RDC : Molendo veut optimiser l’exploitation des ressources pétrolières avec l’Angola et l’Ouganda

Ils visent, à l’en croire, à améliorer la gestion et l’exploitation des ressources pétrolières situées dans des zones transfrontalières d’intérêt commun avec l’Angola et l’Ouganda.
Ensuite, l’avenant du 3 octobre 2024 entre la RDC et l’Angola.
Par ailleurs, le deuxième, signé en Ouganda respectivement le 23 juin 1990 puis le 25 janvier 2008 qui concerne l’exploration des hydrocarbures et des gisements communs.
Ces initiatives législatives visent à formaliser des accords de coopération bilatérale dans le cadre de l’exploration et de l’exploitation des ressources pétrolières situées dans ces zones entre les nations concernées.
De surcroît, les objectifs poursuivis concernent la promotion d’une gestion concertée et équitable des ressources naturelles, la sécurisation des investissements et des infrastructures d’exploitation ainsi que l’optimisation des bénéfices économiques pour la RDC, et les pays concernés.

RDC : Le gouvernement annonce sa participation à la vente directe des produits miniers à Kamoa

Lors des états généraux des entreprises du Portefeuille, le ministre Jean-Lucien Busa a annoncé la participation directe du gouvernement congolais à la vente directe des produits miniers et à la fixation de prix de la société Kamoa, où l’État congolais détient 20% des actions.
D’après le ministre du Portefeuille, les prévisions de chiffres d’affaires de Kamoa sont estimées à 33 milliards de dollars américains(USD).
En annonçant sa participation active à la commercialisation des produits au sein de ladite société, l’État congolais affirme clairement son intention de reprendre en main un secteur longtemps considéré comme une poule aux oeufs d’or pour les étrangers.
Cette décision du gouvernement congolais de renforcer son contrôle sur la commercialisation des produits miniers de Kamoa constitue un signal fort.
Elle témoigne également de la volonté politique de l’État de tirer pleinement parti de ses ressources naturelles et de les mettre au service du développement du pays.

Discours du président Tshisekedi sur l’état de la nation : entre autosatisfaction et modération

Ce mercredi 11 décembre, le président Félix Tshisekedi a tenu le premier discours sur l’état de la nation de son second mandat.
Devant les députés et sénateurs réunis en congrès, le chef de l’État a évoqué toutes les questions touchant à la vie de la nation.
Bonjour et bienvenue dans ce 49e épisode de la saison 4 de Po Na Biso, la capsule audio d’Ebuteli, institut congolais de recherche sur la politique, la gouvernance et la violence, et du Groupe d’étude sur le Congo (GEC) qui analyse, chaque semaine, un sujet d’actualité congolaise.
C’est pourquoi le président a insisté sur la nécessité de maintenir à 11% la part allouée à l’agriculture dans le prochain budget.
Dans le domaine de la santé, le président a noté la poursuite de la mise en œuvre de la couverture santé universelle.

Au Maroc , J. Paluku révèle le volume d’importations annuelles de la RDC : 7 milliards USD

Il a également souligné les initiatives mises en place par la RDC pour améliorer le climat des affaires, renforcer les infrastructures et encourager les partenariats public-privé.
Investir en RDC, « c’est aussi accéder aux marchés américains, chinois, européen et indien », a-t-il souligné.
Cette intervention s’inscrit dans la stratégie de la RDC visant à attirer des investissements étrangers pour diversifier son économie et accroître sacapacité industrielle.
Le ministre a précisé que « la RDC enregistre un niveau d’importation annuelles à 7 milliards de dollars américains ».
Julien Paluku a mené une plaidoirie pour un équilibre nécessaire entre les acteurs étatiques et le secteur privé, question de préserver la paix et la stabilité.

Ituri: des enfants exploités dans des sites miniers par des groupes armés

Les groupes armés multiplient les cas d’exploitation des enfants dans des carrés miniers dans le territoire d’Irumu, en Ituri.
Ces groupes armés sont notamment FPIC, MAPI et CODECO qui sont fréquemment cités dans ces activités.
Les sites miniers où sont exploités les enfants sont situés pour la plupart dans la chefferie de Babelepe.
C’est un danger que nous minimisons, mais c’est l’avenir de ces enfants qui est sacrifié, qui risque d’être une bombe à retardement.
Ces groupes armés doivent être sanctionnés et ces enfants doivent quitter les sites miniers », a-t-elle précisé.

Nord-Kivu: des sites miniers autrefois occupés par les miliciens, abandonnés aux mains des ADF à Lubero

Plusieurs sites miniers situés à Bapere ont été abandonnés par les groupes armés à la suite de l’activisme des terroristes islamistes d’Allied Democratic Forces (ADF) dans cette partie du territoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu.
Selon Kakule, « les zones minières ont été libérées par les groupes armés à cause de l’activisme des ADF dans cette partie.
Secouées par les ADF, mêmes les coopératives minières ont abandonné ces zones ».
À l’en croire, « les groupes armés ont pris fuite vers Mangurijipa, le centre de ce secteur, pour tracasser la population civile.
Bien d’autres groupes armés dans le territoire de Lubero se concentrent sur le trafic des minerais malgré la présence des éléments de l’armée nationale dans la zone.

CMOC à travers ses filiales TFM et KFM investit dans le futur de la RDC

Le groupe chinois CMOC à travers ses filiales Tenke Fungurume Mining (TFM) et Kinsafu Mining (KFM), reste fidèle à son engagement d’une production et d’une commercialisation responsable des métaux.
Et ce, en parfaite coopération avec le gouvernement de la RDC, le Conseil congolais de la batterie (CCB) et les partenaires industriels.
CMOC s’engage à fournir au monde un approvisionnement responsable en métaux de batteries », a indiqué le responsable des partenariats à TFM SA.
Cette distinction a contribué à élever davantage la stature de l’exploitation responsable du cuivre et du cobalt en Afrique et en RDC », a fait valoir Wu Shenggen.
Ces nouvelles infrastructures industrielles ont permis à TFM de dépasser le cap de 200 mille tonnes de cuivre produit l’an.

Kamoa Copper SA, ouvre-ses portes pour des échanges commerciaux profitables entre la RDC et la Zambie

Kamoa Copper SA a eu l’honneur d’accueillir le jeudi dernier, 21 novembre 2024, le Ministre des Infrastructures, du Logement et du Développement urbain de la Zambie, Ingénieur Charles Milupi, ainsi que Son Excellence la Gouverneure du Lualaba, Madame Fifi Masuka Saini, accompagnés du Ministre provincial des infrastructures, Monsieur Moise Mukepe Kahilu et d’une délégation d’officiels Congolais et Zambiens, pour une visite de site.
Venues dans cette contrée pour la signature du protocole d’accord entre la Zambie et la République Démocratique du Congo portant sur la construction de la route Kolwezi – Lumwana (145 kilomètres), leurs Excellences, faisant d’une pierre deux coups, ont tenu à visiter Kamoa Copper, rencontrer ses dirigeants et surtout voir l’évolution de ses infrastructures en raison, car la société est un exportateur majeur dans cette zone avec environ 19% d’exportation minière et, partant, un usager stratégique potentiel de cette nouvelle route, objet du contrat congolo-zambien signé.
Au cours de cette visite, la délégation a pu explorer la mine souterraine de Kakula, observer les infrastructures de la phase 3, le centre de formation de Kansoko, ainsi que les projets communautaires ; ce qui a permis aux éminents visiteurs d’apprécier avec, non sans une pointe d’émerveillement, l’impact socio-économique significatif des opérations de Kamoa Copper tant à l’échelle locale, nationale que sous-régionale.
A la clôture de la visite, la Gouverneure du Lualaba a exprimé sa fierté face aux réalisations de Kamoa Copper, opérateur économique de sa juridiction, la qualifiant de véritable modèle d’excellence et développement pour la Province et son pays la RD Congo.
Pour leur part, tout en remerciant leurs visiteurs de marque pour cet insigne honneur, les dirigeants de Kamoa Copper ont réaffirmé l’engagement de la société à œuvrer pour l’essor économique du pays et le bien-être social des communautés impactées par ses activités minières.

7.000 Km de routes promis par Tshisekedi : Jean-Pierre Okenda doute

C’est vrai que Sicomines avait soumis des études de faisabilité après l’expiration des titres miniers, et que la demande a déjà été approuvée.
Mais, est-ce que nous sommes aussi sûrs que le projet minier va générer de l’argent qui sera affecté ?
Ça signifie que si on le fait sur 10 ans, la Sicomines devra construire 700 km de routes par an !
Admettons que les routes sont totalement battues, dont on parle de 1 millions par kilomètres en termes de coup ça signifie que 700 kilomètres, nous avons 700 millions.
L’Avocat a appelé le gouvernement congolais à la transparence sur l’allocation de l’argent de la Sicomines.

RDC : TFM ne se reconnaît pas dans la vidéo d’un accident attribué à ses installations

Une vidéo devenue virale sur internet montre une personne, travaillant dans une entreprise, sur qui une charge placée en hauteur est tombée sur la tête, la mettant dans un état critique.
L’entreprise indexée est Tenke Fungurume Mining, l’un des plus grands producteurs de cuivre et cobalt en République Démocratique du Congo (RDC).
Ce géant minier, dans un démenti fait sur son compte X, a souligné que les lieux et les pratiques illustrés dans la vidéo ne correspondent en rien à ses propres standards de sécurité.
«Nous menons nos opérations dans le respect strict des exigences de sécurité au travail et sommes déjà arrivés à faire de la sécurité au travail notre mode de vie .
Cette scène est donc à rechercher ailleurs, pas à TFM», écrit l’entreprise.

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