Législatives à Masimanimba : renforcement des effectifs de forces de défense et sécurité

D’où une adaptation juridique est nécessaire pour garantir une pleine protection des droits des PVH, conformément aux standards internationaux », a déclaré Sarah Pelieng, personne mal entendant (sourd) du ministère des PVH.
« Je salue l’évolution sociale en RDC, en ce qui concerne la protection et la promotion des PVH, depuis l’avènement du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à la magistrature suprême.
« Nous considérons que l’actuelle Constitution de la RDC ne tient pas compte des normes relatives aux droits des personnes handicapées.
Ces dernières doivent soutenir le changement de l’actuelle Constitution pour harmoniser avec la Convention relative aux droits des PVH.
Il a félicité la ministre en charge des PVH-APV pour les efforts fournis depuis son avènement à la tête de ce ministère.

Kikwit, 3 janvier 2025 (ACP).- La population de la commune de Lukemi à Kikwit au Kwilu, au sud-ouest de la République démocratique du Congo, a salué l’arrestation du chef d’un gang de banditisme urbain communément appelé « Kuluna » pendant les festivités du Nouvel an, a appris vendredi l’ACP de source administrative.
« La population de la commune de Lukemi plus précisément celle du quartier Ngulu Zamba, a salué la bravoure de la police nationale congolaise qui vient de mettre la main sur un chef de bande dénommé Ya mboka, alias le roi de Tshiangu », a souligné Aristote Ngolo, bourgmestre de la commune de Lukemi.
Et d’ajouter que ce présumé kuluna entretenait une bande de kuluna dénommée Tshiangu qui affrontait souvent la police de sa municipalité.
Il a profité de l’opportunité pour appeler la population de sa commune à dénoncer auprès des services de sécurité les kuluna pour la paix dans sa juridiction.

Goma, 1er janvier 2025 (ACP).- La précarité dans de nombreux ménages des militaires de Goma, chef-lieu du Nord-Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo(RDC), pendant les fêtes de fin d’année, a été décrié mercredi, lors d’une ronde effectuée dans cette ville.
«La fête de nouvel an, pour moi en tant qu’épouse d’un militaire, est marquée par le stress et l’inquiétude.
Je décrie les difficultés et les conditions précaires auxquelles certaines familles de militaires sont confrontées, en raison de salaires insuffisants de leurs maris », a déclaré Mme Aimerance Mujinga Nyota, épouse d’un militaire.
Mme Nyota a évoqué l’impossibilité de répondre à tous les besoins de ses enfants notamment les nourrir et les habiller, avant de déplorer le poids accablant de cette réalité vécu quotidiennement.
Ce témoignage, à ce premier jour de la nouvelle année, illustre les défis que rencontrent, non seulement les familles des militaires, mais aussi les fonctionnaires de l’Etat, dans un contexte économique difficile.