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Le Service national a doté, jeudi 23 janvier, deux écoles publiques de Kinshasa d’au moins 600 bancs-pupitres.
Il s’agit de l’Institut technique et industriel de Nd’jili (ITI-N’djili) et de l’Institut technique et commercial Bahumbu de Matete.
Ces bancs ont été fabriqués par des anciens délinquants désormais encadrés et formés depuis plus d’année par le service national.
Il a également promis de poursuivre la distribution des bancs dans d’autres écoles et universités de Kinshasa ainsi que des provinces :« Nous allons continuer à doter les écoles des bancs car c’est une instruction permanente du Chef de l’Etat, commandant suprême des FARDC et de la police ».
A partir de ce mois de janvier, a ajouté le commandant du Service national, chaque semaine son institution va doter les écoles des bancs à Kinshasa.

FM: Kinshasa 103.5 :: Bunia 104.9 :: Bukavu 95.3 :: Goma 95.5 :: Kindu 103.0 :: Kisangani 94.8 :: Lubumbashi 95.8 :: Matadi 102.0 :: Mbandaka 103.0 :: Mbuji-mayi 93.8

L’ambassade des États-Unis en RDC a lancé jeudi 23 janvier à Kinshasa, la deuxième phase du programme de civisme citoyen post électoral des jeunes en RDC.
Selon l’ambassadeur des Etats-Unis en RDC, Lucy Tamly, ce programme « American spaces civic engagement post elections » encourage la participation active des jeunes à la démocratie et à la gouvernance à travers 14 provinces du pays.
Pour y arriver, Belinda Bondo, garante de ce programme de civisme pour la ville de Kinshasa, a présenté un ensemble d’activités projetées dans le cadre de cette initiative telle que le focus group.
Le programme American spaces civic engagement post elections a été lancé en août 2023 pour une durée de 4 ans.
Pour sa première phase, au moins 150 000 jeunes leaders ont été touchés dans 14 provinces du pays.

Je sais que le Gouvernement est sur le front diplomatique et militaire alors que nous de notre côté, en tant que parlementaire on devait se réunir pour lever des options ».
Cet élu de la Lukunga (Kinshasa) a rapporté que l’Etat mobilise beaucoup de moyens financiers pour faire face à la guerre de l’Est.
« Je connais combien de moyens l’Etat met à la disposition de la question sécuritaire.
Je dois vous confirmer qu’au moins 70% de ce que le Congo gagne comme argent va là-bas », a ajouté Eliezer Ntambwe.
Pour lui, Il est important que les Congolais puissent « se lever comme un seul homme pour dire non à cette agression gratuite imposée au pays ».

Les responsables du Fonds de séparation des indemnisations des victimes des activités illicites de l’Ouganda en RDC, (FRIVAO) ont rapporté jeudi 23 janvier, l’arrestation d’au moins 10 arnaqueurs qui exigeaient de l’argent aux victimes en attente d’indemnisation.
Le secrétaire rapporteur intérimaire du FRIVAO, Clémence Kalibunji, appelle les personnes en attente d’indemnisation à la vigilance pour ne pas tomber dans les mailles de filets de ces inciviques.
Clémence Kalibunji demande également aux autres victimes en attente des opérations d’identification dans d’autres villes et agglomérations de la Tshopo, de faire preuve de patience.
Promettant de les tenir informées au moment opportun :« FRIVAO est en train d’exécuter son plan dans toutes ses entités-là où nous allons nous déployer pour procéder à l’identification des victimes.
Les arnaqueurs arrêtés ont été mis à la disposition de la justice pour répondre de leurs actes, a annoncé le FRIVAO.

Alors que certaines rumeurs annonçaient l’occupation de la cité de Sake par la rébellion, les services de communication du gouverneur notent que le chef de l’exécutif provincial était au front.
« Le gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu, le général major Peter Cirimwami Nkuba, s’est rendu jeudi sur la ligne de front proche de Mubambiro pour rassurer la population et remonter le moral des troupes engagées sur le terrain.
Une panique généralisée a été constatée depuis le matin de ce jeudi 23 janvier dans la ville de Goma au Nord-Kivu.
La traversée entre les deux pays s’est poursuivie sans interruption, tout comme les échanges transfrontaliers, permettant le maintien des flux commerciaux et des déplacements habituels.
Cependant, dans la ville de Goma, des activités ont été en grande partie paralysées.