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Le litre de 3500 francs congolais (1.2USD) est passé à 4500 voire 5000 francs congolais (1.7USD) dans certains points de vente.
La rareté de ce produit pétrolier sur le marché local est à la base de cette hausse de prix qui affecte gravement la population.
Chez les revendeurs de carburant communément appelés « Kadhafi », le litre se négocie entre 4500 et 5000 francs congolais, alors qu’à la pompe, le prix officiel d’un litre est fixé à 3700 francs congolais.
La rareté des produits pétroliers au poste frontalier de Kasindi-Lubiriha est à la base de cette hausse, affirment les revendeurs.
Selon lui, la hausse des prix chez les revendeurs de carburant ne relève que de la pure spéculation.

Des centaines d’enfants déplacés, en âge scolaire, errent chaque jour dans les rues de Bunia (Ituri), consommant des stupéfiants.
Ils utilisent de l’essence ou de la colle Patex, qu’ils aspirent pour en inhaler les vapeurs.
Questionner par un reporter de radio okapi, la plupart d’entre eux affirment que cela leur permet de vaincre la faim, la peur et le froid.
Mais quelles conséquences ces produits auront sur la santé de ces enfants dans l’avenir ?
Quelle solution apporter à ces enfants pour les occupées et assurée une bonne prise en charge ?

Les travaux de la commission de réflexion de l’Union pour le développement et le progrès social (UDPS), parti au pouvoir, se sont ouverts ce lundi 20 janvier à Kinshasa.
L’objectif de ces travaux est de permettre aux membres de cette commission de réfléchir sur le changement de la constitution.
« Nous nous réunissons aujourd’hui, dans un contexte marqué par des défis, mais également des opportunités uniques.
Ensemble, ils auront l’occasion d’évaluer les besoins et d’explorer les pistes de réforme susceptibles d’éclairer les décisions à venir ».
Ces travaux se tiennent sous la direction de l’exécutif et du secrétariat général intérimaire de l’UDPS/Tshisekedi.

Au moins 45 apprenants en master d’écologie présentent, du 20 au 23 janvier, leurs projets de recherche sur des maladies infectieuses, à l’Institut national de recherche biomédicale (INRB), à Kinshasa.
Parmi eux, trente candidats sont en première licence et 15 autres en deuxième licence, sous la direction du professeur Jean-Jacques Muyembe.
Le Directeur adjoint de l’Institut One Health pour l’Afrique, professeur Didier Bompangue, a salué le progrès accompli, après 10 ans d’existence de cet institut, dans la compréhension des problématiques liées à la santé animale et des Eco systèmes en RDC.
Il se dit, en même temps, satisfait de l’amélioration et de la qualité des sujets exploités par les étudiants.
Ecoutez-le ici :/sites/default/files/2025-01/21012025-p-f-professeurdidierbompangueinstitutonehealth-00-web.mp3Par ailleurs, le Master d’écologie des maladies infectieuses envisage de mettre en place, une école doctorale régionale « One Health », dont la première rentrée est prévue pour le 25 février prochain.