarification terminologiqueRelire et corriger les traductions en concertation avec des locuteurs natifs.
Profil recherchéLes candidats doivent répondre aux critères suivants :Diplôme de Licence en communication, littérature, traduction et interprétation, pédagogie générale, sciences environnementales ou droitTrois expériences de traduction des documents techniques en langues nationales congolaises,Excellentes compétences rédactionnelles et de relectureConnaissance du contexte des Peuples Autochtones et Communautés Locales en RDC et du secteur environnemental serait un atout5.
L’offre et documents demandés doivent être en français7.

Kisangani: un policier abat un conducteur de tricycle devant une station-service d’une commune

2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/kisangani_ville_rond_point_24.jpegUn policier chargé de la sécurité d’une station-service située en face de l’entrée de l’hôpital général de référence de la commune de Kabondo, à Kisangani, dans la Tshopo (Nord-est de la République démocratique du Congo), a abattu, ce vendredi 7 février 2025, un conducteur de moto-tricycle.
Après un échange tendu, le policier en poste est intervenu et, dans des circonstances encore floues, a ouvert le feu sur le conducteur, le tuant sur le champ », a rapporté Marie Amisi, témoin du drame.
L’incident a immédiatement provoqué une forte indignation parmi les habitants, entraînant une vive tension dans la zone.
Les commerces environnants ont dû fermer leurs portes face à la colère de la population, paralysant ainsi les activités économiques du quartier.
Après avoir commis son crime, le policier s’est volatilisé dans la nature, et le corps de la victime a été acheminé à la morgue en attendant les enquêtes.

Conseil des droits de l’Homme : l’ONU plaide pour la levée de la suspension de TikTok et X en RDC

2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/tiktok_et_x_25.jpgCe vendredi 7 février 2025, lors d’une session spéciale du Conseil des droits de l’Homme dédiée à la situation des droits de l’Homme en RDC, la représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU en RDC, Bintou Keita, a plaidé pour la levée de la suspension des réseaux sociaux TikTok et X (anciennement Twitter).
« La suspension des réseaux sociaux tels que X et TikTok par les autorités congolaises constitue une atteinte grave au droit à l’information et doit être rapidement levée », a-t-elle déclaré.
Cette suspension, qui prive des millions de Congolais de l’accès à ces plateformes, aurait été décidée en raison de la situation sécuritaire dans l’Est du pays, notamment à Goma.
Certains estiment qu’elle permet de limiter la manipulation et la désinformation concernant les activités des rebelles du AFC/M23.
D’autres, en revanche, dénoncent une restriction des libertés, arguant qu’elle empêche les Congolais de suivre de près l’évolution de la crise sécuritaire.

Agression rwandaise : 1 000 000 USD d’une entreprise publique destiné à l’effort de guerre

Le président du Conseil d’administration, Amisi Makutano, a fait savoir que ce geste a une portée symbolique et marque l’engagement de l’entreprise à répondre à l’appel à la mobilisation nationale lancé par le président de la République.
Le président du conseil d’administration a également adressé un message aux autres entreprises soulignant l’importance de contribuer à cet effort commun.
Il a fait remarquer que, malgré les difficultés de trésorerie que nous rencontrons, nous nous sommes battus, il était essentiel que nous priorisions cette mobilisation.
Le Conseil d’Administration de l’Ogefrem considère ce geste comme une contribution directe et indiscutable à l’effort de guerre.
L’Office mettra tout en œuvre pour continuer à soutenir les initiatives visant à renforcer la nation, a-t-il assuré.

Football : le Brésilien Marcelo tire sa révérence

Il a également représenté le Brésil lors des Coupes du monde 2014 et 2018, remportant des médailles olympiques en 2008 (bronze) et 2012 (argent).
“Marcelo fait partie de l’histoire du Real Madrid et est l’une des grandes légendes de notre club et du football mondial”, a déclaré le club madrilène.
Ronaldo lui a rendu hommage en le qualifiant de “frère”.
Marcelo a disputé 546 matchs en 16 saisons avant de quitter le Real en 2022 après avoir soulevé sa cinquième Ligue des champions.
À ce moment-là, il était le joueur le plus titré de l’histoire du club, avant d’être dépassé par Luka Modric et Nacho Fernández, qui comptent désormais 26 trophées chacun.

Donald Trump sanctionne la CPI : Israël se réjouit, l’ONU et l’UE protestent

Dans un communiqué, l’institution judiciaire basée à La Haye “condamne” ce décret, qui vise selon elle “à imposer des sanctions à ses fonctionnaires et à nuire à son travail judiciaire indépendant et impartial”.
De précédentes sanctions prises par le précédent gouvernement Trump en 2020 avaient visé Fatou Bensouda, alors procureure de la Cour.
Fondée en 2002, la Cour compte aujourd’hui 124 États membres et n’a prononcé depuis sa création qu’une poignée de condamnations.
Selon lui, la Cour n’a aucune légitimité dans la mesure où Israël et les États-Unis ne sont “pas membres de la CPI”.
La Cour pénale internationale (CPI), à La Haye, aux Pays-Bas, le 21 novembre 2024.

« La France n’a jamais demandé à ses ressortissants de quitter la RDC » (Ambassadeur français)

2025-02-072025-02-072025-02-072025-02-07Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/Remi_Marechaux_ambassadeur_de_la_france_en_rdc_recu_par_le_ministre_de_formation_professionnelle_25.pngLa France n’a jamais demandé à ses ressortissants de quitter la République démocratique du Congo, a affirmé l’Ambassadeur de France en République démocratique du Congo (RDC), au cours d’une audience lui accordé, jeudi 6 février 2025, à Kinshasa, la capitale, par le ministre de la Formation professionnelle.
« La France n’a pas appelé ses ressortissants à quitter le Congo et l’ambassade de France n’a pas réduit ses effectifs.
Les deux parties ont également évoqué les projets de développement dans le secteur de la Formation professionnelle avec l’appui de la France.
« Le ministre nous a présenté les priorités de la Formation professionnelle qui reprennent les priorités fixées par le président de la République, Félix Tshisekedi, notamment dans le domaine de l’éducation.
Nous avons encore défini les priorités dans lesquelles nous allons prochainement travailler ensemble pour la promotion de l’intérêt de la jeunesse congolaise », a dit le diplomate français.

Agression rwandaise : « Si rien n’est fait, le pire peut arriver, même au-delà de la RDC » (Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme)

« Depuis le début de l’année, le groupe armé M23 soutenu par les forces armées rwandaises a intensifié son offensive dans les provinces du Nord et Sud-Kivu.
En ce moment, les tensions augmentent dans le Sud-Kivu, si rien n’est fait, le pire est peut-être en train de venir », a déclaré le Haut-Commissaire.
Türk, qui dit suivre de près cette crise depuis des années, s’est dit « profondément perturbé » par l’escalade des violences.
Volker Türk a également appelé à la mobilisation de la communauté internationale face à cette situation, rappelant que « nous sommes tous impliqués, à travers les téléphones que nous utilisons ».
Face à l’urgence de la situation et le risque d’embrasement régional, le Haut-Commissaire appelle à une réponse internationale rapide et coordonnée pour mettre fin aux exactions et protéger les populations civiles dans l’Est de la RDC.

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