Cette transmission mémorielle doit également se faire en célébrant la journée nationale du Genocost dans les écoles pour renforcer la mémoire collective, mais aussi en traduisant les supports éducatifs dans les langues nationales, a ajouté le Pr Makaya.
Il s’agit donc, a-t-il soutenu, d’ « instaurer une politique mémorielle du Genocost ».
Un autre volet important est lié à la gestion des sites et des musées.
Il s’agit du narratif du Génocide commis sur le territoire congolais, de la stratégie nationale d’appropriation du Genocost et du plaidoyer pour la reconnaissance internationale du génocide congolais.
Rappelons que cette table ronde co-organisée par la CIA-VAR et le Fonarev visait à jeter les bases d’une appropriation collective du Genocost par le peuple congolais lui-même tout en ambitionnant la reconnaissance internationale du Genocost.
Author(s): acp.cd
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