Pluies et inondations à Kinshasa : la Mettelsat avait déjà prévenu sur des phénomènes météorologiques intenses qui affecteront la capitale et quelques provinces

L’intelligence artificielle, tout le monde en parle ces derniers temps.
Pour certains, cette avancée technologique est utilisée pour développer et faire progresser de nombreux domaines et industries, y compris la finance, la santé, l’éducation, le transport, la sécurité et plus encore.
D’autres redoutent la perte de leurs emplois du fait que les ordinateurs sont maintenant capables de reproduire des comportements liés aux humains ou d’exécuter des tâches normalement associées à l’intelligence humaine.
Quelles sont les atouts, les opportunités et les défis que représente cette technologie ?
Jody Daniel Nkashama en parle avec Zéphirin Tshiaba, ingénieur informaticien et DG d’ACIT Learning & solutions/sites/default/files/2025-02/270225-p-f-okapiservicebloc1intelligenceartif-web.mp3

2024-12-302024-12-302024-12-302024-12-30Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/30-31/Yoon_Suk_Yeol_5241.pngLes services d’enquête sud-coréens ont déposé, lundi, une demande de mandat d’arrêt contre le président déchu auprès d’un tribunal de Séoul.
L’étau se resserre sur le président déchu sud-coréen.
Destitué par le Parlement le 14 décembre, Yoon Suk-yeol est actuellement suspendu en attendant que la Cour constitutionnelle valide ou non la décision des députés, et a interdiction de quitter le pays.
Le rapport d’inculpation de l’ancien ministre de la Défense, Kim Yong-hyun, considéré comme la personne ayant poussé le président à imposer la loi martiale, affirme que Yoon Suk-yeol avait autorisé l’armée à ouvrir le feu pour entrer au Parlement.
Le document ajoute que Yoon Suk-yeol aurait discuté de la loi martiale dès mars avec de hauts responsables militaires.

L’Union européenne et ses États membres s’engagent à accompagner la RDC et ses forces armées dans le renforcement de leurs capacités à sécuriser leur territoire et à protéger leur population.
Dans ce contexte, elle a adopté, après requête des autorités congolaises, une mesure visant à accorder une assistance d’un montant de 20 millions d’euros à la 31ᵉ brigade de réaction rapide des FARDC, dans le cadre de la Facilité européenne pour la paix.
Ce soutien s’inscrit, d’après le même communiqué, dans une logique d’engagement stratégique plus large de l’Union européenne en RDC.
Le gouvernement congolais sera représenté à cette occasion par le ministre de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya.
Une décision qui a été contestée par la Belgique, dénonçant ainsi le soutien du Rwanda aux rebelles du M23.