Kinshasa : un immeuble en construction s’écroule et fait plusieurs blessés à Limete

Un immeuble en construction s’est effondré lundi 13 janvier sur l’avenue Forgeron au quartier Funa, dans la commune de Limete (Kinshasa), faisant plusieurs blessés graves.
La Bourgmestre de cette municipalité, Alamba Feza, attribue ce drame au non-respect des normes de construction.
Elle affirme qu’au moins trois personnes blessées à la suite de cet incident ont été conduites à l’hôpital HJ, situé dans la même commune.
Mme Feza explique également que d’autres personnes sont encore coincées sous les décombres de l’immeuble effondré.
Alors il y a trois personnes qui sont maintenant à l’hôpital HJ, il y a un autre qu’on vient de sortir des décombres mais il ne respire pas, espérons qu’il va survivre.

Réaction du gouvernement congolais au rapport du Groupe d’experts de l’ONU

Le gouvernement congolais appelle à des sanctions claires contre le Rwanda après la publication, la semaine passée du dernier rapport du Groupe d’experts des Nations unies.
Pour le ministère des Affaires étrangères, non seulement ce rapport confirme le drame sécuritaire et humanitaire vécu dans l’Est de la RDC, mais également valide les positions du Gouvernement congolais sur l’implication directe du Rwanda dans la déstabilisation de la région, indique le communiqué.
Le gouvernement congolais appelle à des sanctions claires contre ce pays agresseurEn ce qui concerne les allégations soulevées dans le rapport concernant certaines pratiques des FARDC, la RDC s’engage, selon le communiqué, à collaborer avec les Nations unies pour identifier et corriger toute lacune éventuelle, dans un souci de transparence.
Que pensez-vous de la réaction du gouvernement congolais sur le dernier rapport du Groupe d’experts des Nations unies ?
InvitésJoseph Kongolo, analyste politiqueFréderick Amani, chercheur associé en sciences politiques et relations internationales à l’Université de Lubumbashi.

Le CSAC suspend de diffusion la chaîne ”Al Jazeera” en RDC

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), a suspendu lundi 13 janvier, à titre conservatoire de diffusion la chaîne ”Al Jazeera” sur toute l’étendue du territoire national pour une durée de 90 jours.
Dans un communiqué signé par son vice-président, Bruno Mbolison, et le rapporteur, Oscar Kabamba, l’autorité de régulation des médias en République démocratique du Congo déclare :« Est suspendue de diffusion sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo pour une durée de 90 jours, la chaîne Al Jazeera, les directeurs généraux des sociétés de télédistribution opérant en République démocratique sont tenus au strict respect du présent acte, le procureur général près le conseil d’État ainsi que le directeur général du RENATELSAT sont priés, chacun en ce qui le concerne, de concourir à la bonne exécution du présent acte qui entre en vigueur à la date de son adoption ».
Il est reproché à ce media d’avoir « diffusé en date du 1er janvier 2025, une interview, réalisé par Madame Bojana Coulibaly, militante à la solde du Rwanda, avec Bertrand Bisimwa, leader du mouvement terroriste M23, dont le contenu porte attinte à l’ordre public, à la sécurité et à la sûreté nationales ».
Selon le CSAC, l’attitude de cette chaine « frise non seulement l’apologie de la guerre, mais aussi incite à la rébellion contre l’autorité publique ».

Le CSAC suspend de diffusion la chaîne ”Al Jazeera” en RDC

Le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC), a suspendu lundi 13 janvier, à titre conservatoire de diffusion la chaîne ”Al Jazeera” sur toute l’étendue du territoire national pour une durée de 90 jours.
Dans un communiqué signé par son vice-président, Bruno Mbolison, et le rapporteur, Oscar Kabamba, l’autorité de régulation des médias en République démocratique du Congo déclare :« Est suspendue de diffusion sur toute l’étendue de la République démocratique du Congo pour une durée de 90 jours, la chaîne Al Jazeera, les directeurs généraux des sociétés de télédistribution opérant en République démocratique sont tenus au strict respect du présent acte, le procureur général près le conseil d’État ainsi que le directeur général du RENATELSAT sont priés, chacun en ce qui le concerne, de concourir à la bonne exécution du présent acte qui entre en vigueur à la date de son adoption ».
Il est reproché à ce media d’avoir « diffusé en date du 1er janvier 2025, une interview, réalisé par Madame Bojana Coulibaly, militante à la solde du Rwanda, avec Bertrand Bisimwa, leader du mouvement terroriste M23, dont le contenu porte attinte à l’ordre public, à la sécurité et à la sûreté nationales ».
Selon le CSAC, l’attitude de cette chaine « frise non seulement l’apologie de la guerre, mais aussi incite à la rébellion contre l’autorité publique ».

Cinq corps sans vie découverts à Lubumbashi

Cinq corps sans vie ont été découverts ce lundi 13 janvier dans l’avant-midi à Lubumbashi dans la province du Haut-Katanga.
Quatre corps ont été découverts dans la commune de Kamalondo, dans des caniveaux notamment à l’angle des avenues des Ecoles et Sendwe, devant l’institut Nuru pour enfants aveugles, au camp assistant et à côté du lycée Wema.
Le cinquième était à l’entrée du tunnel qui mène vers le quartier Bel air dans la commune de Kampemba.
Cette situation crée la psychose, car en l’espace d’une semaine, c’est plus de dix personnes qui ont été tuées à Lubumbashi et à Likasi.
Pendant ce temps des opérations de bouclage sont organisées dans plusieurs quartiers de Lubumbashi, qui fait face à un regain de criminalité.

Kongo central : l’auteur présumé d’un double lynché par une foule en colère à Kinzau-Mvuete

Le territoire de Sekebanza, dans la province du Kongo-Central, a été secoué ce lundi 13 janvier par un drame tragique survenu à Kinzau-Mvuete.
Un jeune homme, identifié comme Gédéon Tona alias Azaza, a poignardé à mort son père et un voisin avant d’être lui-même lynché par une foule en colère.
Il a d’abord poignardé son père, Ibrahim Tona, superviseur à la zone de santé de Sekebanza.
Avant l’arrivée des renforts, la population, en colère, s’est ruée sur Gédéon Tona et l’a battu à mort.
Les corps des deux victimes et celui de l’agresseur ont été déposés à la morgue de Kinzau-Mvuete.

Beni : plaidoyer pour le renforcement des mesures sécuritaires à Mayangose

Le chef du village de Bapakombe-Bakondo, au Nord Kivu, Mwami Achu Taibo, a plaidé, lundi 13 janvier, pour le renforcement des mesures sécuritaires à Mayangose, grenier de la ville et du territoire de Beni.
Pour lui, la résurgence de l’insécurité dans les villages de Mabambila, Kipeyayo, Mayangose et dans tous les blocs agricoles de cette entité coutumière, risque d’impacter négativement l’alimentation de la population dans la région.
L’autorité locale appelle également la population à la vigilance et soutenir les forces de sécurité.
La seule chose que nous demandons est de renforcer les opérations dans la zone de Mayangose », a plaidé le Mwami Achu Taibo.
C’est-à-dire si l’ennemi s’éternise dans cette zone, nous risquons d’avoir des situations complexes dans le centre-ville de Beni.

Début du procès de 3 Chinois accusés d’exploitation illicite des minerais au Sud-Kivu

Le procès en flagrance des trois ressortissants chinois poursuivis notamment pour exploitation illicite des minerais au Sud-Kivu, s’est ouvert lundi 13 janvier devant le tribunal de grande instance de Bukavu.
Le service de communication du gouverneur du Sud-Kivu avait annoncé dimanche 5 janvier, par les services de sécurité provinciaux, des trois Chinois, pour exploitation illégale des minerais à Rubimbi dans le territoire de Walungu.
Ces chinois étaient en possession de dix lingots d’or et d’une somme importante d’argent en dollars américains, sans aucune autre précision, selon la même source.
Cette arrestation était intervenue après celle de quatorze autres Chinois en mi-décembre dernier.
Tous avaient été expulsés en Chine sur ordre des autorités de la Direction générale de migration depuis Kinshasa ; au grand dam du gouverneur de la province du Sud-Kivu et de plusieurs associations de la société civile locale.

Le Gouvernement envisage d’étendre la gratuité de l’enseignement au secondaire (Patrick Muyaya)

Le Gouvernement étudie la possibilité d’étendre la gratuité de l’enseignement au niveau secondaire.
Cette annonce a été faite par Patrick Muyaya, porte-parole du Gouvernement et ministre de la Communication et des médias, lors d’une interview exclusive accordée à Radio Okapi ce lundi 13 janvier.
Patrick Muyaya a indiqué que la gratuité de l’enseignement, déjà effective au niveau primaire, est en cours de consolidation et pourrait bientôt s’étendre au secondaire.
Aujourd’hui, le Gouvernement étudie la possibilité de l’étendre au niveau du secondaire.
Malgré ces avancées, Patrick Muyaya a reconnu que le Gouvernement doit continuer à travailler pour répondre aux attentes des citoyens.

Bukavu : la société civile dénonce les tracasseries de la population par des présumés Wazalendo

La société civile de Bukavu (Sud-Kivu) a dénoncé lundi 13 janvier des tracasseries de la population par de présumés éléments wazalendo, qui affluent depuis quelques jours, dans le territoire de Shabunda.
Le président de la société civile, bureau territorial de Shabunda, Maitre Joseph Mpeseni, demande aux autorités civiles et militaires de tout mettre en œuvre pour protéger la population civile et mettre fin aux tracasseries :« Nous connaissons une petite perturbation de la sécurité au niveau de la chefferie de Wakabango 1e où un mouvement des Wazalendo s’accroit.
Ils tracassent la population.
Nous demandons aux autorités tant civiles que militaires de mettre hors d’état de nuire ce mouvement qui est en train de naître, car au niveau de Shabunda tout comme dans cette chefferie de Wakabango 1er ».
Cet acteur de la société civile indique que le territoire de Shabunda n’a besoin de Wazalendo, contrairement aux provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu, où ils peuvent jouer un rôle important pour combattre les rebelles du M3 et les ADF :

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