RDC: les femmes invitées à s’intéresser à l’ingénierie clinique

Kinshasa, 31 mars 2025(ACP).- L’implication du gouvernement de la République Démocratique Congo, à travers un engagement ferme, a été sollicitée dimanche lors du concert livré par l’orchestre Bana Odemba, en hommage à Lutumba Simaro Masiya, en vue de pérenniser son œuvre, six ans après sa disparition.
« L’héritage musical du poète Lutumba Simaro est un patrimoine ; il ne doit pas tomber dans l’oubli.
« Ses œuvres témoignent, en effet, sa capacité de transformer des faits sociaux en œuvres musicales profondément émouvantes.
Malheureusement, ses multiples chansons sont aujourd’hui exploitées par ceux qui ne sont même pas dignes d’être considérés comme ses héritiers, au moment où nous, ses témoins vivants, nous nous battons, parfois avec nos larmes.
Nous y consacrons un temps inimaginable pour le bonheur des mélomanes (…) », a-t-il indiqué.

Le président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, séjourne à Luanda où il a été reçu, ce mercredi 26 mars 2025, au Palais présidentiel, par son homologue angolais, João Lourenço.
La page Facebook de la République d’Angola qui a révélé cette information, promet de communiquer incessamment le contenu des échanges entre les deux chefs d’État.
Notons que cette visite surprise de Félix Tshisekedi intervient quelques jours après que l’Angola a annoncé sa démission de son rôle de médiateur entre la RDC et le Rwanda conformément au processus de Luanda visant à résoudre la crise sécuritaire dans l’Est de la RDC.
Lors d’une réunion interinstitutionnelle tenue ce mardi, Félix Tshisekedi a informé les différents chefs d’institutions étatiques de la fusion des processus de Luanda et de Nairobi, officialisant ainsi la disposition de Kinshasa à négocier avec les rebelles.

Avec une demande croissante en logements, en infrastructures et en bâtiments commerciaux, le pays a vu émerger un véritable boom immobilier ces dernières années.
Cependant, l’imposition d’une Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) de 16 % sur les matériaux de construction soulève de vives inquiétudes parmi les acteurs du secteur.
Elle alourdit la facture finale pour les promoteurs et, par ricochet, pour les acquéreurs et locataires.
Or, en augmentant le coût des matériaux, la TVA de 16 % rend la construction plus coûteuse et donc les logements moins abordables.
L’imposition d’une TVA de 16 % sur les matériaux de construction risque de ralentir considérablement le boom immobilier en RDC, avec des conséquences négatives sur l’accès au logement, l’emploi et la croissance économique.