Travaux de construction du Pavillon de Gynéco-Obstétrique de l’Hôpital Général de Référence de la zone de santé de Nizi, en Province de l’Ituri

Kinshasa, 23 décembre 2024 (ACP).- La suppression des nids de poules pour réduire les embouteillages à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, a été recommandée lundi, au gouvernement provincial lors d’un entretien.
« Pour réduire les embouteillages dans la ville de Kinshasa, le gouvernement provincial peut procéder en urgence à la suppression des nids de poules et au renforcement de la campagne sur le civisme routier », a indiqué Bienvenue Kakule, président provincial de l’Association des chauffeurs du Congo (Acco).
Il a fait savoir que cette problématique des embouteillages impacte négativement sur le transport en commun et sur le moral de la population durant cette période des festivités de fin d’année à Kinshasa.
D’après lui, les travaux de réhabilitation des routes auxiliaires laissent à désirer vu qu’ils évoluent à pas des tortues dans la ville de Kinshasa.
L’une des principales raisons de la congestion de la circulation dans la ville de Kinshasa, est que le réseau routier existant est, dans la plupart de cas vétuste, en mauvais état et inachevé.

Kinshasa, 12 janvier 2025 (ACP).- Deux journées de recherche sur ‘‘l’art performance’’, une discipline d’arts plastiques d’interaction directe avec le public, sont prévues du 24 au 25 janvier, à l’Institut français de Kinshasa, en République démocratique du Congo, selon l’agenda de ce centre culturel, consulté samedi, par l’ACP.
«Sous le thème ‘‘Litaka’’ (têtard), l’édition 2 du festival ‘‘Kin-etelemi-etelemi’’ explore les origines et les enjeux de l’art performance en République démocratique du Congo», a-t-on lu.
A en croire la source, cet événement a prévu de proposer des conférences et des échanges riches avec des penseurs et praticiens, «pour discuter de l’histoire, des apports et des critiques de cette pratique artistique dans la société congolaise», a-t-on indiqué.
Kin-etelemi-etelemi est organisé par le collectif « Farata » et accompagné par ‘‘Krithika Artprojects’’.
En dehors de ce concept, le collectif « Farata » est aussi à la base du festival ‘‘Kinshasa up’’, un autre aspect des recherches à travers l’art, afin de toucher un public non initié par des codes tels que des costumes fabriqués à l’aide des matériaux de récupérations glanés soit dans les poubelles soit achetés dans les magasins.