Nord-Kivu : La lutte contre l’exploitation illégale des ressources par les groupes armés au centre d’un échange entre acteurs locaux à Beni

Des acteurs clés, les autorités locales, la société civile et leurs partenaires, se sont réunis lors d’un atelier de réflexion visant à trouver des solutions pour mettre fin à l’exploitation illégale des ressources naturelles par les groupes armés et les receleurs dans les territoires de Beni et Lubero.
La lutte contre les groupes armés va au-delà de l’action militaire, elle inclut également des approches non-violentes, telles que le Programme de désarmement, démobilisation, relèvement communautaire et stabilisation (PDDRC-S).
De plus, il est crucial de « tarir les sources financières » qui soutiennent ces groupes armés, a affirmé BLAISE BOLAMBA, secrétaire permanent de l’ONG Congo PEACE Center, CPC.
Il sied de noter que les séminaires sur l’exploitation illégale des ressources naturelles par les groupes armés ont bénéficié d’un soutien financier de la mission des Nations Unies pour le maintien de la paix en RDC, la MONUSCO.
Ces échanges ont duré 3 jours, du mardi 1er août au jeudi 3 août 2023.

D’ici 2025, la Chine s’emploie à contrôler près d’un tiers du lithium au monde

La société de services financiers suisse UBS a révélé que les efforts de la République populaire de Chine pour accélérer l’extraction du lithium, devrait faire en sorte que Pékin représente près d’un tiers de l’approvisionnement mondial d’ici deux ans soit en 2025.
« Cela porterait la part de la Chine dans le minerai essentiel aux batteries des véhicules électriques à 32 % de l’offre mondiale.
A en croire la même source, la course à la sécurisation du lithium se joue au plus haut niveau, les nations – dont les États-Unis – donnent la priorité à l’accès aux matériaux nécessaires à la fabrication des batteries alors que le monde se détourne des combustibles fossiles.
En même temps, les besoins de la Chine sont particulièrement « aigus » car elle abrite actuellement le plus grand marché mondial de véhicules à énergies nouvelles.
Pékin prévoit aussi d’envoyer des responsables d’autres départements dans la ville pour « superviser l’exploitation minière et la production des sociétés minières de lithium ».

Pollution de la rivière Kasaï ppar une société minière angolaise : Une question orale avec débat adressée à Ève Bazaïba et Christophe Lutundula

Disposez-vous aujourd’hui des résultats fiables des analyses des eaux et autres sédiments ?
Avez-vous un rapport quant à cette distribution ?
7.Quelle suite avez-vous réservée aux lésions vaginales subies par les femmes du Kasaï ?
Au Katanga, pourquoi assistez-vousimpuissamment à l’empoisonnement de nos compatriotes par l’exploitation criminelle et illégale des mines qui polluent leurs eaux et environnement?
Quelle est la réaction de notre pays face à la maltraitance devenue la norme de nos compatriotes en situation irrégulière en Angola par les autorités angolaises ?

Koweït : Didier Budimbu et Fouad Alghanim échangent sur la transformation en électricité du gaz du lac Kivu

Le ministre des Hydrocarbures, Didier Budimbu, séjourne depuis mercredi 27 avril, au Koweït, pays arabe du Golfe persique où il a échangé des vues avec le responsable du groupe « Alghanim international général trading », M. Fouad Alghanim, sur les questions liées à la transformation du gaz du Lac Kivu en électricité et d’autres blocs pétroliers, a appris vendredi l’ACP du ministère des Hydrocarbures.
Le ministre Didier Budimbi a saisi l’occasion pour présenter à son interlocuteur, toutes les opportunités qu’offre la République démocratique du Congo (RDC) dans le domaine des hydrocarbures.
Pour sa part, M. Fouad Alghanim, responsable du groupe « Alghanim international général trading », entreprise spécialisée en logistique pétrolière et gazière, s’est dit satisfait par les opportunités présentées par le ministre des Hydrocarbures, en amont et aval dans le secteur pétrolier, mais aussi dans le domaine du gaz.
Le ministre des Hydrocarbures, Didier Budimbu, est arrivé Koweït en compagnie du directeur général intérimaire de la Sonahulydroc, Sylvie Ntanzambi ; des experts ainsi que d’une équipe de la société « Surestream » du groupe Ledya conduite par son Président du conseil d’administration, Claude Bossio wa Bossio.
Avant de se rendre au Koweït, le ministre des Hydrocarbures était en Guinée-Équatoriale où il a eu des contacts avec son homologue équato-guinéen, Gabriel Obiang sur la nécessité de la création d’un marché africain du pétrole et du gaz, rappelle-t-on.

Installation d’une usine de raffinerie d’or à Bukavu : Théo Ngwabidge appelle les opérateurs économiques à « cesser la fraude minière »

Dans une interview accordée à la radio onusienne, le Gouverneur de province du Sud-Kivu, où sera installée la toute première usine de raffinerie d’or du pays, invite les opérateurs économiques qui évoluent dans le secteur aurifère de cesser avec la fraude.
Theo Ngwabidge Kasi qui salue l’implantation de cette usine – initiative des opérateurs économiques privés – permettra de lutter sensiblement contre la fraude minière surtout dans le secteur aurifère.
« Les opérateurs économiques n’ont plus raisons de continuer à frauder ; puisqu’aujourd’hui, on a cette usine qui répond aux normes internationales », a affirmé Theo Ngwabidge.
Théo Ngwabidje a été interrogé par la radio onusienne :

La Zambie prévoit augmenter les investissements pour produire 3 millions de tonnes de cuivre par an d’ici dix ans

La Zambie désormais contrainte de résoudre les problèmes mettant en difficultés depuis quelques années, la production dans les mines existantes, et investir massivement pour de nouvelles mines, afin d’atteindre sa quête de produire 3 millions de tonnes de cuivre par an d’ici 2033.
Leur production a en effet diminué ces dernières années, en raison de la vétusté des infrastructures minières et de l’insuffisance des investissements pour les rénover.
Une fois l’accord signé, plus de 300 millions de dollars devraient être investis sur les trois prochaines années afin de doubler la production de cuivre », apprend-on.
À cela se sont ajoutés, la hausse des salaires des employés et le paiement des arriérés aux fournisseurs et sous-traitants locaux.
Dans le susdit plan budgétaire, le gouvernement zambien s’attend en effet à une production de cuivre de 796 994 tonnes en 2024, 866 003 tonnes en 2025 et 939 683 tonnes en 2026.

RDC, Mali, Guinée, … : les pays africains à la conquête des partenariats « équitables » dans le secteur minier

L’évolution des relations entre les gouvernements africains et les entreprises minières est au cœur d’un mouvement de transformation sans précédent.
Ces développements illustrent une évolution majeure dans les relations entre les gouvernements africains et les compagnies minières, marquant un changement « significatif » dans l’équilibre des forces.
Cette modernisation découle d’une prise de conscience des gouvernements, qui cherchent à établir des réglementations plus détaillées et à mieux former leurs hauts fonctionnaires sur ces sujets.
Cette évolution des relations entre les États africains et les compagnies minières souligne la montée en puissance des gouvernements dans les négociations.
Cependant, l’Afrique fait face à des défis majeurs liés à l’accélération de la transition énergétique et à la complexité des technologies et des chaînes de valeur.

Sicomines : Une production minière responsable et respectueuse des normes environnementales

La République Démocratique du Congo attache une grande importance au respect des normes environnementales dans le secteur minier.
Basée à Kolwezi, dans la province du Lualaba, la SICOMINES fait preuve d’une exploitation minière responsable et se présente comme un modèle dans le respect des normes environnementales.
L’entreprise accorde une place de choix à la gestion des eaux usées des usines.
Géré par le département de l’environnement, ce bassin permet de recycler les eaux venant à la fois des usines et du bassin de rejet pour les réutiliser.
Cette politique vise à créer des mines écologiques et à protéger l’environnement au sein des usines et en dehors.

L’IFC a déboursé un financement de 2,1 milliards USD pour appuyer les projets liés à la transition verte en Afrique

Les pays africains ont bénéficié d’un financement de 2,1 milliards USD de la part de la société financière internationale (IFC), a annoncé cette dernière, le lundi 25 juillet 2022.
À en croire cette société, ce financement vont contribuer à appuyer les projets liés à la transition verte pour la préservation de l’écosystème, à savoir l’amélioration de l’accès au financement climatique et au financement des projets d’énergies renouvelables.
À cet effet, des pays riches et des bailleurs de fonds se sont mobilisés au côté de l’Afrique pour lui tenir à assurer sa résilience climatique.
Un responsable de IFC, a tenté de donner l’une de raison d’être de ce financement, qui serait entre autre combattre les effets du COVID-19.
« Si les effets de la crise de la Covid-19 persistent, de nouveaux défis se profilent également, notamment du fait de la hausse de l’inflation mondiale.

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