Author: 7sur7.cd

L’institut américain Global FirePower (GFP) a récemment publié son classement 2025 des pays en termes de puissance militaire, incluant 145 nations à travers le monde, dont 38 en Afrique.
Cette étude repose sur divers critères, tels que le nombre de militaires actifs, y compris les réservistes et les paramilitaires, le budget de la défense, la flexibilité logistique, ainsi que le nombre d’avions de chasse et de navires.
Il est à noter qu’en 2024 comme en 2025, l’Égypte reste la 1ʳᵉ puissance militaire du continent et occupe le 19ᵉ rang mondial.
Le Nigeria se positionne au 3ᵉ rang continental, suivi par l’Afrique du Sud en 4ᵉ position, l’Éthiopie en 5ᵉ, l’Angola en 6ᵉ, le Maroc en 7ᵉ, le Soudan en 9ᵉ et la Libye clôturant le tableau des dix premières armées africaines pour l’année.
À l’échelle mondiale, les États-Unis demeurent la 1ʳᵉ puissance militaire avec un budget de défense de 895 milliards de dollars.

Selon ce dernier, le ministre lui a fait part de l’organisation d’un culte de prière programmé le 9 février prochain en faveur des FARDC et de la mise en place d’une collecte pour les militaires qui combattent les terroristes du M23.
Donatien Nshole a précisé que le ministre Constant Mutamba souhaite l’implication de l’Église catholique lors de cet événement religieux en faveur des militaires dans l’est du pays.
Je lui ai fait savoir que c’est notre mission, en tant qu’Église, de prier pour la situation à l’est.
Il a précisé que ce culte et la quête devront se dérouler dans le respect de la doctrine et de la foi catholique, conformément au droit canon que l’État congolais a accepté de respecter à travers l’accord-cadre qui le lie à l’Église catholique.
Rappelons que le 30 juin 2023, sur initiative du président de la République, une grande prière pour la nation a été organisée au stade des Martyrs pour prier, entre autres, pour le retour de la paix en RDC.

Selon la société civile du territoire de kalehe qui confirme la nouvelle à 7SUR7.CD, plusieurs personnes ont fui les combats vers d’autres agglomérations considérées comme sécurisées par les forces gouvernementales.
Un habitant joint par 7SUR7.CD affirme que les rebelles ont procédé à des pillages visant des maisons, hôtels et commerces de certains officiels et grands commerçants.
Pour l’instant, ce sont des jeunes gens qui sont sortis par curiosité pour écouter ce qu’ils ont à dire, mais tout le monde a peur, Minova s’est arrêté un moment”, confie cet habitant.
Les Forces Armées de la RDC sont en pleine opération cartepillar 2 qui vise à répliquer aux violations du cessez-le-feu par les terroristes du M23-RDF dans l’Est de la République Démocratique du Congo.
Pour l’instant, les Forces armées de la RDC n’ont pas encore communiqué sur cette nouvelle évolution de la situation.

La Ministre de l’Enseignement Supérieur et universitaire, professeur Somo Ayane Marie-Thérèse, est en mission officielle à Kindu, chef-lieu de la province du Maniema, dans un partenariat stratégique entre l’institut supérieur des techniques médicales ISTM-Kindu et l’Université de la Sorbone.
Ce partenariat, qui renforce la coopération scientifique et pédagogique entre les deux institutions, est perçu comme une opportunité majeure pour les étudiants et enseignants de la province du Maniema.
La ministre poursuivra son séjour à Kindu avec une série de rencontres et d’activités visant à dynamiser le secteur de l’enseignement supérieur dans cette région.
Cette visite symbolise l’engagement du gouvernement à promouvoir l’éducation comme un levier essentiel pour le développement de la province et du pays.
Morisho Tambwe, à Kindu

L’initiative de la réforme constitutionnelle projetée par le président de la République, Félix Tshisekedi, connaît désormais l’adhésion du professeur Emmanuel-Janvier Luzolo Bambi Lessa.
Il note que la bonne gouvernance judiciaire s’exprime dans deux axes fondamentaux, à savoir : « la lutte contre l’impunité et la lutte contre la corruption.
Dans le secteur de la corruption, a-t-il poursuivi, en dépit de la mise en place des agences pénales de lutte contre la corruption, celles-ci rencontrent des difficultés sur le terrain à cause notamment de la qualité des personnes mises en cause.
Comme l’a indiqué le professeur Luzolo Bambi, la poursuite de ces personnalités est subordonnée à la levée des immunités ou à l’autorisation parlementaire ; la justice s’arrête donc à la porte du Parlement.
« Cette situation consacre une justice à deux vitesses, c’est-à-dire une justice pour les riches, une justice pour les pauvres ; une justice pour les forts, une justice pour les faibles », a-t-il souligné.