Sommet SADC – EAC : représenté à Dar-es-Salam par Judith Suminwa, le président Tshisekedi participe à ces assises par visioconférence

Le président Félix Tshisekedi n’a pas fait le déplacement de la ville de Dar-es-Salam, en Tanzanie, ce samedi, pour le sommet conjoint SADC – EAC sur la situation de l’Est de la République démocratique du Congo.
Le chef de l’État est représenté à ces assises par la première ministre, Judith Suminwa, qui est arrivée tôt ce matin dans cette ville africaine.
Toutefois, le président y prend part aussi par visioconférence, annonce sa porte-parole, Tina Salama.
Le sommet conjoint de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) va tabler sur la situation de l’Est de la RD Congo.
Ces assises interviennent après la prise de Goma , chef-lieu du Nord-Kivu, par le M23, soutenu par le Rwanda, une situation qui a accru les tensions entre Kigali et Kinshasa.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Emmerson Mnangagwa, président en exercice de la SADC et co-président de ce sommet, a appelé toutes les forces armées présentes dans l’est du pays à un « cessez-le-feu immédiat ».
Il a insisté sur la nécessité de trouver une issue pacifique à ces atrocités dans l’Est de la RDC pour garantir la paix sur tout le continent africain.
« La SADC va continuer à jouer pleinement sa partition pour le retour d’une paix durable en RDC.
La SADC et l’EAC poursuivent un objectif commun, et je nous défie tous à aborder l’ordre du jour de ce sommet avec un esprit d’ouverture, d’honnêteté, de flexibilité et d’engagement à trouver une paix durable pour notre mère Afrique », a-t-il indiqué, appelant le M23 à « cesser toute progression » et « les Forces armées de la RDC à cesser toute mesure de représailles ».
Ce sommet conjoint des huit pays membres de la Communauté des États d’Afrique de l’Est (EAC) et des 16 pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a été convoqué après la prise éclair de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, par le M23 et les troupes rwandaises.

Nord-Kivu : des « milliers » de militaires rwandais tués, certains enterrés secrètement dans des fosses communes à Goma (The Guardian)

Le journal londonien cite des sources affirmant que des militaires rwandais déployés secrètement en RDC pour soutenir les rebelles du M23 ont perdu la vie par milliers.
« Deux hauts responsables du renseignement connaissant les RDF affirment que les véritables pertes subies par le Rwanda s’élèvent probablement à des « milliers », mais il est difficile d’établir un chiffre définitif », rapporte The Guardian.
De nombreux éléments RDF ont été enterrés secrètement dans des fosses communes à Goma.
Certains ont été enterrés dans des fosses communes », poursuit le journal.
D’après plusieurs sources, y compris onusiennes, plus de 7 000 militaires de l’armée rwandaise ont été impliqués dans les affrontements à Minova, Sake et Goma.

Sommet SADC-EAC : « Ma proposition, c’est que S. E. Tshisekedi s’adresse directement à ceux qui sont en conflit avec lui » (Museveni)

« Ma proposition précédente pour ce sommet était que S.E.
Tshisekedi s’adresse directement à ceux qui sont en conflit avec lui, car cela nous concerne tous.
Il n’y a pas d’autre forum mieux adapté que ce sommet pour aborder cette question.
J’espère donc que la discussion sera fructueuse »,a-t-il dit.
Cependant, pour la RDC, aucun dialogue n’est envisageable tant que le M23, soutenu par le Rwanda, gardera ses positions sur le sol congolais.

Sommet SADC-EAC : « Ma proposition, c’est que S. E. Tshisekedi s’adresse directement à ceux qui sont en conflit avec lui » (Museveni)

« Ma proposition précédente pour ce sommet était que S.E.
Tshisekedi s’adresse directement à ceux qui sont en conflit avec lui, car cela nous concerne tous.
Il n’y a pas d’autre forum mieux adapté que ce sommet pour aborder cette question.
J’espère donc que la discussion sera fructueuse »,a-t-il dit.
Cependant, pour la RDC, aucun dialogue n’est envisageable tant que le M23, soutenu par le Rwanda, gardera ses positions sur le sol congolais.

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Emmerson Mnangagwa, président en exercice de la SADC et co-président de ce sommet, a appelé toutes les forces armées présentes dans l’est du pays à un « cessez-le-feu immédiat ».
Il a insisté sur la nécessité de trouver une issue pacifique à ces atrocités dans l’Est de la RDC pour garantir la paix sur tout le continent africain.
« La SADC va continuer à jouer pleinement sa partition pour le retour d’une paix durable en RDC.
La SADC et l’EAC poursuivent un objectif commun, et je nous défie tous à aborder l’ordre du jour de ce sommet avec un esprit d’ouverture, d’honnêteté, de flexibilité et d’engagement à trouver une paix durable pour notre mère Afrique », a-t-il indiqué, appelant le M23 à « cesser toute progression » et « les Forces armées de la RDC à cesser toute mesure de représailles ».
Ce sommet conjoint des huit pays membres de la Communauté des États d’Afrique de l’Est (EAC) et des 16 pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a été convoqué après la prise éclair de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, par le M23 et les troupes rwandaises.

Sommet SADC – EAC : représenté à Dar-es-Salam par Judith Suminwa, le président Tshisekedi participe à ces assises par visioconférence

Le président Félix Tshisekedi n’a pas fait le déplacement de la ville de Dar-es-Salam, en Tanzanie, ce samedi, pour le sommet conjoint SADC – EAC sur la situation de l’Est de la République démocratique du Congo.
Le chef de l’État est représenté à ces assises par la première ministre, Judith Suminwa, qui est arrivée tôt ce matin dans cette ville africaine.
Toutefois, le président y prend part aussi par visioconférence, annonce sa porte-parole, Tina Salama.
Le sommet conjoint de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) va tabler sur la situation de l’Est de la RD Congo.
Ces assises interviennent après la prise de Goma , chef-lieu du Nord-Kivu, par le M23, soutenu par le Rwanda, une situation qui a accru les tensions entre Kigali et Kinshasa.

Guerre d’agression : « Le retour au processus de Luanda paraît plus clair que le dialogue initié par la CENCO car il s’agit d’une crise sécuritaire » (SG AVC)

Et pour le cas d’espèce, la crise est sécuritaire, précisément militaire.
« En effet, l’initiative des évêques vise manifestement le retour au schéma de la Saint sylvestre c’est-à-dire l’institutionnalisation du dialogue au détriment des institutions établies par la constitution.
Pour le secrétaire général de l’AVC, la participation au dialogue de chaque camp doit se rapporter à l’objet de la crise à la base du problème.
« Il doit être établi le lien entre le crise sécuritaire à l’Est et l’opposition politique.
Ces deux églises ont, par la suite, dépêché une délégation chez Martin Fayulu, un des opposants au régime Tshisekedi.

RDC – Atrocités dans l’Est : Les USA envisagent des sanctions contre des responsables rwandais

Dans une note diplomatique partagée par Reuters, ce vendredi 7 février 2025, Washington envisage de sanctionner des responsables rwandais comme congolais, instigateurs des atrocités dans la partie Est de la RDC.
Ce, à l’approche du sommet conjoint de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) et de la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC) qui s’ouvre ce vendredi pour s’achever samedi 8 février, à Dar es Salaam, en Tanzanie, consacré à la résolution pacifique du conflit dans l’est de la République démocratique du Congo.
À en croire une dépêche de la Présidence kényane parvenue à 7SUR7.CD lundi dernier, le président congolais Félix Tshisekedi et son homologue rwandais Paul Kagame avaient confirmé leur participation à ces pourparlers qui seront précédés d’une réunion ministérielle bien avant la tenue de la réunion des chefs d’État samedi.

Sud-Kivu : “La cité d’Ihusi n’est pas sous occupation du M23 et aucun centimètre de la RDC ne sera laissé au profit de l’armée rwandaise” (Mise au point des FARDC)

Le chef-lieu du territoire de Kalehe, dans le Sud-Kivu, est toujours sous contrôle du gouvernement congolais, contrairement aux folles rumeurs colportées dans les médias sur sa chute aux mains du M23.
“Les FARDC sont prêtes et continuent à assurer la sécurité de toute la population ainsi que la défense de l’intégrité du territoire national.
Aucun centimètre de la RDC se sera laissé au profit de l’armée rwandaise et ses supplétifs du M23”, rassurent-elles.
Les chefs d’État sous-régionaux tableront essentiellement sur la question sécuritaire dans le Nord-Kivu et Sud-Kivu.
Selon la présidence congolaise, Félix Tshisekedi devrait exiger le retrait des troupes rwandaises du sol congolais et le décret d’un cessez-le-feu strict entre belligérants.

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