Author: acp.cd

Kinshasa, 05 décembre 2024 (ACP).- Un économiste a été nommé directeur général à l’Ecole nationale de l’administration en République démocratique du Congo au terme d’un concours organisé par le vice-premier ministre et ministre de la Fonction Publique, Jean Pierre Lihau, a appris jeudi l’ACP d’un communiqué.
« A l’issue d’un processus de recrutement compétitif, j’ai le privilège de prendre la tête de l’ENA RDC, je promets de faire rayonner l’ENA pour qu’elle prospère et contribue à affermir la foi républicaine des serviteurs de l’État », a déclaré Tombola Moke, directeur général dans ce document.
Il a par la même occasion exprimé sa gratitude au Président de la République ainsi qu’au ministre de la Fonction publique Lihau Ebua pour cette marque de confiance à son endroit.
Rappelons que ce nouveau directeur a succédé à Guillaume Banga.
Le nouveau directeur général est un ancien directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale des agents de l’État (CNSSAP) et ancien Chef de mission AFD France d’appui au MINEDU-NC et de Consultant en gouvernance à la Banque mondiale.

« Le prix de cuivre observe une baisse sur les marchés internationaux, au cours de la période du 2 au 7 décembre 2024.
Ce minerai se négocie à 8.902,55 USD, la semaine sous examen contre 8.924,05 USD la semaine précédente, soit une baisse de 0,24% la tonne», a-t-on lu dans un document de la Commission nationale des mercuriales du ministère du Commerce extérieur.
Selon la source, outre le cuivre, cinq (5) autres produits miniers marchands sont en hausse sur les marchés internationaux, à savoir l’or, le cobalt, le zinc, l’argent et le tantale.
Toutefois, la hausse et la stabilité des prix des produits miniers marchands, agricoles et menus forestiers, a souligné la source, sont consécutives à l’offre et à la demande sur les marchés internationaux et de la chaîne d’approvisionnement.
Ces variations ont un impact direct sur l’économie congolaise, fortement dépendante des exportations des matières premières, notamment dans le secteur minier.

« Cette activité va se dérouler en deux phases, à savoir la célébration d’un culte au cours duquel il sera procédé à la collecte de fonds, ainsi que le concert proprement dit.
Le fonds et les biens collectés seront affectés à l’appui des structures d’encadrement des enfants en conditions difficiles ou en rupture familiale », a indiqué Mme Lidya Mayimona, présidente de l’Association des femmes fortes de Matadi.
« Ces enfants sont nos enfants, la vulnérabilité dans certaines familles sont également des causes de cette situation.
Nous appelons les autorités à s’impliquer dans la protection de ces enfants abandonnés qui sont des Congolais comme nous autres », a-t-elle ajouté.
La présidente de cette association a, pour sa part, affirmé la détermination de son organisation à apporter l’assistance aux enfants en rupture familiale et aux femmes victimes de la maltraitance.

– La nouvelle inspectrice provinciale principale de l’Education nationale et nouvelle citoyenneté de la province éducationnelle de Lomami 1, centre de la République démocratique du Congo, a recommandé à ses collaborateurs, l’unité et l’amour du travail bien fait, pour améliorer la qualité de l’enseignement, a constaté l’ACP jeudi.
« J’appelle mes collaborateurs à une collaboration harmonieuse afin de garantir la qualité de l’enseignement dans la province.
Je demande à tous de travailler dans l’unité et avec amour pour assurer la qualité de l’enseignement dans notre province », a déclaré Jeanne Françoise Masika, nouvelle Inspectrice provinciale principale (IPP) de l’Éducation nationale et nouvelle citoyenneté pour la circonscription de Lomami 1, lors de la cérémonie de remise et reprise avec son prédécesseur.
Cette passation de pouvoir intervient à la suite d’une mise en place opérée par la ministre d’État en charge de l’Éducation nationale et Nouvelle citoyenneté, Raïssa Malu, dans un arrêté signé récemment.
Pour sa part, le ministre provincial de l’Éducation a rappelé les défis auxquels fait face le secteur éducatif de son entité et a exhorté la nouvelle IPP à œuvrer pour l’amélioration des résultats scolaires.

Kisangani, 05 décembre 2024 (ACP).- L’ONG Compensation de la biodiversité et restauration des paysages forestier (COBI-RPF), en collaboration avec Tropenbos République démocratique du Congo, a organisé une journée de réflexion autour de l’arbre, à l’occasion de la journée national de l’arbre célébrée chaque le 5 décembre, a constaté l’ACP.
« L’arbre est indispensable pour les êtres humains et pour la biodiversité.
En milieu urbain, l’arbre est devenu le symbole même du service écosystémiques.
Et l’université a le devoir d’encadrer la population à choisir des espèces à planter en ville, la plantation à cohorte multiple.
Il y’a lieu de noter que plusieurs plages ont été présentées lors de cette journée de réflexion autour de l’arbre.

Kinshasa, 5 décembre 2024 (ACP/MAP)-Le Roi Mohammed VI a présidé, mercredi, à Rabat un Conseil des ministres, au cours duquel il a été abordé les préparatifs par le Maroc de la Coupe du Monde 2030.
Au début des travaux du Conseil, M. Fouzi Lekjaa, ministre délégué chargé du Budget, et président du Comité Coupe du Monde 2030, a présenté un exposé devant le Souverain sur l’état d’avancement des préparatifs du Royaume pour l’organisation de cet événement sportif international.
Le rapport d’évaluation du dossier de candidature, qui vient d’être publié par la FIFA le 29 novembre 2024, a attribué une note exceptionnelle dépassant largement les exigences requises et ce, en perspective de l’attribution de l’organisation de la Coupe du Monde 2030 à la candidature tripartite Maroc-Espagne-Portugal, lors du prochain congrès extraordinaire du Conseil de la FIFA.
-Le développement des infrastructures hôtelières et commerciales-Le renforcement et la modernisation de l’offre médicale ;-Le développement et la modernisation des réseaux de télécommunication ;-Le lancement d’un vaste programme de formation pour le renforcement des compétences des jeunes.
Pour rappel, le Maroc va co-organiser la Coupe du Monde 2030, aux côtés de l’Espagne et du Portugal.

– La nécessité de lutter contre les violences sexuelles et avortements clandestins en milieu de jeunes dans la ville de Mbujimayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental, au centre de la République démocratique du Congo, a été soulignée jeudi, en vue de stopper ces actes en recrudescence, a appris l’ACP d’un entretien.
« Nous avons beaucoup de problèmes que nous avons rencontrés dans les milieux des jeunes, premièrement c’est le problème lié à la santé sexuelle et reproductive.
« Dans le cadre de la santé, on s’est dit que nous pouvons nous réunir nous-mêmes les jeunes, demander pour l’offre de service de santé adaptée aux besoins des adolescents et jeunes avec toutes les animations et émissions aux radios et télévisions avec l’appui des médias, avec l’appui du gouvernement pour que nous puissions mettre fin aux violences sexuelles et avortements clandestins« , a-t-il souligné.
M. Mvangu, fonctionnaire de l’USAID dans le secteur de la santé sexuelle et reproductive, a fait constater la recrudescence des avortements clandestins dans la commune, grâce aux rapports fournies par certaines zones de santé, d’où la nécessité et l’urgence de barrer la route à ce fléau.
« Maintenant cela nous a poussé à lutter encore sur les violences basées sur le genre (VBG) et les violences sexuelles.

S’agissant de la nature de l’appui de la Monusco aux forces armées, il a précisé de partager avec les FARDC les renseignements.
« La Monusco a quelques drones qui nous permettent de recueillir des précieux renseignements que nous partageons avec les FARDC.
« Il y a le transport de troupes et de munitions des FARDC par la Monusco.
L’évacuation de blessés de guerre par la Monusco.
Les dons alimentaires que nous offrons, du carburant, nous construisons les bases militaires aux FARDC.

Uvira, 5 décembre 2024 (ACP)- Les allégations et accusations de la sorcellerie envers les enfants, filles et femmes, ont été au centre d’échanges de la campagne d’activisme des violences faites à la femme dans la ville d’Uvira dans l’Est de la République démocratique du Congo, a constaté l’ACP.
Dans notre contrée, il y a tendance de soupçonner, d’indexer les gens qui peuvent conduire au suicide de la personne », a-t-il ajouté.
La prolifération des enfants de la rue est tributaire aussi de cette indexation, raison pour laquelle nous avons interpellé les services de l’ordre dont la police et l’armée de veiller et de protéger tout le monde.
La représentante de la GIZ a demandé aux participants et toutes les parties prenantes dans cette formation, de conjuguer ensemble les efforts pour bien évoluer.
Notons que cette activité a été financée par la GIZ-Qualipro au soutien du service du genre, famille et enfant dans le cadre de la campagne de 16 jours d’activisme.