« Tshisekedi prépare un changement de Constitution pour vendre l’Est à Kagame, fragiliser l’Ituri et instaurer une dictature à l’Ouest » (Martin Fayulu)

Selon Fayulu, le chef de l’État aurait vendu l’Est du pays au président rwandais Paul Kagame et chercherait à modifier la Constitution pour consolider son pouvoir.
Imposer une dictature à l’Ouest : Enfin, Fayulu évoque un projet visant à réduire les libertés démocratiques dans cette région du pays.
Réagir 3 1 1 Signaler un abusPassion du Congo @MP3MKSB Message – Publié le 27.11.2024 à 12:52 Cher MAFA!
Réagir 4 3 1 1 Signaler un abusderekNk @71RJVQY Message – Publié le 27.11.2024 à 11:33 la rhétorique des opposants à panne d’inspiration reprend sa place.
Et le peuple naif, regionnaliste suivra aveuglement sans résultat escompté !

« Si l’on m’offre une résidence, je rentrerai au pays » (Maman Bobi Ladawa)

Retour Société« Si l’on m’offre une résidence, je rentrerai au pays » (Maman Bobi Ladawa)2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/judith_suminwa_et_maman_bobi_ladawa_24.pngMaman Bobi Ladawa, veuve du Président Mobutu, a récemment exprimé son désir de retourner en République Démocratique du Congo, mais a conditionné son retour à l’attribution d’une résidence appropriée.
« Si l’on m’offre une résidence, je rentrerai au pays », a-t-elle déclaré, précisant qu’elle ne souhaitait pas loger à l’hôtel.
La demande de Maman Bobi Ladawa reflète également son profond attachement à son pays et son désir de contribuer à son développement, mais dans des conditions de vie respectueuses de son statut.
Depuis qu’elle est au Maroc, on parle très peu d’elle et les congolais ont d’autres chats à fouetter pour survivre.
Je pense qu’elle a un statut de veuve d’ancien président et que par conséquent, a droit à une résidence et une prise en charge aux frais de l’état.

Constitution : Guy Loando favorable au changement de la Constitution

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/arep_de_guy_loando_24.jpgLe Bureau politique du parti politique Agissons pour la République (Arep), parti cher à Guy Loando Mboyo, réuni dernièrement en session extraordinaire au siège national pour statuer sur les questions politiques de l’heure, a dit soutenir “particulièrement l’idée d’une réflexion patriotique et objective lancée par Félix Tshisekedi, sur la nécessité d’améliorer les règles fondamentales de droit contenues dans la Constitution du 18 février 2006, par ailleurs adoptée dans un contexte historique et politique particulier qui a sensiblement évolué à ce jour, au point d’appeler inexorablement une revisitation profonde”.
Ce parti exprime son attachement au droit reconnu au peuple congolais, souverain primaire, de décider librement et sans restriction sur la direction de son avenir par le choix des règles qui doivent le conduire vers sa destinée glorieuse et sa vocation naturelle de locomotive de l’Afrique.
Il dit non à toute tentative matérielle ou intellectuelle destinée à restreindre le droit et la liberté du peuple congolais à réfléchir sur la possibilité d’améliorer les règles de droit qui régentent la nation dans le but d’assurer sa survie comme peuple fier de son identité et de son histoire.
L’Arep dit oui à la vigilance et la maturité affichées par le peuple congolais face à différentes tentatives de manipulation, et exhorte le gouvernement à œuvrer davantage sur les projets qui touchent directement à la vie sociale de la population, notamment l’accès à l’eau et à l’électricité, les soins de santé de qualité, l’accès à la scolarité, la paix à l’est, les infrastructures routières, la fin des embouteillages, l’accès aux denrées alimentaires de première nécessité, le paiement régulier des agents et fonctionnaires de l’État.
L’Arep rappelle qu’il pèse 8 députés nationaux, 9 sénateurs, 37 députés provinciaux, 1 gouverneur, 2 vice-gouverneurs, 2 présidents des Assemblées provinciales, 2 vice-présidents des Assemblées provinciales, 8 autres membres de bureaux des Assemblées provinciales et 11 conseillers municipaux.

Le Nigeria aurait déjà économisé 20 milliards de dollars grâce à l’arrêt des subventions sur l’essence

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/nigeria_arret_des_subventions_sur_l_essence_2024.jpgAu Nigeria, la levée des subventions sur l’essence amorcée dès l’élection de Bola Tinubu en mai 2023 aurait déjà permis d’économiser près de 20 milliards de dollars, selon le gouvernement.
À l’avenir, il espère récolter 7,5 milliards de dollars chaque année grâce à cette mesure plutôt impopulaire en raison de son impact sur les prix du carburant.
La levée des subventions sur le carburant en mai 2023 aurait déjà permis des économies s’élevant à près de 20 milliards de dollars, selon le ministre des Finances du Nigeria.
Sunday Dare, conseiller spécial du président, a déclaré que le Nigeria devrait dorénavant récupérer 7,5 milliards de dollars par an grâce à cette suppression.
Ce mardi 26 novembre, la raffinerie de Port Harcourt a commencé à produire du carburant raffiné après plusieurs années de réhabilitation.

Le Nigeria aurait déjà économisé 20 milliards de dollars grâce à l’arrêt des subventions sur l’essence

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/nigeria_arret_des_subventions_sur_l_essence_2024.jpgAu Nigeria, la levée des subventions sur l’essence amorcée dès l’élection de Bola Tinubu en mai 2023 aurait déjà permis d’économiser près de 20 milliards de dollars, selon le gouvernement.
À l’avenir, il espère récolter 7,5 milliards de dollars chaque année grâce à cette mesure plutôt impopulaire en raison de son impact sur les prix du carburant.
La levée des subventions sur le carburant en mai 2023 aurait déjà permis des économies s’élevant à près de 20 milliards de dollars, selon le ministre des Finances du Nigeria.
Sunday Dare, conseiller spécial du président, a déclaré que le Nigeria devrait dorénavant récupérer 7,5 milliards de dollars par an grâce à cette suppression.
Ce mardi 26 novembre, la raffinerie de Port Harcourt a commencé à produire du carburant raffiné après plusieurs années de réhabilitation.

Une nouvelle Constitution ? Félix Tshisekedi met sur la table l’idée d’un référendum

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/tshisekedi_met_idee_d_un_referendum_tanganyika_2024.jpgÀ son arrivée mardi 26 novembre dans la province du Tanganyika où il doit assister à la conférence annuelle des gouverneurs, le président Félix Tshisekedi a tenu un discours devant la population, lors duquel il a une nouvelle fois évoqué une réforme de la Constitution, avec un référendum à la clé.
« C’est au peuple lui-même de s’exprimer », a déclaré en Lingala Félix Tshisekedi à propos de l’avenir de la Constitution.
Le dernier mot reviendra au peuple », a-t-il conclu, mettant ainsi sur la table l’idée d’un référendum.
Fin octobre, c’était à Kisangani, dans la Tshopo, qu’il avait évoqué une révision constitutionnelle possible.
Mi-novembre, à Lubumbashi, dans le Katanga, il avait clarifié sa position, expliquant que la réforme envisagée ne concernait pas un troisième mandat, mais visait à renforcer la protection du pays, qu’il estime insuffisante dans la Constitution actuelle.

Une nouvelle Constitution ? Félix Tshisekedi met sur la table l’idée d’un référendum

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/tshisekedi_met_idee_d_un_referendum_tanganyika_2024.jpgÀ son arrivée mardi 26 novembre dans la province du Tanganyika où il doit assister à la conférence annuelle des gouverneurs, le président Félix Tshisekedi a tenu un discours devant la population, lors duquel il a une nouvelle fois évoqué une réforme de la Constitution, avec un référendum à la clé.
« C’est au peuple lui-même de s’exprimer », a déclaré en Lingala Félix Tshisekedi à propos de l’avenir de la Constitution.
Le dernier mot reviendra au peuple », a-t-il conclu, mettant ainsi sur la table l’idée d’un référendum.
Fin octobre, c’était à Kisangani, dans la Tshopo, qu’il avait évoqué une révision constitutionnelle possible.
Mi-novembre, à Lubumbashi, dans le Katanga, il avait clarifié sa position, expliquant que la réforme envisagée ne concernait pas un troisième mandat, mais visait à renforcer la protection du pays, qu’il estime insuffisante dans la Constitution actuelle.

Une nouvelle Constitution ? Félix Tshisekedi met sur la table l’idée d’un référendum

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/tshisekedi_met_idee_d_un_referendum_tanganyika_2024.jpgÀ son arrivée mardi 26 novembre dans la province du Tanganyika où il doit assister à la conférence annuelle des gouverneurs, le président Félix Tshisekedi a tenu un discours devant la population, lors duquel il a une nouvelle fois évoqué une réforme de la Constitution, avec un référendum à la clé.
« C’est au peuple lui-même de s’exprimer », a déclaré en Lingala Félix Tshisekedi à propos de l’avenir de la Constitution.
Le dernier mot reviendra au peuple », a-t-il conclu, mettant ainsi sur la table l’idée d’un référendum.
Fin octobre, c’était à Kisangani, dans la Tshopo, qu’il avait évoqué une révision constitutionnelle possible.
Mi-novembre, à Lubumbashi, dans le Katanga, il avait clarifié sa position, expliquant que la réforme envisagée ne concernait pas un troisième mandat, mais visait à renforcer la protection du pays, qu’il estime insuffisante dans la Constitution actuelle.

Une nouvelle Constitution ? Félix Tshisekedi met sur la table l’idée d’un référendum

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/tshisekedi_met_idee_d_un_referendum_tanganyika_2024.jpgÀ son arrivée mardi 26 novembre dans la province du Tanganyika où il doit assister à la conférence annuelle des gouverneurs, le président Félix Tshisekedi a tenu un discours devant la population, lors duquel il a une nouvelle fois évoqué une réforme de la Constitution, avec un référendum à la clé.
« C’est au peuple lui-même de s’exprimer », a déclaré en Lingala Félix Tshisekedi à propos de l’avenir de la Constitution.
Le dernier mot reviendra au peuple », a-t-il conclu, mettant ainsi sur la table l’idée d’un référendum.
Fin octobre, c’était à Kisangani, dans la Tshopo, qu’il avait évoqué une révision constitutionnelle possible.
Mi-novembre, à Lubumbashi, dans le Katanga, il avait clarifié sa position, expliquant que la réforme envisagée ne concernait pas un troisième mandat, mais visait à renforcer la protection du pays, qu’il estime insuffisante dans la Constitution actuelle.

Boxe : Martin Bakole trouve un autre adversaire pour son prochain combat

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/martin_bakole_vs_efe_ajagba_24.pngLe pugiliste rd-congolais Martin Bakole est encore à un combat de devenir le challenger obligatoire pour le titre de champion du monde des poids lourds de la Fédération Internationale de Boxe (IBF) détenu par Daniel Dubois.
Son adversaire pour l’éliminatoire a encore changé.
L’IBF a ordonné à Bakole (31 ans) de combattre contre le nigérian Efe Ajagba (30 ans) dans un combat décisif qui va définir le prochain adversaire de Daniel Dubois.
Alors que l’allemand Agit Kabayel et le chinois Zhilei Zhang ont désisté pour croiser Bakole, le boxeur rd-congolais a un adversaire : Efe Ajagba, numéro 7 au classement de l’IBF (20-1, 14 KOs).
Bakole (21-1, 16 KOs) s’est montré impérial en s’imposant que Jared Anderson et Carlos Takam lors de ses deux derniers combats.

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