Le langage colonial

Le tribunal militaire de garnison de Kinshasa-Gombe a débuté mardi 10 décembre l’instruction du dossier de plusieurs gangs de délinquants (Kuluna), mais aussi des militaires et policiers suspectés de semer la terreur dans les quartiers de la ville de Kinshasa.
Au cours de l’audience foraine de mardi, le tribunal a procédé à l’identification de tous les prévenus.
Cette audience intervient après celles débutées il y a quelques jours au tribunal militaire de garnison de Kinshasa-Ngaliema et celui de N’djili.
Ces procès sont organisés dans le cadre des opérations baptisées « Zéro Kuluna » et « Ndobo » lancées par les ministres de la Justice et de l’Intérieur dans le but de lutter contre la criminalité urbaine.
Plusieurs délinquants déjà condamnés à mort dans le cadre de cette opération ont déjà été transférés dans différentes prisons pour répondre de leurs actes criminels.

Kinshasa, 4 décembre 2024 (ACP).- Une campagne pour soutenir les efforts d’élimination du VIH de la mère à l’enfant en République démocratique du Congo, a été lancée à Kinshasa par une Fondation, spécialisée dans la prise en charge du VIH pédiatrique et ses partenaires, a-t-on appris mercredi d’un communiqué.
« Cette campagne nationale vise à soutenir les efforts de la prévention de la transmission de la mère à l’enfant (PTME) et de l’’élimination de la transmission mère-enfant du VIH + (E-TME) au niveau de la RDC », a révélé le Dr Aimé Loando, directeur-pays de la Fondation Elisabeth Glaser (EGPAF).
Situation dramatique et inquiétante, qui pousse aujourd’hui EGPAF de réagir pour que le VIH pédiatrique soit éliminé en RDC.
Des messages clés permettant l’élimination du VIH pédiatrique d’ici 2030Par ailleurs, plusieurs messages d’interpellation ont été élaborés et adressés aux différents acteurs en vue de s’engager véritablement pour le changement et permettre à la RDC d’être au rendez-vous de l’élimination du VIH pédiatrique d’ici 2030.
« Aux parents, si votre enfant est né d’une mère VIH-positif, vous devez respecter les prescriptions médicales et les autres recommandations des professionnels de santé.

Cette décision a été rendue publique à l’issue d’une assemblée générale tenue à Lubumbashi, ce jeudi 12 décembre 2024.
Cette décision, bien qu’extrême, traduit l’exaspération des enseignants, confrontés à des conditions de vie et de travail de plus en plus précaires.
Il s’agit notamment de la revalorisation des salaires ; la régularisation des paiements des arriérés ; l’amélioration des conditions de travail ; et l’octroi des primes spécifiques liées à la recherche scientifique et à la performance académique.
Ce mouvement s’inscrit dans un contexte social tendu, marqué par des revendications similaires dans d’autres secteurs.
Les enseignants de l’ISP espèrent que ce cri d’alarme poussera les autorités à respecter leurs engagements et à prioriser l’éducation et la recherche scientifique, piliers du développement national.