Inondation à Kinshasa : près de 600 maisons englouties dans les quartiers Abattoir et Petro Congo, dans la commune de Masina

Le président congolais Félix Tshisekedi a été reçu mercredi à Luanda par son homologue angolais João Lourenço, moins de deux semaines après l’annonce par l’Angola de son retrait du rôle de médiateur dans la crise opposant la République démocratique du Congo (RDC) au Rwanda.
Luanda avait exprimé publiquement sa surprise après cette entrevue, qui s’est tenue hors du cadre du processus angolais.
Kigali conditionnait alors sa participation à un dialogue direct entre Kinshasa et le groupe rebelle AFC/M23, ce que la RDC refusait.
Lundi, les chefs d’État de la SADC et de l’EAC ont décidé de fusionner les processus de Luanda et de Nairobi.
Parallèlement, le Qatar poursuit un rôle discret dans les efforts de médiation, en maintenant un canal de discussion ouvert entre Kigali et Kinshasa.

Le gouverneur de la province de Lomami a procédé, mardi 8 avril, au lancement des travaux de réhabilitation de la voirie urbaine de Kabinda.
La cérémonie s’est tenue au croisement de la RN2 et de l’avenue Kabambare, dans la commune de Mudingayi, en présence des autorités politiques et administratives de la province.
Ils comprennent la suppression des nids-de-poule, la réhabilitation des bourbiers sur plus de deux kilomètres de route, le reprofilage de la plateforme routière sur une largeur de 10 mètres, le rechargement, le compactage du sol ainsi que l’élagage des arbres.
Les principales artères concernées par ces travaux sont l’avenue Kabambare, qui relie la ville à la mission Kalonda, ainsi que les avenues Kabinda, Kande et Ludimbi.
Il a également exhorté la population de Kabinda à s’approprier ces projets d’infrastructures routières et à en assurer la préservation.

Accompagné de certains cadres notamment l’actuel ministre de la communication et médias Patrick Muyaya et le député national Garry Sakata, Godefroid Mayobo a indiqué que le prochain gouvernement d’union nationale doit être «l’aboutissement de plusieurs étapes qui consisteraient à refaire d’abord la cohésion nationale, l’unité nationale, pour recouvrer l’intégrité du territoire».
À l’en croire, ça doit être un gouvernement de devoirs et non plus un gouvernement de jouissance.
Les consultations politiques sont basées sur des principes tels que la suprématie de la Constitution, l’unité nationale, l’intangibilité des frontières et une gouvernance inclusive, a précisé le directeur de cabinet du conseiller spécial.
Toutefois, une partie de l’opposition reste réticente et privilégie le « pacte social » porté par les églises catholique et protestante.
Quatre catégories d’acteurs participent aux discussions : la majorité de l’Union sacrée, l’opposition parlementaire et extraparlementaire, la société civile, ainsi que des personnalités indépendantes, notamment d’anciens candidats à la présidentielle et figures publiques influentes.