Kamoa Copper SA, ouvre-ses portes pour des échanges commerciaux profitables entre la RDC et la Zambie

Kamoa Copper SA a eu l’honneur d’accueillir le jeudi dernier, 21 novembre 2024, le Ministre des Infrastructures, du Logement et du Développement urbain de la Zambie, Ingénieur Charles Milupi, ainsi que Son Excellence la Gouverneure du Lualaba, Madame Fifi Masuka Saini, accompagnés du Ministre provincial des infrastructures, Monsieur Moise Mukepe Kahilu et d’une délégation d’officiels Congolais et Zambiens, pour une visite de site.
Venues dans cette contrée pour la signature du protocole d’accord entre la Zambie et la République Démocratique du Congo portant sur la construction de la route Kolwezi – Lumwana (145 kilomètres), leurs Excellences, faisant d’une pierre deux coups, ont tenu à visiter Kamoa Copper, rencontrer ses dirigeants et surtout voir l’évolution de ses infrastructures en raison, car la société est un exportateur majeur dans cette zone avec environ 19% d’exportation minière et, partant, un usager stratégique potentiel de cette nouvelle route, objet du contrat congolo-zambien signé.
Au cours de cette visite, la délégation a pu explorer la mine souterraine de Kakula, observer les infrastructures de la phase 3, le centre de formation de Kansoko, ainsi que les projets communautaires ; ce qui a permis aux éminents visiteurs d’apprécier avec, non sans une pointe d’émerveillement, l’impact socio-économique significatif des opérations de Kamoa Copper tant à l’échelle locale, nationale que sous-régionale.
A la clôture de la visite, la Gouverneure du Lualaba a exprimé sa fierté face aux réalisations de Kamoa Copper, opérateur économique de sa juridiction, la qualifiant de véritable modèle d’excellence et développement pour la Province et son pays la RD Congo.
Pour leur part, tout en remerciant leurs visiteurs de marque pour cet insigne honneur, les dirigeants de Kamoa Copper ont réaffirmé l’engagement de la société à œuvrer pour l’essor économique du pays et le bien-être social des communautés impactées par ses activités minières.

7.000 Km de routes promis par Tshisekedi : Jean-Pierre Okenda doute

C’est vrai que Sicomines avait soumis des études de faisabilité après l’expiration des titres miniers, et que la demande a déjà été approuvée.
Mais, est-ce que nous sommes aussi sûrs que le projet minier va générer de l’argent qui sera affecté ?
Ça signifie que si on le fait sur 10 ans, la Sicomines devra construire 700 km de routes par an !
Admettons que les routes sont totalement battues, dont on parle de 1 millions par kilomètres en termes de coup ça signifie que 700 kilomètres, nous avons 700 millions.
L’Avocat a appelé le gouvernement congolais à la transparence sur l’allocation de l’argent de la Sicomines.

RDC : TFM ne se reconnaît pas dans la vidéo d’un accident attribué à ses installations

Une vidéo devenue virale sur internet montre une personne, travaillant dans une entreprise, sur qui une charge placée en hauteur est tombée sur la tête, la mettant dans un état critique.
L’entreprise indexée est Tenke Fungurume Mining, l’un des plus grands producteurs de cuivre et cobalt en République Démocratique du Congo (RDC).
Ce géant minier, dans un démenti fait sur son compte X, a souligné que les lieux et les pratiques illustrés dans la vidéo ne correspondent en rien à ses propres standards de sécurité.
«Nous menons nos opérations dans le respect strict des exigences de sécurité au travail et sommes déjà arrivés à faire de la sécurité au travail notre mode de vie .
Cette scène est donc à rechercher ailleurs, pas à TFM», écrit l’entreprise.

Déficit énergétique en RDC : L’UE appelée à intensifier son soutien grâce à Congo Epela

La plateforme Congo Epela propose des pistes pour un accès équitable à l’énergie, indispensable à une valorisation locale durable.
Une dépendance énergétique critiqueLa RDC est le principal fournisseur mondial de cobalt et un important producteur de cuivre.
Dans les zones minières, l’électricité est accaparée par les compagnies exploitantes, forçant les ménages à recourir à des générateurs coûteux.
Un soutien accru de l’UE est essentielPour remédier à cette crise énergétique, quelques recommandations sont formulées à l’endroit de l’UE.
Avec un financement stratégique et des partenariats équitables, elle peut garantir un accès à l’électricité durable et inclusif, essentiel à la transition énergétique mondiale et au développement de la RDC.

RDC : Resource Matters pousse l’UE à agir pour une transition énergétique juste

Alors que le déficit énergétique congolais persiste, la plateforme Congo Epela offre des solutions concrètes pour une transition juste et inclusive.
En cinq points, l’ONG Resource Matters a demandé à l’Union Européenne à soutenir la RDC, un pays au cœur de la transition énergétique mondiale grâce à ses ressources minérales.
L’Union européenne (UE), via la stratégie Global Gateway, a engagé un partenariat avec la RDC pour relever ce défi.
Un partenariat stratégique pour une transition énergétique durableEn octobre 2023, l’UE a signé un protocole d’accord avec la RDC pour renforcer les chaînes d’approvisionnement en minerais stratégiques tels que le cobalt et le cuivre.
À lire 2ᵉ partie ⤵️Déficit énergétique en RDC: L’UE appelée à intensifier son soutien grâce à Congo EpelaLa transition énergétique en RDC dépend d’un engagement fort de l’UE.

Technologies électorales en RDC : comment bâtir la confiance des parties prenantes

Kinshasa, le 5 décembre 2024 – Ce jeudi, Ebuteli publie la première note d’analyse intitulée Technologies électorales en RDC : comment bâtir la confiance des parties prenantes.
Cette note examine la méfiance accrue sur l’introduction des technologies électorales, particulièrement la machine à voter, et propose des pistes concrètes pour renforcer la transparence et la crédibilité en vue de faciliter l’adhésion des parties prenantes aux technologies électorales.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a opté pour l’usage des technologies pour les minimiser.
Comment, dès lors, parvenir à obtenir l’adhésion autour de l’usage des technologies dans les élections en RDC ?
L’inclusion des parties prenantes et l’éducation des citoyens sont aussi les piliers d’un processus électoral crédible et accepté par tous.

La transparence à l’Assemblée nationale : c’est maintenant ?

Le 12 décembre 2024 – Où est passée la transparence à l’Assemblée nationale en République démocratique du Congo ?
Publié ce jeudi, le nouveau rapport d’Ebuteli et du Groupe d’étude sur le Congo (GEC), intitulé « La transparence à l’Assemblée nationale, c’est maintenant ?
La gestion défaillante du « livre bleu », censé tracer les initiatives législatives, a contribué à une opacité inquiétante des processus parlementaires.
Dépolluer les pratiques législatives de la corruption et des manipulations partisanes nécessitera une volonté politique forte et une mobilisation continue des citoyens.
»L’intégralité du rapport est à télécharger

Tshisekedi rassure : la RDC aura ses 7 000 km de routes du contrat RDC-Sicomines

Félix Tshisekedi, Président de la République Démocratique du Congo (RDC) s’est adressé ce mercredi au Parlement réuni en Congrès dans son discours sur l’état de la nation.
C’est la première audition de son tout dernier mandat à la tête du pays.
Ici, il a particulièrement évoqué ledit « contrat du siècle » revisité, c’est-à-dire l’avenant sur les « minerais contre infrastructures » entre la RDC et la Sicomines.
Il illustre ensuite ses propos en évoquant la construction des rocades, la route Mbudi – Aéroport de N’djili (via Kimwenza et N’djili Brasserie) ».
Le contrat sino-congolais, initialement signé en 2008 entre la RDC et la Sicomines, prévoit des investissements dans les infrastructures financés par l’exploitation de ressources minières, notamment le cuivre et le cobalt de la RDC.

La Suisse n’autorise pas la restitution à la RDC des 150 M $ versés par Glencore après la corruption de Gertler

Pour elle, la population concernée a un intérêt légitime à ce que les fonds obtenus illégalement retournent dans son pays et qu’elle en soit bénéficiaire.
Elle explique que c’est la « Loi fédérale sur le partage des valeurs patrimoniales confisquées qui détermine la répartition des valeurs des biens confisqués dans le cadre d’une procédure pénale en Suisse ».
La Suisse pourrait soutenir à cet effet des programmes qui encouragent la transparence et renforcent la lutte contre la corruption dans le pays d’origine », estime-t-elle.
La Suisse appelée à lutter contre la corruptionToujours selon Transparency International, l’hémorragie liée à la corruption émanant des multinationales devrait être attaquée par des États comme la Suisse, par la mise en place d’instruments juridiques efficaces pour lutter contre la corruption.
Pour l’ONG, il s’agit d’un pas dans la bonne direction dans la lutte contre la corruption afin que les fonds confisqués profitent en fin de compte à ceux qui ont été lésés par la corruption, en l’occurrence la population de la RDC.

AVZ Minerals annonce l’obtention de financement de litige de 15 M $ avec Locke Capital II

AVZ Minerals Limited, une société minière spécialisée dans le lithium, a annoncé avoir obtenu un financement de litige de 15 millions de dollars américains (USD) auprès de Locke Capital II.
Pour lui, le « fait que le comité d’investissement de Locke ait approuvé l’octroi d’un financement à AVZ valide la position solide d’AVZ dans tous ses litiges juridiques avec une voie claire vers une conclusion en sa faveur ».
AVZ Minerals a reçu, par ailleurs, les autorisations requises du comité d’investissement de Locke, car elle prévoit de prélever une première tranche de fonds en décembre 2024.
En somme, un tel financement de litige tel que celui-ci permet à l’entreprise AVZ Minerals de disposer de fonds nécessaires pour couvrir les frais juridiques tout en préservant ses ressources pour d’autres activités opérationnelles.
Cette annonce souligne les défis auxquels AVZ Minerals est confrontée pour protéger ses intérêts dans un secteur stratégique comme celui du lithium, essentiel à la transition énergétique mondiale.

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