Author: actualite.cd

Au moins 113 blessés graves pris en charge à l’Hôpital Général de Référence de Minova ont été transférés à Goma pour des soins spécialisés, a rapporté lundi le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA).
Ces victimes sont pour la plupart issues des récents affrontements dans les territoires de Masisi (Nord-Kivu) et Kalehe (Sud-Kivu).
Ces combats se sont étendus du territoire de Masisi (Nord-Kivu) au territoire de Kalehe (Sud-Kivu), notamment autour de la localité de Lumbishi, à la limite des deux provinces.
Les violences dans la région ont contraint des milliers de civils à fuir leurs foyers.
Les autorités locales et les partenaires humanitaires appellent à une réponse d’urgence pour faire face à l’afflux de déplacés et à la prise en charge des blessés, alors que les combats se poursuivent dans plusieurs localités.

Dans un ton empreint de mélancolie devant la mère de la défunte éclatant en sanglots, l’abbé Destin Basonga a parlé d’une mort orchestrée par la «soif effrénée du pouvoir» du régime passé.
Son jeune frère, Jean-Claude Kapangala, à la tête d’une structure dénommée Génération Thérèse Kapangala, a salué la présence d’hommes politiques à cette activité, dont Martin Fayulu, avant d’exprimer son regret face à la ténacité du pouvoir actuel de changer la constitution, sujet ayant coûté la vie à plusieurs personnes sous l’ère Kabila.
Thérèse Déchade Kapangala a été touchée en plein cœur par une balle tirée par la police, elle n’avait pas survécu.
Cet évènement s’est déroulé dans un contexte des manifestations anti-pouvoir organisées par le Comité Laïc de Coordination (CLC).
Ce même jour-là, au moins 5 personnes ont été tuées par des tirs à balles réelles.

Les affrontements entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont conduit à une restriction significative de l’accès humanitaire dans plusieurs zones du territoire de Kalehe, au Sud-Kivu.
Ces restrictions compliquent la situation humanitaire déjà critique, selon une mise à jour publiée par OCHA ce mardi.
Ces limitations freinent la livraison de l’aide humanitaire et les déplacements des populations affectées.
En réaction à la détérioration de la sécurité, une vingtaine d’organisations humanitaires basées à Minova ont suspendu temporairement leurs activités, selon une réunion de crise tenue le 20 janvier.
“Nous devons garantir la sécurité de nos équipes avant toute reprise des opérations,” a indiqué un responsable humanitaire basé à Minova.

Dans un ton empreint de mélancolie devant la mère de la défunte éclatant en sanglots, l’abbé Destin Basonga a parlé d’une mort orchestrée par la «soif effrénée du pouvoir» du régime passé.
Son jeune frère, Jean-Claude Kapangala, à la tête d’une structure dénommée Génération Thérèse Kapangala, a salué la présence d’hommes politiques à cette activité, dont Martin Fayulu, avant d’exprimer son regret face à la ténacité du pouvoir actuel de changer la constitution, sujet ayant coûté la vie à plusieurs personnes sous l’ère Kabila.
Thérèse Déchade Kapangala a été touchée en plein cœur par une balle tirée par la police, elle n’avait pas survécu.
Cet évènement s’est déroulé dans un contexte des manifestations anti-pouvoir organisées par le Comité Laïc de Coordination (CLC).
Ce même jour-là, au moins 5 personnes ont été tuées par des tirs à balles réelles.

Selon des sources d’ACTUALITE.CD, au moins 18 morts ont été enregistrés dans les deux entités.
Leurs corps ont été découverts au lendemain de la prise de la cité par le M23, soit le lundi.
« Nous avons retrouvé dix corps sans vie de civils dans les champs de Burora, près de Bweremana.
Jusque dans la soirée de mardi, le front s’est arrêté à Kalungu, dans la chefferie de Buhavu, au Sud-Kivu.
L’armée assure qu’elle a pris toutes les mesures nécessaires pour contrer les avancées des rebelles et rétablir la paix dans les zones touchées.