Author: acp.cd

Kinshasa, 03 décembre 2024 (ACP/APS).- Le Haut-Commissaire assistant chargé des opérations du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), Mazou Raouf, a salué les efforts de l’Algérie dans la prise en charge des réfugiés, et ce, lors de l’audience que lui a accordée le Secrétaire général du ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Larbi Marzouk, a indiqué mardi un communiqué du ministère.
Lors de la rencontre, tenue lundi au siège du ministère dans le cadre de la visite de travail qu’effectue M. Mazou Raouf en Algérie, les deux parties ont évoqué la prise en charge des réfugiés et les efforts considérables consentis par l’Algérie pour les accueillir et leur assurer toutes les conditions d’accompagnement nécessaires », a précisé le communiqué.A cette occasion, M. Marzouk a souligné « l’intérêt majeur accordé par les autorités algériennes à la prise en charge humanitaire des réfugiés », rappelant « le soutien inconditionnel apporté aux réfugiés sahraouis, notamment en matière d’hébergement, de prise en charge sanitaire et d’enseignement », a ajouté la même source.
De son côté, le responsable onusien s’est félicité de « la coordination constante entre les autorités algériennes et le HCR et d’autres instances internationales activant dans ce domaine », selon le communiqué.M.
Mazou Raouf a également salué « la bonne gestion de la question migratoire suivant une approche alliant sécurité et développement et en coordination avec l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) », réaffirmant son « soutien aux efforts des autorités algériennes ».ACP/

Kinshasa, 3 décembre 2024 (ACP).- La chanteuse de la musique urbaine Rebo Tchulo de la République démocratique du Congo, a annoncé la sortie de son nouveau single intitulé « Mobambo », pour ce jeudi 05 décembre 2024, sur toutes les plateformes d’hébergement, a appris l’ACP mardi sur sa page sociale consultée.
Rendez-vous ce jeudi 05 décembre », a écrit Rebo Tchulo sur Facebook.
La chanteuse a également promis de captiver son public avec un style unique : un mélange de sonorités africaines et de pop moderne.
Déborah Tshimpaka Mulanga, connu sous le nom de Rebo Tchulo, est native de Kinshasa précisément de la commune de Barumbu.
Auteure de plusieurs chansons telles que ‘‘Cœur fragile’’, ‘‘Ni Nani’’ et ‘‘Mbote’’ qui l’ont consacré dans le firmament de la sphère musicale du continent noir, est une des belles voix féminines du pays de la Rumba congolaise.

Kinshasa, 3 décembre 2024 (ACP).-Les travaux de réhabilitation de la route Kimwenza, reliant les communes de Lemba et de Mont-Ngafula, parties Centre et Ouest de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, ont débuté effectivement mardi, a constaté l’ACP.
Ce projet consiste à réhabiliter l’ensemble de la route Kimwenza.
Pour le curage de la rivière nous le ferons sur 200 mètres en aval et en amont.
Et d’indiquer : « Nous avons également prévu d’aménager une route de déviation en allant vers l’intendance de l’Unikin au niveau de l’avenue parc Virunga puisque lorsque nous allons entamer l’ouvrage du pont nous allons fermer momentanément la route Kimwenza.
La route Kimwenza assure la jonction des établissements scolaires et académiques, notamment la première université des sciences agrovétérinaires (Université loyale), la première bibliothèque de l’Afrique centrale (Canisuis), le lac de Ma vallée et le sanctuaire de Bonobo.

« Nous avons déjà dépisté plus de 70 personnes, et il y a plus des cas négatifs que positifs ainsi que des résultats indéterminés.
A l’arrivée de la personne, la première étape est le pré-test ou l’enregistrement.
La deuxième étape consiste à faire le test et la troisième consiste à communiquer le résultat en post-test à travers un counseling post-test.
TROPOS est un centre de dépistage consacré uniquement pour les populations à plus de risques de contracter le VIH.
Pour atteindre cette catégorie de la population, ce centre recourt aux pères éducateurs pour les aborder.

Bukavu, 03 décembre 2024(ACP).- Desjeunes catholiques de la paroisse de Burhiba ont accompagné mardi le comité diocésain de la plateforme « Wazee wetu« (WAWE) pour planter des arbres à la paroisse Sainte Thérèse à Bukavu, au Sud-Kivu (Est de la République démocratique du Congo), a appris l’ACP de source paroissiale.
« L’objectif visé est de lutter contre les risques liés au changement climatique car les arbres jouent un rôle important en tant que poumon de notre planète », a déclaré Agnès Nzigire, coordinatrice des jeunes de la paroisse de Burhiba.
« Il a été demandé aux responsables des communautés ecclésiastiques vivantes (CEV) de la paroisse de Burhiba d’enregistrer des personnes de 3ème âge qui vont collaborer avec les jeunes pour leur distribuer des plantules à planter dans leurs parcelles et celles des secteurs de Mushekere et Kahero pour lutter contre les risques liés au changement climatique », a-t-elle précisé.
Dans cette optique, elle a souligné que les arbres fournissent de la nourriture aux gens et aux animaux et rendent l’air plus respirable.
Cette activité de plantation de ces plantules a eu lieu après une bénédiction et instructions aux bénéficiaires en marge du forum intergénérationnel organisé par la plateforme Wawe le week-end dernier, visant à renforcer le lien entre jeunes et personnes âgées.

Goma, 03 décembre 2024 (ACP).- 4.381 cas de choléra ont été répertoriés depuis le début de l’année 2024 dans les sites et camps de déplacés situés autour de Goma et à Nyiragongo au Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP mardi de source sanitaire.
« Nos compatriotes déplacés de guerre vivent dans des conditions précaires dans leurs sites : sans installations hygiéniques, sans eau, dans une zone endémique au choléra comme Nyiragongo.
Depuis le début de l’année 2024 en cours, nous avons enregistré 4.381 personnes touchées par cette maladie », a alerté le docteur Thierry Turano, médecin chef de zone de santé de Nyiragongo.
Le choléra est une maladie bactérienne qui provoque de graves diarrhées et une déshydratation.
Elle se transmet généralement dans l’eau et est aussi fatale si elle n’est pas traitée immédiatement.

« La République démocratique du Congo demeure un pays solution aux multiples potentiels minéraux.
Cette potentialité doit être au bénéfice de la population rurale qui constitue 80% de la population congolaise », a déclaré Muhindo Nzangi Butondo ministre d’État en charge du Développement rural.
Il a fait cette déclaration à la place de son collègue des Mines empêché, tout en rappelant que cette potentialité doit être au bénéfice de la population rurale qui constitue 80% de la population congolaise.
Muhindo Nzangi a fait savoir que la RDC a l’opportunité d’avoir des minerais qui participent à la course vers les énergies renouvelables pour une transition écologique.
Cette occasion offre l’opportunité à la RDC d’améliorer la bonne gouvernance et lutter contre la corruption afin de rester un pays solution.

En revanche, sur le marché parallèle, le franc congolais s’échange à 2.871,26 CDF, représentant une dépréciation de 0,14%.
Cette dépréciation du franc congolais est attribuée à une forte demande des devises dont les dollars américains pour les importations et les paiements internationaux.
Il s’agit également de la situation économique du pays fragile, exacerbée par des défis structurels et politiques.
La Banque Centrale du Congo a souligné l’importance d’interventions sur le marché de change pour stabiliser la monnaie nationale.
La dépréciation du CDF a des répercussions directes sur le coût de la vie, rendant les biens importés plus chers et aggravant l’inflation.

Et la RDC en avait exporté 70% sur le marché mondial.
Pour ce faire, le gouvernement doit donc limiter les matières à exporter », a recommandé le sénateur Kanyimbu.
Selon cet élu des élus du Lualaba, dan ses estimations, « si le gouvernement ramène le quota de cobalt à exporter à plus ou moins 80 milles tonnes l’an, nous allons tripler le court sur le marché.
Le sénateur Kanyimbu a, par ailleurs, révélé que le Lualaba souhaite quitter de l’objet social mines pour devenir une province agricole.
Le sénateur a, pour ce faire, invité le gouvernement à intégrer la réhabilitation de cette infrstructure dans son programme d’action pour sauver l’économie nationale.

« Bien que les lois et les politiques soient indispensables, nous savons qu’elles ne suffisent pas à elles seules.
Les stéréotypes de genre et les idées reçues profondément ancrées continuent de limiter les opportunités pour de nombreuses femmes.
« Dans un souci d’inclusivité, j’ai initié la création d’un ministère lié à la prise en compte des besoins et des droits des personnes.
La gouvernance inclusive vise à garantir que les perspectives et les expériences des femmes soient prises en compte dans l’élaboration des politiques et dans la gestion des institutions.
« Cet événement, placé sous le thème de gouvernance inclusive, est une véritable tribune d’espoir pour les femmes de la République démocratique du Congo.