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Le diplôme n’est plus une preuve de vos compétences dans un domaine quelconque.
Avec tellement d’irrégularité, de problème lié à la corruption que rencontre le secteur de l’éducation, plusieurs diplômes obtenus en RDC sont considérés comme « Sans valeurs », dans certains pays d’Afrique et en occident.
Les porteurs des diplômes également, ne sont pas à la hauteur et manquent de compétence.
Alors comment lutter contre les diplômes sans valeur ?
Élément de réponse tout de suite dans ce magazine que je vous recommande de suivre en cliquant ici:/sites/default/files/2025-01/27012025blocbanaokapidiplomeweb.mp3

Le procès opposant la République démocratique du Congo (RDC) au Rwanda s’ouvrira le 12 février prochain devant la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) à Arusha, en Tanzanie.
Ce lundi 27 janvier, le vice-ministre de la Justice et contentieux international a organisé un atelier réunissant plus de 500 participants, parmi lesquels des acteurs politiques, des membres de la société civile, des institutions d’appui à la démocratie et des experts juridiques.
Selon le vice-ministre, cette initiative vise à garantir une collaboration étroite entre le Gouvernement et la société civile pour maximiser les chances de succès devant la CADHP.
« Nous avons pensé qu’il faut déjà commencer à impliquer la société civile dans la collecte des preuves et dans la dénonciation des violations », a déclaré le vice-ministre de la Justice et contentieux international.
Ce procès représente une étape importante dans la quête de justice pour les millions de Congolais affectés par les violences.

L’escalade de la violence ces derniers jours dans l’Est de la RDC a suscité diverses réactions au sein de la communauté africaine et internationale.
L’UE condamne fermement la prise de la ville de Minova le 21 janvier, suivie de la prise de Saké le 23 janvier par le M23.
Il affirme que la recrudescence des attaques perpétrés par le M23 ainsi l’occupation d’illégale récente de Saké et Minova traduisent une dangereuse escalade dans ce conflit.
Une réaction jugée tardive et confuse par le ministre congolais de la communication et des médias le porte-parole du gouvernement congolais.
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Ils ont répondu à l’appel de l’autorité provinciale du Sud-Kivu, de la coordination de la société civile et d’autres groupes citoyens.
Un mémo a été lu par Nene Bintu, présidente de la société civile du Sud-Kivu :« La société civile du Sud-Kivu constate avec amertume la forte dégradation de la situation sécuritaire due à la guerre nous imposée par le Rwanda et ses alliés AFC-M23 sur le sol congolais.
Cette guerre a pris d’autres tournures au point qu’elle se déroule déjà dans la ville de Goma, et la ville de Bukavu court un grand danger si rien n’est fait ».
Elle a dénoncé la complicité de la communauté internationale dans la guerre, qui sévit en RDC.
La société du Sud-Kivu recommande ainsi au Conseil de sécurité des Nations unies « d’imposer la paix à travers une résolution contraignante sanctionnant le pays agresseur, le Rwanda ».

La nouvelle société civile congolaise du groupement de Basongora, dans le territoire de Beni, a plaidé, ce lundi 27 janvier, pour une assistance en faveur des déplacés basés à Kasindi Lubiriha.
Elle exprime sa « vive préoccupation » face à la situation humanitaire au poste frontalier de Kasindi Lubiriha.
Selon Denis Kalenga, le président de la société civile du groupement de Basingora, la plupart des déplacés manquent des abris.
Ça fait à peu près vingt-trois jours que nous enregistrons des déplacés de guerre qui nous viennent du Nord-Kivu secoué par la rébellion du M23.
Voilà ce qui nous inquiète davantage », a affirmé Denis Kalenga.

L’Office national des transports (ONATRA) constitue la solution efficace pour mettre fin aux gros embouteillages constatés ces derniers temps sur toutes les artères de Kinshasa.
C’est ce qu’a déclaré le directeur de chemin de fer urbain de cette entreprise de l’Etat, George Fuki, lors d’une interview exclusive accordée le week-end dernier à Radio Okapi.
Pour George Fuki, il suffit seulement que le Gouvernement équipe l’ONATRA pour que ce phénomène des embouteillages prenne fin:”Donnez-nous les moyens directement pour qu’on gagne du temps.
On a besoin de gagner du temps parce que je vous dis la ville de Kinshasa pour évacuer la population dans le transport de masse, s’appelle ONATRA.
Si l’Etat congolais nous aide à avoir ne fut-ce que dix locomotives, vous verrez ce qui va se passer à Kintambo, aéroport…