Raffinerie du pétrole congolais : La RDC veut booster SOCIR au Kongo-Central

Cette visite du ministre Yala est consécutive à la volonté du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo exprimée lors de la 61ème réunion du conseil des ministres.
http://138.68.177.71/vente-des-blocs-petroliers-et-gaziers-nous-ne-devons-plus-nous-contenter-de-celebrer-le-potentiel-de-la-rdc-mais-il-nous-revient-de-lexploiter-tshisekedi/Dans le but de contribuer de manière significative à la croissance économique de la RDC par le canal de cette société, le ministre provincial a promis de soumettre les désidératas exprimés lors de sa mission d’inspection auprès de l’autorité provinciale Guy Bandu pour l’implication du gouvernement provincial.
Elle est détenue à parts égales entre l’Etat congolais (50%) et un partenaire privé, la multinationale italienne Eni.
La société ne raffine pas le brut.
Elle est cantonnée dans la logistique du carburant (stockage et transport).

RDC : Des plaidoyers pour la relance de la société aurifère du Kivu et du Maniema, la SAKIMA

Le consultant juridique au conseil présidentiel de veille stratégique, Eloi Bundibulya appelle le gouvernement à mettre des moyens nécessaires pour relancer la Société aurifère du Kivu et du Maniema(SAKIMA).
Après y avoir effectué une visite la semaine dernière, dans la commune rurale de Kalima au Maniema, Eloi Bundibulya affirme que « la société est vraiment par terre, ne fonctionne pas, elle se contente de gérer quelques contrats avec les coopératives minières, de gérer la centrale hydroélectrique ».
Par ailleurs, les agents de cette entreprise minière publique, sont très préoccupés par les litiges qu’ils ont avec leurs entreprises.
Pour le consultant juridique au conseil présidentiel de veille stratégique, la situation de la SAKIMA est paradoxale car ayant signé des contrats avec des entreprises alors qu’elle n’a pratiquement plus d’outil de travail.

RDC : 1,8 million £ déboursé par le britannique Critical Metals pour redémarrer le projet Molulu

Créée avec pour objectif d’acquérir des opportunités minières dans les domaines critiques et stratégiques des métaux, l’entreprise britannique Critical Metals développe actuellement le projet Molulu , une ancienne mine de cuivre et de cobalt située en territoire congolais.
Lors de la période post-réadmission, la cartographie géologique de Molulu a commencé avec des données saisies dans un logiciel de cartographie géologique.
Tout en visitant les affleurements de cuivre, l’équipe de tête de l’entreprise s’est également rendue à Molulu pour rencontrer l’ingénieur minier et les géologues sur le terrain.
En outre, suite à des multiples défaillances opérationnelles constantes et de délais non respectés par le fournisseur d’équipement minier, Critical Minerals avait décidé de changer de fournisseur d’équipement.
La société attend avec impatience de mettre à jour les actionnaires et le marché à nouveau le mois prochain », déclarait la hiérarchie de l’entreprise.

RDC : L’administration Tshisekedi décide enfin de publier le contenu du contrat minier et pétrolier signé avec Dan Gertler

L’État congolais va rendre public dans les prochains jours le protocole d’accord signé avec l’entreprise Ventora du milliardaire israélien Dan Gertler, c’est ce qu’a annoncé récemment le ministre des finances congolais Nicolas Kazadi.
D’après l’argentier de la RDC, cet accord est à la phase de finalisation entre l’état congolais et Ventora, ce qui va permettre sa publication incessamment.
« S’’agissant du contrat avec Ventora (Gertler), ce contrat est en phase de finalisation.
Par ailleurs, le gouvernement congolais avait justifié la non-publication du contenu de cet accord par les clauses de confidentialité qui l’entourent.
En juillet 2022, le Fonds Monétaire International (FMI) et la société civile congolaise réagissaient avec insistance en demandant la publication du protocole d’accord signé entre Dan Gertler et le gouvernement congolais.

RDC: Un ultimatum de 10 jours accordé avant la radiation des droits miniers détenus par des personnes physiques

Le Cadastre Minier (CAMI) annonce qu’il va procéder dans 10 jours à la radiation de tous les droits miniers et/ou de carrières ayant été autrefois détenus ou actuellement détenus par des personnes physiques.
« (…)Va procéder dans les dix jours du présent communiqué à la radiation, sur la carte de retombes minières et dans son registre, de tous les droits miniers et/ou de carrières ayant été autrefois détenus ou actuellement détenus par des personnes physiques», a renseigné ce communiqué du CAMI.
«Endéans ce délai, les personnes concernées sont tenues de se conformer à la loi», a poursuivi ce communiqué.
D’après des sources proches du CAMI, cette mesure vise à renforcer la sécurité des investissements miniers en République Démocratique du Congo, tout en garantissant une exploitation responsable et durable des ressources du pays.
La révision du Code Minier et du Règlement Minier de 2018 permet de clarifier les règles régissant l’attribution et la gestion des droits miniers et/ou de carrières, tout en garantissant un investissement sûr et stable dans le secteur minier congolais.

Biden à Luanda : à qui profite l’investissement américain à Lobito ?

Joe Biden a atterri à Luanda lundi pour sa première et unique visite en Afrique en tant que président.
L’objectif principal de ce voyage était de présenter le soutien des États-Unis pour l’Angola et pour le corridor de Lobito en particulier, un projet ferroviaire soutenu par le gouvernement américain.
Même s’il parvient à réduire les coûts de transport et les délais, les minéraux et les profits qui en découlent continueront de profiter en grande partie à la Chine.
Même les cargaisons de minerais congolais qui ont quitté Lobito cette année à destination des États-Unis provenaient en partie de mines appartenant à des sociétés chinoises.
Indépendamment de la question de savoir si Lobito sera un succès pour les États-Unis, est-ce une bonne chose pour la RDC ?

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