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Il s’agissait en fait d’un groupe d’autres militaires FARDC-UPDF, qui revenaient d’une patrouille de routine dans la zone.
Les confondant aux rebelles des ADF, les soldats qui se trouvaient à IDOHU ont ouvert le feu sur leurs compagnons d’arme.
Des activistes des droits humains dans la région rapportent qu’à l’issue de cet accrochage, un civil est mort, atteint par une balle perdue.
Le porte-parole des opérations Usujaa, le colonel Mak Hazukay, promet de se prononcer ultérieurement sur cet incident.
Les armées congolaise et ougandaise sont en opérations conjointes contre les ADF, depuis plusieurs mois, dans cette région.

A quelques jours des festivités de Noël et du nouvel an 2025, la police nationale congolaise à Bunia, (Ituri) affirme avoir pris des dispositions pour permettre à la population de fêter dans la quiétude.
Son commandant, le commissaire supérieur Abeli Mwangu rassure sur la sécurité des personnes et de leurs biens durant cette période de fêtes.
Il s’entretient avec Martial Kiza Byamungu : /sites/default/files/2024-12/09._231224-p-f-buniainvitecolabeli_mwangu-00_web.mp3

Les autorités politico-administratives du Kwilu, dont les chefs de différentes divisions de services étatiques, sont sensibilisées dans la prévention et la lutte contre l’exploitation et l’abus sexuels.
Cette sensibilisation a été menée lors d’une session de plaidoyer et de sensibilisation organisée vendredi 20 novembre, par l’ONG Communauté des amis de la nature et de la culture, (CANACU), avec l’appui financier du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA).
Le coordonnateur de cette structure humanitaire, Damien Bungu, a fait savoir que des cas d’exploitation et d’abus sexuels existent au Kwilu, mais restent confidentiels.
Voilà pourquoi nous sommes là pour les sensibiliser et après cette session, nous aurons à signer avec eux le code de bonne conduite ».
Cette organisation projette également de sensibiliser la communauté pour que les gens soient informés sur l’exploitation, l’abus et le harcèlement sexuels.

La société civile recommande de la vigilance à la population locale.
Les obus ont causé des dégâts à quatre endroits différents de la ville.
Le président de la société civile de la commune de Karisimbi, Christian Kalamo, affirme que la situation est préoccupante.
« Je nous demande vraiment la vigilance, a une très grande vigilance.
Nous sommes entourés par des guerres partout, l’ennemi cherche à tout prix à voir comment pénétrer notre ville de Goma ».

Le gouvernement provincial du Maniema a remis, samedi 21 décembre, un lot de médicaments et de matériel médical au centre de santé de Bitule, situé à 60 kilomètres de Lubutu dans la nord de la province.
Ce don du gouvernement est notamment constitué de lits d’accouchement, de lits pour accueillir les malades hospitalisés, de matelas, de lits d’opération et des équipements de laboratoire.
Il y a quelques semaines, ce centre a connu une rupture de stock de médicaments, rendant la prise en charge, le suivi et le traitement des malades difficile.
Dr Muhasa Lunga appelle les personnes malades à se rendre à l’hôpital pour leur prise en charge.
Cependant, il demande à d’autres partenaires de mettre à la disposition de cette structure une ambulance pour faciliter le transport et le transfert des malades.

Environ 7200 personnes déplacées à la suite des affrontements entre les Wazalendo Bembe et Buyu de provinces du Sud-Kivu et du Maniema sont sans-abris dans le territoire de Kambare.
Certains déplacés, qui avaient fui le village de Lwiko, théâtre des affrontements du 11 décembre dans le territoire de Kabambare (Maniema), vivent dans des salles de classe et dans des églises à Penemembe et dans d’autres villages environnants.
Toutes ces personnes sont hébergées dans des école, dans des villages de Penemende, de Lumbwe, de Kabeya et Namukala.
Près de 850 se trouvent dans des conditions précaires, manquent cruellement d’assistance humanitaire ».
Cette crise humanitaire, selon lui, s’ajoute à un nombre élevé des déplacés internes, estimés à 5200 personnes.

La société civile recommande de la vigilance à la population locale.
Les obus ont causé des dégâts à quatre endroits différents de la ville.
Le président de la société civile de la commune de Karisimbi, Christian Kalamo, affirme que la situation est préoccupante.
« Je nous demande vraiment la vigilance, a une très grande vigilance.
Nous sommes entourés par des guerres partout, l’ennemi cherche à tout prix à voir comment pénétrer notre ville de Goma ».

L’hôpital général de Kwamouth, situé dans la cité de Kwamouth, (Bandundu), a reçu samedi 21 décembre, du Programme de développement du système de santé, (PDSS), un lot de médicaments d’une valeur 75.000 dollars américains.
Ces produits sont destinés au traitement des victimes et déplacés de la milice Mobondo, notamment des blessés par balle, des personnes brulées, autres malades.
Le gouverneur de province Lebon Nkoso Kevani dit avoir mené le plaidoyer auprès de ce partenaire afin de soulager ces personnes blessées et brulées qui manquent de tout et qui sont dans l’impossibilité de se faire soigner.
Il y a quelques semaines, des miliciens Mobondo avaient pris en otage trente personnes, ils les avaient enfermées dans une case et y avaient mis le feu, explique l’autorité provinciale.
Parce qu’il y avait un souci, il manquait des médicaments pour pouvoir traiter les personnes brulées, mais maintenant, ces personnes seront soignées ».