Affaires fortages et lampadaires : Début du procès ce lundi [Tribune]

C’est ce lundi 04 novembre que s’ouvre le procès sur l’affaire dite des forages (RP 15/CR : Aff.
Quant à Guy Mikulu et Nicolas Kazadi, qui ont été confrontés aux deux prévenus précités, l’enquête va conforter leurs défenses et les innocenter.
Pourquoi la justice, en ouvrant l’enquête, n’a pas fait mention d’une quelconque surfacturation des forages ou des lampadaires ?
Des contre-vérités et des injures portant atteinte à l’honneur ont été diffusées dans l’opinion et relayées dans les réseaux sociaux en toute impunité.
Solektra acceptera finalement de travailler à perte et payer la douane pour installer ces lampadaires qui à ce jour éclairent les rues de Kinshasa.

RDC : aucun institut supérieur privé habilité à délivrer le diplôme de docteur (Tribune)

Cest dans ce contexte que le titre de docteur a été tout récemment attribué à un quidam au sein d’un institut supérieur privé à Kinshasa.
À la lumière des textes légaux et règlementaires en vigueur, il apparaît clairement qu’aucun institut supérieur privé n’est habilité à dispenser une formation doctorale ni à superviser la soutenance d’une thèse de doctorat.
Il convient de noter qu’à titre exceptionnel, le ministre de lEnseignement supérieur et universitaire avait consenti à ce que certains instituts supérieurs publics soient autorisés à organiser le troisième cycle.
Dès lors, il est légitime de s’interroger : qu’est-ce qui justifie l’octroi d’un titre de docteur par un institut supérieur privé à Kinshasa ?
Le Gouvernement a intérêt dentreprendre le nettoyage des écuries d’Augias dans le secteur de l’enseignement supérieur et universitaire.

RDC : alors que 1000 survivantes seront indemnisées en avril, Thésee-Aurore Makaba insiste sur la nécessité de la justice transitionnelle

Plus de 1000 bénéficiaires ont été identifiés et vont recevoir à partir du mois d’avril des mesures des réparations individuelles.
7SUR7.CD : Quels rôles concrètement, la société civile et les médias doivent jouer pour la mise en œuvre du Fonds national des réparations ?
TAM : Le président de la République avait annoncé que la RDC allait s’engager dans le processus de justice transitionnelle.
Qu’on arrête de mettre les efforts dans tout ce qu’on est en train de faire, qu’on se focalise sur le processus de justice transitionnelle.
Par qu’à la fin, les auteurs auront été jugés, les victimes auront reçu réparations, le secteur de la justice aura été réformée, les secteurs de la sécurité également.

Concurrence déloyale entre ports publics et ports privés : Brice Umba plaide pour l’opérationalisation rapide de la Haute autorité portuaire (interview)

Brice Umba est aussi préoccupé par l’avenir des ports publics qui subissent une forte concurrence des ports privés.
B. Umba: Oui, ils sont un accélérateur de développement pour les provinces enclavées et donc pour la RDC car composée des provinces.
Les ports secs jouent les rôles que joueraient les ports connectés aux cours d’eau.
B. Umba: Le pont route-rail est à la fois une menace et une opportunité pour la RDC en général et la province du Kongo Central en particulier.
Cette autorité va faire asseoir l’activité, l’assurance de la sécurité et la sûreté des installations portuaires, évitant aussi toute concurrence déloyale.

Sankuru : Mukumadi accuse le FCC de vouloir récupérer la gestion de la province (Interview)

Au sankuru, les relations ne sont toujours pas au beau fixe entre l’assemblée et le gouvernement provincial.
Le gouverneur vole, le gouverneur pille, qu’est-ce qu’il n’a pas encore fait dans cette province?
Quand on vous dit que le gouverneur a violé, posez leur la question il a volé en faisant quoi ?
La solution est simple, le président Félix Antoine Tshisekedi n’a pas des députés au Sankuru, mais à un gouverneur UDPS au Sankuru, ça pose problème.
Donc le FCC compte coûte que coûte à prouver à son autorité morale qu’ils ont gardé la province de Sankuru.

Le plus grand site d’information en république démocratique du congo

Mais, dit-il, plusieurs défis demeurent pour donner à la RDC un budget à la hauteur de ses attentes.
Deuxièmement, c’est la bonne gouvernance prônée par notre président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Mais ce que moi je sais est que ça sera au-delà de ce que nous avons pu réalisé.
C’est pour vous dire que c’est pas seulement l’embellit mais notre technicité et c’est Dieu aussi qui nous assiste.
Avec cette réforme-là, je suis très sûr qu’il y aura un plus dans ce que nous sommes en train de réaliser aujourd’hui.

RDC – Croissance économique : Le Prof Kutangila insiste sur la vulgarisation du numérique pour une gestion optimisée des ressources du pays

Dans le but de booster la croissance économique de la République démocratique du Congo en s’appuyant sur le numérique, le professeur David Kutangila Mayoya se dit prêt à mettre à la disposition des autorités du pays son expertise dans ce domaine.
Le professeur David Kutangila avait salué les avancées réalisées dans ce domaine, avec notamment la dotation des services fiscaux de logiciel pour lutter contre le secteur informel et la fraude fiscale (LOGIRAD) ayant permis d’améliorer leur rendement.
Le numérique, à l’en croire, permet la connexion entre différents services tant à l’intérieur du pays qu’avec le reste du monde en facilitant notamment, la communication et la circulation des informations, le développement des marchés, le paiement et le commerce en ligne ainsi que l’enseignement et les soins de santé à distance.
Il est aussi acteur politique, coordonnateur adjoint chargé du numérique et des PTNTIC des forces politiques et sociales alliées à l’UDPS/Tshisekedi (FPAU) et président national du parti ULD.
Pour plusieurs de ses proches, D. Kutangila est une tête « bien faite » dont le pays a besoin pour booster la croissance économique grâce au numérique.

La RDC et Burundi lancent le régime commercial simplifié pour les petits commerçants transfrontaliers

Des scènes de liesse sont perceptibles dans l’Est du pays après le lancement du Régime Commercial Simplifié (RECOS) en faveur des petits commerçants transfrontaliers de la République Démocratique du Congo (RDC) et de la République du Burundi.
« Nous remercions les gouvernements de la RDC et du Burundi pour la décision prise.
Nous remercions également le COMESA pour la faveur nous accordée en tant que petits commerçants », a déclaré Vulimiya Kwimbe, représentante des petits commerçants.
Lors du lancement, le ministre du Commerce Extérieur de la RDC Julien Paluku a indiqué que ce régime va renforcer la coopération bilatérale entre la RDC et le Burundi, laquelle se traduit par les échanges commerciaux, la bonne cohabitation, la paix et la sécurité, voulues par le Président congolais, Félix Tshisekedi et son homologue burundais Evariste Ndayishimiye.
Lorsqu’on lance ce Régime Commercial Simplifié, des femmes et jeunes vont être nombreux à traverser la frontière et vont désormais vivre de ce travail”, a-t-il déclaré.

Conclusion de deux programmes avec le FMI : L’IGF salue « un exploit historique » qui permettra à la RDC de bénéficier de plus de 2,8 milliards $

L’Inspection Générale des Finances salue cet exploit qu’elle qualifie d’historique, qui permettra à la République Démocratique du Congo de bénéficier de 2,850 milliards de USD du FMI.
« L’IGF félicite Son Excellence Monsieur le Président de la République et le Gouvernement de la République pour la conclusion du programme triennal soutenu par la Facilité Élargie des Crédits (FEC) ainsi que du programme climatique avec le FMI.
Elle salue cet exploit historique qui permettra à la RDC de bénéficier de 2,850 milliards de USD du FMI », peut-on lire sur le compte X de cette institution.
Ce résultat est, selon l’IGF, la conséquence d’une meilleure coordination des politiques budgétaires et monétaires depuis le mois de juin 2024, à travers le ministère des Finances, du Budget et la Banque Centrale du Congo.
Le programme soutenu par la FEC (Facilité Élargie des Crédits) vise à favoriser une croissance forte et inclusive, à accélérer la diversification économique, à stimuler la création d’emplois, à améliorer le niveau de vie, à renforcer la gouvernance et la transparence, et à réduire la pauvreté, grâce à des investissements accrus de qualité dans les infrastructures et les secteurs sociaux prioritaires.

Goma : Les acteurs économiques réfléchissent sur la promotion des activités dans un contexte de guerre

La Fédération des Entreprises du Congo (FEC) a lancé le mercredi 20 novembre 2024 à Goma, une table ronde qui réunit des opérateurs économiques, acteurs de la société civile et d’autres couches de la population des provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Ituri et Maniema, pour réfléchir sur les stratégies à mettre en place pour faire la promotion des activités économiques dans un contexte d’intégration économique, de guerre et d’insécurité.
Selon le président de la FEC Nord-Kivu Singoma Mwanza Hamissi, durant deux jours, les acteurs économiques du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Ituri et Maniema vont échanger sur les enjeux majeurs auxquels ils sont confrontés tels que le pillage des marchandises, les incendies, la fermeture des entreprises et la perte d’emplois qui sont de conséquences directes de l’insécurité qui met à mal le tissu économique local.
Singoma Mwanza a dénoncé ces actes de barbarie qui sapent les efforts des entrepreneurs avant de déplorer le fait que cette situation a un impact direct sur le pouvoir d’achat de la population, déjà fragilisé par les conflits aux côtés d’autres défis liés à l’intégration économique régionale qui est une opportunité pour le développement du pays, mais peut aussi constituer une menace pour les entreprises locales, confrontées à la concurrence des produits étrangers.
Le conseiller principal du gouverneur militaire en charge du commerce, Me David Kamuha qui a représenté l’autorité provinciale à ces assises, a appelé à la mise en œuvre effective des recommandations qui seront assorties de cette table ronde qui témoigne la résilience des opérateurs économiques de l’Est de la RDC.
David Lupemba, à Goma

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