Nouvelle Constitution : le Front pour un Congo Nouveau entend collecter 100.000 signatures

2024-12-022024-12-022024-12-022024-12-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/02-08/Claude_Nyamugabo_Bazibuhe_240.pngLe parti politique Front pour un Congo Nouveau (FPCN) a lancé, samedi 30 novembre 2024, à Bukavu, au Sud-Kivu, une opération de collecte de 100.000 signatures pour initier un référendum constitutionnel, conformément aux exigences prévues par la loi, a appris l’ACP dimanche 1er décembre de l’Autorité morale de cette formation politique.
« Le FPCN s’est engagé à transmettre ses propositions sous forme de termes de référence à la commission constituante originaire qui sera mise sur pied par le Chef de l’Etat.
C’est ainsi que le parti a chargé le président national du Parti à engager la procédure de récolte de 100.000 signatures de ses membres à travers le pays qui devront accompagner ledit document, comme l’exige la loi », a déclaré Me Claude Nyamugabo Bazibuhe au cours de l’entretien.
« Il se dégage par conséquent l’évidence d’un changement devenu impératif afin d’assouplir le fonctionnement régulier des Institutions de la République, des Provinces et des Entités Territoriales tant Décentralisées que Déconcentrées, telles que soutenu par le président de la République Son Excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo », a-t-il soutenu.
À la veille de la grande réunion extraordinaire du Directoire Politique National de son Parti, le Président du FPCN a fait savoir qu’il a été reçu mardi 26 novembre 2024 au siège de l’Union Sacrée de la Nation à Kinshasa par le Secrétaire Permanent.

Changement de la Constitution : “le pays se trouve aux portes d’une guerre civile” (Olivier Kamitatu)

2024-12-022024-12-022024-12-022024-12-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/olivier_kamitatu_02_dec_2024.jpgLe débat sur le changement de la Constitution se renforce avec des avis partagés.
Ces informations corroborent une vidéo virale montrant la mise à disposition d’uniformes militaires aux extrémistes recrutés au sein d’une même communauté.
En réalité, le pays se trouve aux portes d’une guerre civile.
Cependant, les critiques fusent au sein de l’opposition, qui est unanime contre le projet de changement de la Constitution.
Du côté de l’Udps parti au pouvoir, l’heure est déjà à la mise en place d’une commission chargée d’étudier la question sur le changement de la Constitution.

Après la neutralisation des FDLR, « il faut un dialogue direct entre la RDC et le M23 » (Rwanda)

2024-12-022024-12-022024-12-022024-12-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/olivier_nduhungirehe_rwanda_chef_de_la_diplomatie_2_dec_2024.jpgLa solution au conflit rwando-congolais ne passe pas seulement par la neutralisation des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais, a affirmé samedi le chef de la diplomatie rwandaise.
Selon Olivier Nduhungirehe, le gouvernement congolais doit aussi dialoguer directement avec la milice M23, qui se positionne comme le bouclier de la communauté tutsi, pour s’attaquer aux causes profondes de la crise.
« Cette question du M23, c’est la seule question sécuritaire qui reste à régler, puisqu’il y a trois questions sécuritaires qui sont entre la RDC et le Rwanda : les FDLR, les mesures de défense et le M23.
Appuyés par l’armée rwandaise, les rebelles du M23 contrôle des pans entiers du Nord-Kivu.
Selon Olivier Nduhungirehe, les mesures défensives mises en place par le Rwanda resteront en vigueur jusqu’à la matérialisation des accords visant à neutraliser les FDLR.

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