Cohésion nationale : Marie-Josée Ifoku propose la création d’un Conseil national de médiation en RDC

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/Marie_Josee_Ifoku_240.jpgAu cours d’une interview, mardi 26 novembre 2024, à la Radio Okapi, Marie-Josée Ifoku, candidate malheureuse à la présidentielle de 2018 et 2023 et ancienne gouverneure de province de la Tshuapa, plaide pour la création d’un Conseil national de médiation pour renforcer la cohésion nationale.
Marie-Josée Ifoku estime que la RDC a besoin d’une vraie renaissance afin d’espérer son développement : « Faisons les choses dans un cadre légal, qui va nous permettre de réfléchir, de faire entrer tout le monde, pas que les politiciens.
Nous ne pouvons pas nous limiter qu’à la politique politicienne ».
Elle s’est ainsi exprimée dans le cadre du débat en cours dans le pays autour de la révision ou du changement de la Constitution en RDC.
Pour Marie-Josée Ifoku, le pays n’a pas de problème de texte.

Guerre du M23 : “Ce conflit est politique, il faut l’analyser avec sagesse” (Hiro Le Coq)

Une analyse nuancée du conflitS’exprimant sur la situation, Hiro Le Coq a souligné la complexité du conflit M23-FARDC.
J’ai constaté que les habitants de Goma et les Rwandais font du commerce ensemble.
Avant de venir ici, je ne savais pas que les Rwandais et les Congolais de l’Est vivaient ensemble.
Par ses mots, Hiro invite à une analyse approfondie et à la prudence, tout en affirmant sa solidarité avec les Congolais.
Lundi soir, dans une ambiance chargée d’émotion, il a distribué des vivres, des produits de première nécessité et, surtout, des livres.

Guerre du M23 : “Ce conflit est politique, il faut l’analyser avec sagesse” (Hiro Le Coq)

Une analyse nuancée du conflitS’exprimant sur la situation, Hiro Le Coq a souligné la complexité du conflit M23-FARDC.
J’ai constaté que les habitants de Goma et les Rwandais font du commerce ensemble.
Avant de venir ici, je ne savais pas que les Rwandais et les Congolais de l’Est vivaient ensemble.
Par ses mots, Hiro invite à une analyse approfondie et à la prudence, tout en affirmant sa solidarité avec les Congolais.
Lundi soir, dans une ambiance chargée d’émotion, il a distribué des vivres, des produits de première nécessité et, surtout, des livres.

Ituri : 18 collaborateurs du M23 présentés aux autorités

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/rebelles_23_collaborateurs_arretes_en_ituri_24.pngAu total, 18 collaborateurs des rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) ont été présentés, mardi 26 novembre 2024, au gouvernorat de la province de l’Ituri.
Ces personnes ont été recrutées dans le site des déplacés de savo dans le territoire de Djugu pour rejoindre les rebelles du M23 dans la province du Nord-Kivu.
« Ces criminels étaient recrutés dans un site des déplacés en territoire de Djugu par un monsieur du nom de Ngabu pour rejoindre le M23.
Ces personnes avaient été interceptées à la frontière Ouganda-Rwanda par le service de sécurité ami de l’Ouganda.
Le lieutenant général Johnny Luboya N’kashama, Gouverneur de la province de l’Ituri a appelé la communauté iturienne à se désolidariser à la manipulation.

« Tshisekedi prépare un changement de Constitution pour vendre l’Est à Kagame, fragiliser l’Ituri et instaurer une dictature à l’Ouest » (Martin Fayulu)

Selon Fayulu, le chef de l’État aurait vendu l’Est du pays au président rwandais Paul Kagame et chercherait à modifier la Constitution pour consolider son pouvoir.
Imposer une dictature à l’Ouest : Enfin, Fayulu évoque un projet visant à réduire les libertés démocratiques dans cette région du pays.
Réagir 3 1 1 Signaler un abusPassion du Congo @MP3MKSB Message – Publié le 27.11.2024 à 12:52 Cher MAFA!
Réagir 4 3 1 1 Signaler un abusderekNk @71RJVQY Message – Publié le 27.11.2024 à 11:33 la rhétorique des opposants à panne d’inspiration reprend sa place.
Et le peuple naif, regionnaliste suivra aveuglement sans résultat escompté !

« Si l’on m’offre une résidence, je rentrerai au pays » (Maman Bobi Ladawa)

Retour Société« Si l’on m’offre une résidence, je rentrerai au pays » (Maman Bobi Ladawa)2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/judith_suminwa_et_maman_bobi_ladawa_24.pngMaman Bobi Ladawa, veuve du Président Mobutu, a récemment exprimé son désir de retourner en République Démocratique du Congo, mais a conditionné son retour à l’attribution d’une résidence appropriée.
« Si l’on m’offre une résidence, je rentrerai au pays », a-t-elle déclaré, précisant qu’elle ne souhaitait pas loger à l’hôtel.
La demande de Maman Bobi Ladawa reflète également son profond attachement à son pays et son désir de contribuer à son développement, mais dans des conditions de vie respectueuses de son statut.
Depuis qu’elle est au Maroc, on parle très peu d’elle et les congolais ont d’autres chats à fouetter pour survivre.
Je pense qu’elle a un statut de veuve d’ancien président et que par conséquent, a droit à une résidence et une prise en charge aux frais de l’état.

Constitution : Guy Loando favorable au changement de la Constitution

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/arep_de_guy_loando_24.jpgLe Bureau politique du parti politique Agissons pour la République (Arep), parti cher à Guy Loando Mboyo, réuni dernièrement en session extraordinaire au siège national pour statuer sur les questions politiques de l’heure, a dit soutenir “particulièrement l’idée d’une réflexion patriotique et objective lancée par Félix Tshisekedi, sur la nécessité d’améliorer les règles fondamentales de droit contenues dans la Constitution du 18 février 2006, par ailleurs adoptée dans un contexte historique et politique particulier qui a sensiblement évolué à ce jour, au point d’appeler inexorablement une revisitation profonde”.
Ce parti exprime son attachement au droit reconnu au peuple congolais, souverain primaire, de décider librement et sans restriction sur la direction de son avenir par le choix des règles qui doivent le conduire vers sa destinée glorieuse et sa vocation naturelle de locomotive de l’Afrique.
Il dit non à toute tentative matérielle ou intellectuelle destinée à restreindre le droit et la liberté du peuple congolais à réfléchir sur la possibilité d’améliorer les règles de droit qui régentent la nation dans le but d’assurer sa survie comme peuple fier de son identité et de son histoire.
L’Arep dit oui à la vigilance et la maturité affichées par le peuple congolais face à différentes tentatives de manipulation, et exhorte le gouvernement à œuvrer davantage sur les projets qui touchent directement à la vie sociale de la population, notamment l’accès à l’eau et à l’électricité, les soins de santé de qualité, l’accès à la scolarité, la paix à l’est, les infrastructures routières, la fin des embouteillages, l’accès aux denrées alimentaires de première nécessité, le paiement régulier des agents et fonctionnaires de l’État.
L’Arep rappelle qu’il pèse 8 députés nationaux, 9 sénateurs, 37 députés provinciaux, 1 gouverneur, 2 vice-gouverneurs, 2 présidents des Assemblées provinciales, 2 vice-présidents des Assemblées provinciales, 8 autres membres de bureaux des Assemblées provinciales et 11 conseillers municipaux.

Le Nigeria aurait déjà économisé 20 milliards de dollars grâce à l’arrêt des subventions sur l’essence

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/nigeria_arret_des_subventions_sur_l_essence_2024.jpgAu Nigeria, la levée des subventions sur l’essence amorcée dès l’élection de Bola Tinubu en mai 2023 aurait déjà permis d’économiser près de 20 milliards de dollars, selon le gouvernement.
À l’avenir, il espère récolter 7,5 milliards de dollars chaque année grâce à cette mesure plutôt impopulaire en raison de son impact sur les prix du carburant.
La levée des subventions sur le carburant en mai 2023 aurait déjà permis des économies s’élevant à près de 20 milliards de dollars, selon le ministre des Finances du Nigeria.
Sunday Dare, conseiller spécial du président, a déclaré que le Nigeria devrait dorénavant récupérer 7,5 milliards de dollars par an grâce à cette suppression.
Ce mardi 26 novembre, la raffinerie de Port Harcourt a commencé à produire du carburant raffiné après plusieurs années de réhabilitation.

Le Nigeria aurait déjà économisé 20 milliards de dollars grâce à l’arrêt des subventions sur l’essence

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/nigeria_arret_des_subventions_sur_l_essence_2024.jpgAu Nigeria, la levée des subventions sur l’essence amorcée dès l’élection de Bola Tinubu en mai 2023 aurait déjà permis d’économiser près de 20 milliards de dollars, selon le gouvernement.
À l’avenir, il espère récolter 7,5 milliards de dollars chaque année grâce à cette mesure plutôt impopulaire en raison de son impact sur les prix du carburant.
La levée des subventions sur le carburant en mai 2023 aurait déjà permis des économies s’élevant à près de 20 milliards de dollars, selon le ministre des Finances du Nigeria.
Sunday Dare, conseiller spécial du président, a déclaré que le Nigeria devrait dorénavant récupérer 7,5 milliards de dollars par an grâce à cette suppression.
Ce mardi 26 novembre, la raffinerie de Port Harcourt a commencé à produire du carburant raffiné après plusieurs années de réhabilitation.

Une nouvelle Constitution ? Félix Tshisekedi met sur la table l’idée d’un référendum

2024-11-272024-11-272024-11-272024-11-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/tshisekedi_met_idee_d_un_referendum_tanganyika_2024.jpgÀ son arrivée mardi 26 novembre dans la province du Tanganyika où il doit assister à la conférence annuelle des gouverneurs, le président Félix Tshisekedi a tenu un discours devant la population, lors duquel il a une nouvelle fois évoqué une réforme de la Constitution, avec un référendum à la clé.
« C’est au peuple lui-même de s’exprimer », a déclaré en Lingala Félix Tshisekedi à propos de l’avenir de la Constitution.
Le dernier mot reviendra au peuple », a-t-il conclu, mettant ainsi sur la table l’idée d’un référendum.
Fin octobre, c’était à Kisangani, dans la Tshopo, qu’il avait évoqué une révision constitutionnelle possible.
Mi-novembre, à Lubumbashi, dans le Katanga, il avait clarifié sa position, expliquant que la réforme envisagée ne concernait pas un troisième mandat, mais visait à renforcer la protection du pays, qu’il estime insuffisante dans la Constitution actuelle.

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