Author: mediacongo.net

Paul Sakouvogi, un journaliste exerçant dans la ville, a déclaré à la BBC que l’Internet avait été coupé dans la région.
Ils n’autorisaient que le personnel médical à accéder à l’hôpital, tandis que les autres étaient priés de repartir comme ils étaient venus”.
Figurez-vous, de 18h jusqu’à 21h, les ambulances ne faisaient qu’amener des corps et les blessés », confie-t-il à la BBC.
Il précise que les services médicaux ont fait état de 56 morts et de plusieurs blessés, sans en déterminer le nombre.
Il est vrai que la manière dont les stades sont construits peut jouer un rôle dans la canalisation de la violence”, avait-il expliqué dans la presse guinéenne.

2024-12-032024-12-032024-12-032024-12-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/jean_michel_sama_recoit_une_delegation_du_parlement_panafricain_24.jpgLe Président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, a accordé une audience, lundi 2 décembre 2024, à une délégation de la commission du Parlement panafricain, en visite à Kinshasa.
L’audience s’est déroulée dans son cabinet de travail au Palais du Peuple.
La délégation, conduite par le sénateur Christophe Lutundula, président de la commission des Relations extérieures du Sénat, est venue exprimer son soutien aux efforts déployés par le gouvernement congolais pour restaurer la paix et la sécurité dans la région orientale du pays, durement affectée par les conflits armés.
L’occasion a été donnée de discuter des défis sécuritaires qui secouent l’Est de la RDC et des initiatives prises par les autorités pour rétablir l’ordre et favoriser la réconciliation nationale.
La présence de la commission du Parlement panafricain témoigne de l’intérêt régional pour la situation en RDC et de la volonté des États africains d’apporter une aide concrète à la RDC dans ses efforts de paix.

2024-12-032024-12-032024-12-032024-12-03Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/antenne_voa.jpgL’administrateur du territoire de Bumba, dans la province de la Mongala, Gabriel Iluku, a décidé de porter plainte contre 6 journalistes de la radio La Voix de Bumba.
En réaction, l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC), section provinciale du Grand Équateur a, dans sa correspondance du 30 novembre, suspendu les journalistes incriminés après avoir examiné le dossier.
Toutefois, l’UNPC Grand Équateur a demandé à Paulin Bolembe, représentant de l’UNPC à Bumba, d’entendre les concernés sur un procès-verbal chacun muni de sa carte d’identité professionnelle délivrée par l’UNPC afin d’établir les responsabilités.
Au cas contraire, l’UNPC Grand Équateur promet de décliner ses responsabilités devant les instances judiciaires.
Cliquez pour lire la plainte de l’administrateur de Bumba et la correspondance de l’UNPC Grand Équateur portant suspension des journalistes

Dans une déclaration faite à la presse, samedi 30 novembre, lors de la rentrée judiciaire, Eudoxie Maswama déplore plusieurs cas de meurtres, d’accidents de circulation et autres dépravations de mœurs dues à la prise abusive de ces boissons, dont la teneur en alcool n’est pas connue.
Cela constitue une menace pour la santé des jeunes filles et garçons qui s’adonnent à la consommation de ces liqueurs, affirme Eugénie Maswama.
La procureure générale près la Cour d’appel évoque également des cas de viol, vol et autres crimes attribués à des jeunes qui prennent ces boissons frelatées.
Elle déplore aussi les conditions hygiéniques dans lesquelles ces boissons sont fabriquées, surtout localement.
Eudoxie Maswama explique que sa démarche vise à alerter la communauté sur ce fléau qui prend des proportions inquiétantes.

« Je reste à la Primature au poste de Premier ministre.
« Nous avons entamé un travail à la Primature.
Il a été nommé Premier ministre en avril au lendemain de la victoire de son bras droit Bassirou Diomaye Faye à la présidentielle, succès dont il est l’architecte.
Malick Ndiaye, jusque-là ministre des Infrastructures et des Transports.
À voir comment il va pouvoir l’incarner à la tête de l’Assemblée nationale et avec l’intense travail législatif qui attend le Parlement.

Cette foire avait pour objectif de rassembler les acteurs du secteur agricole, les producteurs, les distributeurs, les institutions et le grand public autour des dernières innovations et enjeux de l’agriculture durable en RDC.
Outre les exposés des panélistes, cette activité était marquée par l’intérêt témoigné par les participants aux questions abordées.
On est vraiment agréablement surpris de voir l’engouement aujourd’hui et l’engagement des uns et des autres.
Bijoux Tshiunza a également réitéré la volonté de Microdev d’accompagner les femmes maraîchères dans la production et la promotion de leurs produits.
“On va travailler avec les femmes de l’Assiette du peuple en commençant par répertorier les produits qu’elles ont ainsi leurs difficultés.

Tel un cadeau tombé du ciel, Bébé Papa égaie depuis un temps par son humour atypique sur le web.
Si sur le web, il en met plein la vue avec ses vannes bien cotées, Bébé Papa qui a récemment reçu le prix de “Meilleur jeune humoriste” au Congo Awards 2024, va bientôt conquérir la scène.
Dans un spectacle prévu au Centre culturel Boboto le 22 décembre 2024, Bébé Papa compte écrire l’histoire devant un grand public qui viendra le voir à l’œuvre.
Entre encouragements et agacement, l’annonce du spectacle de Bébé Papa au Centre culturel Boboto divise les internautes.
En attendant, beaucoup de fans de Bébé Papa sont mobilisés pour prendre part à son spectacle du Centre culturel Boboto et ne jurent que par son succès.

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/bintou_keita_et_des_femmes_24.jpegLa cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita a fustigé, mardi 26 novembre, la publication et propagation des images des violences faites aux femmes sur les différents réseaux sociaux.
Elle a exprimé son indignation à l’occasion du lancement de la campagne de 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes, à Kinshasa.
Bintou Keita est d’avis que la publication répétée des telles images sur les réseaux sociaux viole les règles de la dignité et du respect de l’être humain : « Est-ce que nous pensons que montrer des images qui sont des horreurs, ça change la compassion et l’empathie ?
Ce haut fonctionnaire de l’ONU a également déploré les attaques de dénigrement et des insultes des personnes humaines.
Cette année, la campagne de 16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes est placée sous le thème : « Vers 30 ans de la déclaration du programme de Beijing, s’unir pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes ».

REDISSE IV est un projet régional impliquant la République Démocratique du Congo, la République du Congo, la République du Tchad, la République d’Angola ainsi que la République Centrafricaine.
Le renforcement des systèmes de surveillance des maladies est la mission du ministère de la Santé Publique, de l’Hygiène et de la Prévention, et l’une des priorités du Plan National de Développement Sanitaire (PNDS), cadre de référence de la politique de santé en RDC.
Développement des ressources humaines en santé publique.
De par la nature, les caractéristiques et l’ampleur des activités envisagées dans le cadre de sa mise en œuvre, le Projet REDISSE IV sont potentiellement associés à des risques et impacts environnementaux et sociaux jugés importants.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la composante 2 du projet REDISSE IV des travaux de construction de Laboratoires de Santé Publique sont prévus dans les villes de Mbuji-Mayi et Boende.

2024-12-022024-12-022024-12-022024-12-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/sida_vih_victimes_2400.pngLe monde entier a célébré ce dimanche 1er décembre la journée internationale de la lutte contre le VIH /sida sous le thème “suivons le chemin de droit”.
Un thème qui invite à réfléchir sur le lien fondamental entre les droits humains et la lutte contre le VIH sida.
D’après Onu-sida, sur 39,9 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde, près d’un quart soit 9,3 millions ne reçoivent pas le traitement vital, ce qui se traduit par un décès de cause du sida par minute.
Selon Véronique Ngongo Furah, ce refus de suivre le traitement serait aussi dû à la désinformation et la stigmatisation dont sont victimes les personnes atteintes du VIH.
“En RDC, selon le programme national de lutte contre le sida, sur une estimation de 520.000 personnes infectées, 400.000 personnes sont sous le traitement antirétroviral donc 120.000 personnes infectées ne suivent pas leur traitement.