Author: 7sur7.cd

À l’aube de la fête de Noël, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba était en tournée d’itinérance avec la première ministre Judith Suminwa sur les différents sites où s’exécutent les travaux de réhabilitation et de construction des routes.
Initiée par le premier citoyen de la ville, l’itinérance avait pour but d’évaluer l’évolution des travaux.
L’inspection a débuté sur l’avenue Kulumba à Masina, déjà en pleine construction.
Par la suite, les deux autorités se sont rendues sur l’avenue Flambeau, en passant par Tombalbay, Wangata, Kabambare, Zigida puis sur l’avenue Kisangani à Bandal pour chuter à Pumbu à Gombe.
Dans la foulée, la première ministre s’est dite satisfaite du constat fait sur le terrain, en termes d’exécution des travaux.

Cela soulève une question urgente : comment transformer ce potentiel en une force durable pour nourrir le monde ?
Ces défis s’ajoutent à des rendements agricoles par hectare parmi les plus faibles au monde, aggravés par un accès limité aux intrants modernes tels que l’irrigation et les engrais.
En 2022, l’utilisation des engrais en Afrique s’élevait à seulement 22 kg par hectare, contre 177 kg en Asie​.
La distribution de semences améliorées, d’engrais, et la planification de la construction de routes agricoles stratégiques témoignent d’une vision claire pour désenclaver les zones rurales et réduire les pertes post-récoltes.
Cela exige des investissements audacieux, des politiques régionales cohérentes et la volonté de mobiliser les énormes ressources humaines et naturelles du continent.

Le ministre des Sports, Didier Budimbu, sera en meeting populaire ce samedi 28 décembre 2024 à Kasangulu dans la province du Kongo central, en République démocratique du Congo.
La réforme constitutionnelle sera au centre de ce meeting populaire.
Didier Budimbu, comme d’autres cadres de l’Union Sacrée, soutient la démarche du président Tshisekedi.
Il sera question pour l’autorité morale du parti politique Autre Vision du Congo (AVC), au cours dudit meeting, de sensibiliser la population à la réforme constitutionnelle.
Rappelons que Kasangulu constitue le fief électoral de celui qu’on appelle affectueusement « le génie blanc ».

La ville de Kabinda et le territoire de Lubao (Lomami) ont bénéficié de 600 lampadaires du projet Anser.
Ce qui a été matérialisé par ces lampadaires.
Parmi les 600 lampadaires, qui sortiront les deux entités dans l’obscurité, la ville de Kabinda en a reçu 400 et le territoire de Lubao a été doté de 200.
Il convient de signaler que les travaux d’emplacement desdits lampadaires exécutés par l’entreprise la Richarde sont déjà à pied d’œuvre depuis 48 heures.
Benjamin Kambadi, à Kabinda

Cette nouvelle a été annoncée par son épouse Shimba N. Mulunda, via un communiqué de presse publié le jeudi 26 décembre 2024.
Le 18 décembre 2024, de grand matin, les services secrets zambiens l’avaient surpris dans son appartement où il était seul.
Elle dénonce également le silence du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés à Lusaka, après l’extradition de son mari.
Après un court séjour à Kinshasa, il serait acheminé à Mbuji-Mayi jusqu’à ce jour», a-t-elle ajouté.
Signalons que Ngoyi Mulunda a été arrêté par la police zambienne avant d’être extradé en RDC.

Le député national Léon Mubikayi Mubalamate, élu de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) dans le territoire de Luebo (Kasaï) soutient l’idée de la révision constitutionnelle prônée par le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Il l’a fait savoir dans une adresse à la presse, ce vendredi 27 décembre 2024.
Cet ancien président du groupe parlementaire UDPS à l’Assemblée nationale appelle la population congolaise à se ranger derrière la vision du président Tshisekedi.
« C’est ce que nous attendions depuis tout ce temps.
Nous l’attendions depuis le premier mandat, on croyait que le chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, allait nous le demander depuis.

Au total, vingt-cinq (25) civils ont été tués par les ADF en l’espace de 3 jours dans le secteur de Bapere en territoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu.
La nouvelle a été rapportée à 7SUR7.CD, le jeudi 26 décembre 2024, par le numéro 1 dudit secteur au cours d’un entretien téléphonique.
Selon la même source, plusieurs personnes sont portées disparues à la suite du passage des assaillants dans les entités précitées.
Cependant, la société civile locale, qui confirme la perte des civils à Bapere, appelle l’armée à lancer les opérations de fouille sur place.
Il faut une fouille sérieuse dans la profondeur pour éviter prochainement des dégâts humains et matériels”, exhorte Kakule Kagheni Samuel, président de la société civile de Bapere, en territoire de Lubero.

(…) Donc, c’est une priorité pour nous, et nous allons respecter cette promesse du chef de l’État à la population », a-t-il déclaré, dans une exclusivité accordée à 7SUR7.CD et exploitée ce vendredi 27 décembre 2024.
Le projet comprend par ailleurs la construction de quatre ponts, des infrastructures essentielles pour assurer la fluidité de la circulation.
Cette inspection a permis de constater que les bases logistiques sont prêtes et les travaux sont officiellement en cours.
À ce propos, le ministre a dissipé toute inquiétude, précisant que le problème de fonds ne se pose pas pour ce projet.
Nous n’aurons pas de problème de financement dans ce projet », a-t-il rajouté, avant de préciser que la route sera complètement ouverte à la circulation d’ici à 6 mois.

La descente des ministres Mutamba et Munana sur la parcelle en compagnie des représentants de Best Building Company est perçue comme “une tentative d’influencer les procédures judiciaires”.
“Ces actions violent clairement l’article 149 de la Constitution, qui consacre l’indépendance de la justice”, ont dénoncé les avocats de Patient Musaka.
Appel au président de la RépubliqueFace à cette situation d’ingérence des ministres Constant Mutamba et Munana, les avocats de Patient Musaka Bahati appellent le président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, à rappeler à l’ordre les ministres concernés.
Ils ont aussi exhorté au respect strict des lois en vigueur et des décisions judiciaires rendues afin de garantir la justice et de préserver la crédibilité des institutions de la République.
Ce cas est désormais perçu comme un baromètre pour mesurer l’engagement du gouvernement envers l’État de droit et la justice sociale en République démocratique du Congo.