Loi de finances 2025 : une commission mixte Assemblée nationale – Sénat mise en place pour aplanir les divergences

Les avocats de Donald Trump invoquaient la présomption d’immunité pénale reconnue le 1er juillet au président des États-Unis par la Cour suprême pour demander l’annulation du jugement rendu contre lui le 30 mai.
Mais le juge Juan Merchan conclut dans sa décision que les actes visés n’avaient aucun caractère officiel et n’étaient donc pas couverts par l’immunité présidentielle.
Le juge Merchan a sollicité au début du mois les arguments des deux parties à ce sujet, mais n’a pas encore statué sur ce recours.
L’accusation s’oppose à une annulation pure et simple, mais se dit disposée à des « arrangements » pour que la procédure pénale ne « pèse » pas sur la seconde présidence Trump.
Le procureur de Manhattan, Alvin Bragg a ainsi proposé au juge de ne pas condamner Donald Trump à une « peine d’incarcération » ou que « la procédure soit suspendue durant le mandat » présidentiel de quatre ans, soit jusqu’en janvier 2029.

Plus de cinquante (50) personnes ont été tuées par des rebelles de l’Allied democratic forces (ADF) à Bapere et Baswagha, deux entités situées dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu).
Selon Macaire Sivikunulwa et Nzanzu Bonane, respectivement chef du secteur des Bapere et “Mwami” du groupement Manzia, l’ennemi s’est livré aux incendies des maisons des habitants en plus de ces personnes tuées.
“Les ADF ont exécuté plus de 50 civils dans le secteur de Bapere et en chefferie des Baswagha, notamment à Manzia.
“Actuellement, la chefferie des Baswagha et le secteur Bapere sont ensanglantés par les ADF.
Ils ciblent les civils à la suite de leur passage dans les villages non contrôlés par l’armée.

Kinshasa, 08 décembre 2024 (ACP).- Une délégation du Réseau des femmes de la territoriale de la République démocratique du Congo a soumis ses préoccupations à la rapporteure du Sénat, Néfertiti Ngudianza Bayokisa Kisula, samedi, au cours d’une audience au Palais du peuple siège du Parlement à Kinshasa.
Les femmes de la territoriale sont butées à beaucoup de problèmes entre autres le problème des infrastructures, le problème de moyens de transport, le problème de nos primes.
Nous prenons la parole au nom de toutes les femmes de la territoriale, les mamans de l’Est, de l’Ouest, de Kinshasa de tous les 145 territoires », a déclaré Mme Denise Vila Malanda, bourgmestre adjoint de la commune de Lingwala, au sortir de l’audience.
Et de poursuivre : « nous sommes très contentes d’avoir entendu ce que Mme la Rapporteure nous a dit.
Nous sommes très ravies de la manière qu’elle nous a répondu et nous comptons sur elle étant aussi femme comme nous ».