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Un afflux de déplacés est signalé depuis mercredi dernier dans les localités voisines de Kitsombiro dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu), a rapporté dimanche 12 janvier la société civile locale.
Ces déplacés sont venus du Sud du territoire de Lubero, notamment d’Alimbongo et Kaseghe, des zones encore sous menace sécuritaire.
La société civile territoriale indique que ces personnes ont trouvé refuge dans des familles d’accueil pour certaines, et d’autres dans les sites de déplacés de Masereka et Musienene, où elles sont sans aucune assistance.
Il précise que des plaidoyers sont en cours auprès du Gouvernement et ses partenaires humanitaires pour une assistance à ces vulnérables.
Elle permet aux habitants qui sont dans les zones sous contrôle de l’armée d’aller dans leurs champs et de mener d’autres activités.

L’ONG Ville propre service demande au Gouvernement de la RDC de soutenir financièrement les initiatives d’encadrement des enfants de la rue, surtout dans les villes de l’Est affectées par l’insécurité.
Son coordonnateur a lancé cet appel samedi 11 janvier à Bunia (Ituri).
Le financement des activités d’encadrement des enfants sans domicile fixe permettrait d’éviter l’expansion du phénomène « Kuluna (Banditisme urbain)», qui prend de l’ampleur à Kinshasa, estime le coordonnateur de cette ONG, Dieudonné Maki.
Selon lui, dans certaines villes du pays, dont Bunia, ces enfants constituent une bombe à retardement.
Dieudonné Maki lance alors un appel au Gouvernement central à appuyer les organisations qui encadrent ces enfants de la rue, à travers de formations notamment en mécanique, coupe et couture ou encore dans le recyclage des déchets :

Au total, 91 cas de meurtre et d’assassinat ainsi que 19 cas de justice populaire ont été documentés au dernier semestre de l’année dernière à Butembo et ses environs.
Ces chiffres sont contenus dans un rapport de monitoring de l’ONG Réseau pour le droits de l’homme (REDHO ) basée à Butembo (Nord-Kivu).
Leurs auteurs, poursuit le rapport, sont des hommes armés ainsi que des jeunes manifestants, responsables de cas de justice populaire.
Le REDHO appelle les services de sécurité à leurs responsabilités, afin de protéger la population et ses biens.
Cette structure de défense des droits de l’homme recommande enfin à la population de rester vigilante, en dénonçant tout mouvement suspect auprès des services de sécurité habilités.

FM: Kinshasa 103.5 :: Bunia 104.9 :: Bukavu 95.3 :: Goma 95.5 :: Kindu 103.0 :: Kisangani 94.8 :: Lubumbashi 95.8 :: Matadi 102.0 :: Mbandaka 103.0 :: Mbuji-mayi 93.8

La société civile de la chefferie de Mokambo a dénoncé, samedi 11 janvier, l’instauration depuis environ une année, d’une administration parallèle par les miliciens de la CODECO dans trois groupements de cette chefferie, à environ 300 kilomètres de Mahagi centre (Ituri).
La société civile locale déplore également plusieurs cas d’arrestations arbitraires des civils pour la plupart des retournés déjà paupérisés par des années d’errance.
Depuis environ un an, un groupe de miliciens de la CODECO s’est installé dans plusieurs localités de la chefferie de Mokambo dans le territoire de Mahagi.
Les mêmes sources ajoutent que ces miliciens utilisent parfois les habitants de ces localités comme main-d’œuvre pour construire leurs abris.
L’administrateur du territoire de Mahagi dit être au courant de la présence de ces miliciens dans cette zone où s’observe aussi un faible effectif des militaires et des policiers.

La gestion de trois millions de dollars d’investissements, débloqués par le gouvernement central depuis le mois de septembre dernier en faveur de la province du Kasaï-Oriental, oppose la classe politique provinciale depuis quelques semaines.
C’est le sénateur et ex-gouverneur du Kasaï-Oriental, Ngoy Kasanji, qui a annoncé en premier le décaissement par le gouvernement central de 3 millions USD depuis septembre 2024.
Cette somme, selon lui, est destinée aux investissements dans la province du Kasaï-Oriental.
D’autres fonds ont servi aux agents du cabinet du gouverneur de province, à l’assemblée province.
Ce dernier dit n’avoir reçu aucune correspondance annonçant le décaissement des fonds d’investissement pour la province du Kasaï-Oriental.

La digitalisation des services, la modernisation des réseaux et la planification stratégique de la production énergétique.
La SNEL place la nouvelle année sous le signe de redevabilité et du retour à la planification.
Il a ainsi révélé ces nouveaux axes prioritaires, notamment la digitalisation des services à la clientèle.
Selon lui, la SNEL doit être à l’écoute de ses clients et partenaires pour garantir un service de qualité.
Cette année 2025, la SNEL célébrera ses 55 ans d’existence.

91 cas de meurtre et d’assassinat ainsi que 19 cas de justice populaire ont été documentés au dernier semestre de l’année dernière à Butembo et ses environs.
Ces chiffres sont contenus dans un rapport de monitoring de l’ONG Réseau pour le droits de l’homme (REDHO ) basée à Butembo (Nord-Kivu).
Leurs auteurs, poursuit le rapport, sont des hommes armés ainsi que des jeunes manifestants, responsables de cas de justice populaire.
Le REDHO appelle les services de sécurité à leurs responsabilités, afin de protéger la population et ses biens.
Cette structure de défense des droits de l’homme recommande enfin à la population de rester vigilante, en dénonçant tout mouvement suspect auprès des services de sécurité habilités.

La société civile de la chefferie de Mokambo a dénoncé, samedi 11 janvier, l’instauration depuis environ une année, d’une administration parallèle par les miliciens de la CODECO dans trois groupements de cette chefferie, à environ 300 kilomètres de Mahagi centre (Ituri).
La société civile locale déplore également plusieurs cas d’arrestations arbitraires des civils pour la plupart des retournés déjà paupérisés par des années d’errance.
Les mêmes sources ajoutent que ces miliciens utilisent parfois les habitants de ces localités comme main-d’œuvre pour construire leurs abris.
L’administrateur du territoire de Mahagi dit être au courant de la présence de ces miliciens dans cette zone où s’observe aussi un faible effectif des militaires et des policiers.
Le colonel Jaques Disanoa indique que des démarches sont en cours pour mettre fin à cette pratique.