Nasson Murara : Mjini Beni kumekuwa wizi ambao wanatumia mitandao kwa kuiba watu
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Les acteurs de la société civile sur place ont constaté cette arrivée massive, suscitant de vives inquiétudes face à la détérioration alarmante de la situation humanitaire.
Avec l’avancée des rebelles du M23, les conditions de vie des déplacés sont devenues critiques.
La société civile de Minova appelle à une réponse humanitaire urgente pour soutenir ces milliers de familles, dont le nombre est estimé à plus de 200 000 personnes.
Il est impératif que les décideurs congolais agissent en renforçant les éléments des FARDC dans la zone pour endiguer l’avancée des rebelles.
Une panique généralisée a été observée dès ce matin dans les quartiers de l’ouest de Goma et dans les camps des déplacés, conséquence de l’arrivée d’un grand nombre de personnes en provenance des localités de Kalehe, notamment Kitembo et Nzulo.
Le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général-major Peter Chirimwami, a pris la décision d’interdire la navigation, tant diurne que nocturne, des petites embarcations, y compris les pirogues, sur le lac Kivu.
Cette mesure, annoncée ce mercredi, s’applique aux zones entre les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu et reste en vigueur jusqu’à nouvel ordre.
« Les populations doivent comprendre que cette interdiction vise à garantir leur sécurité dans un contexte où la menace ennemie persiste », a-t-il déclaré.
Les autorités compétentes ont été chargées de veiller au strict respect de cette interdiction, et des sanctions sévères sont prévues pour les contrevenants.
La sécurité des citoyens reste la priorité, alors que la région fait face à des défis complexes et à une instabilité persistante.
Le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) a rapporté mardi 21 janvier, le déplacement d’au moins 178 000 personnes du Nord-Kivu vers Minova (Sud-Kivu) entre le 4 et le 20 janvier courant.
Ces derniers ont été transférés à Goma (Nord-Kivu) pour des soins d’urgence.
Ce rapport fait également part du viol collectif de cinq filles d’une même famille par des hommes armés dans la localité de Kalungu.
OCHA fait également part dans son rapport, du viol de deux autres femmes le 14 janvier dernier dans l’aire de santé de Bihovu, en territoire de Kalehe (Sud-Kivu).
Ils ont contraint l’un des partenaires de OCHA à fermer momentanément son Centre de transit et d’orientation pour enfants non accompagnés à Minova, lit-on aussi
L’amitié est très importante pour les enfants, car elle les aide à devenir des adultes émotionnellement sains.
Les enfants cherchent à avoir des amis avec qui passer du temps, s’amuser et partager presque tout.
Parfois, les parents essaient de limiter la capacité de liberté de leurs enfants pour une raison ou une autre.
Certains parents arrivent jusqu’à dicter le modèle de choix d’un ami à leurs enfants pour leur évité de tomber sur des enfants qui exerceraient une mauvaise influence sur eux.
Mais est-ce que les parents doivent-ils choisir les amis de leurs enfants ?
Dix ressortissants chinois ont été innocentés, mardi 21 janvier, après avoir été poursuivis par la justice congolaise pour exploitation illégale des minerais au Sud-Kivu.
Le tribunal de grande instance de Bukavu siégeant au premier degré et a pronobncé ce verdict à Bukavu.
Ces prévenus avaient été arrêtés le 5 janvier courant à Bukavu par les services de sécurité dans le cadre de l’opération déclenchée par le gouverneur de province Jean Jacques Purusi.
Cela pour traquer les étrangers qui exploitent illégalement les richesses du sous -sol congolais dans la province du Sud-Kivu.
La prise de Minova et Bweremana par les rebelles du M23 constitue un coup dur pour le Nord-Kivu et, plus particulièrement, pour la ville de Goma.
C’est vrai, le M23 a pris Minova et Bweremana, ce qui est un coup dur pour la province du Nord-Kivu et particulièrement pour la ville de Goma.
« Maintenant que Bweremana et Minova, qui restaient les deux narines permettant encore à Goma de respirer, sont bouchées, vous pouvez déjà vous imaginer la suite.
Goma est à l’agonie », a-t-il déclaré, décrivant une hausse des prix des denrées de base comme le haricot, le maïs et les braises.
»Alors que la ville de Goma fait face à une crise économique et humanitaire sans précédent, les regards se tournent vers les autorités congolaises et les acteurs internationaux pour une réponse rapide et efficace à cette situation.
Lors du forum « Investir en RDC », tenu à Paris le 21 janvier dernier, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya, a lancé un appel aux investisseurs internationaux.
« La RDC a la solution aux défis climatiques et à la transition énergétique avec nos ressources naturelles, comme le cobalt et le lithium », a déclaré Patrick Muyaya.
Au-delà du secteur minier, la RDC offre de nombreuses autres opportunités d’investissement dans des domaines tels que l’agriculture, l’infrastructure, l’énergie et le tourisme.
Le ministre a aussi souligné la jeunesse dynamique de la population congolaise, qui représente une main-d’œuvre qualifiée et prête à relever les défis de demain.
Pour rassurer les investisseurs, Patrick Muyaya a mis en avant les efforts du gouvernement pour améliorer le climat des affaires et renforcer la sécurité juridique.
La société civile du Sud-Kivu a demandé, mardi 21 janvier, le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi d’écourter son séjour en Occident et de s’y rendre pour réorganiser les troupes, en guerre contre les rebelles du M23.
Au regard de la situation actuelle, la société civile du Sud-Kivu s’inquiète également de la rapidité avec laquelle les rebelles sont en train de s’emparer des agglomérations dans si peu de temps dans cette contrée.
Cette avancée des rebelles a provoqué le déplacement massif des populations en particulier dans le territoire de Kalehe.
Il y a des morts enregistrés à Kitembo et des blessés à l’hôtel de Panzi à Bulenga.
Plusieurs villages notamment Kitembo viennent de se vider pour se mettre à l’abris des obus qui tombent », a témoigné un habitant.
La MONUSCO et des femmes leaders congolaises ont levé l’option, mardi 21 janvier, de créer un espace de dialogue et réflexion pour la restauration de la paix dans l’Est de la RDC.
Cette rencontre a été placée sous le thème : « Créer un espace de dialogue et de réflexion sur les défis, les solutions possibles, et l’engagement des femmes dans la recherche de la paix et une réponse humanitaire urgente à la crise actuelle dans l’Est de la RDC ».
« Ce que la femme pourrait pour ramener la paix au sein de la région des Grands lacs et plus particulièrement dans l’Est de la RDC.
Ces femmes disent vouloir influencer au moins pour que la paix revienne dans l’Est de la RDC.
Les balles qui tombent n’atteignent pas seulement les femmes de l’opposition ou de la majorité », a poursuivi Marie-Louise Muange.