Kasaï-Central : le Président Félix Tshisekedi annoncé à Kananga fin décembre

L’exécution de ce projet a été confiée à la société Kivu développement dans le cadre d’un partenariat public-privé, un modèle qui devrait garantir l’efficacité, la rapidité et la durabilité des travaux.
L’amélioration de la Route nationale numéro 2 (RN2) représente une étape essentielle afin de rendre praticable et renforcer la connectivité entre les Chefferies et Territoires du Sud-Kivu.
Ces derniers ont également formulé des recommandations pour garantir que les travaux se déroulent dans les meilleures conditions possibles.
Le projet de réhabilitation de la Route nationale numéro 2 (RN2) constitue une avancée importante pour le Sud-Kivu, et il s’inscrit dans une dynamique de développement visant à améliorer les infrastructures routières, à stimuler l’économie locale et à améliorer la qualité de vie des habitants de la province.
Grâce à l’engagement du gouvernement provincial et du soutien du gouvernement central, a indiqué la même source, la province du Sud-Kivu est sur le chemin de la modernisation de ses infrastructures essentielles.

Les rebelles se serviraient de ces civils comme chair à canon, les exposant à des dangers mortels.
Parallèlement, les FARDC dénoncent l’occupation par le M23 de lieux civils tels que les églises, les écoles et les hôpitaux.
Les soldats congolais invitent les recrues forcées et les habitants des zones occupées à quitter les positions des rebelles, afin d’échapper aux combats.
L’utilisation des civils comme boucliers humains est une pratique condamnable par le droit international humanitaire.
Elle vise à protéger les combattants en les mêlant à la population civile, rendant ainsi toute intervention militaire plus difficile.

Mbuji-Mayi, 16 décembre 2024 (ACP).– Les capacités des infirmiers leaders ont été renforcées par l’Ordre national des infirmiers du Congo (ONIC), dans la ville de Mbuji-Mayi, chef-lieu du Kasaï-Oriental (au centre de la République démocratique du Congo), a appris l’ACP lundi lors d’un entretien avec la présidente de cette structure.
Il doit s’auto former et être formé, et les organes du conseil de l’ordre des infirmiers ont le devoir de former», a fait savoir Mme Henriette Misenga, présidente a.i de l’ONIC au Kasaï-Oriental.
Je répercute les recommandations du président national lors du dernier congrès ; il a le souci de voir les infirmiers être à la hauteur, à la page.
Mme Misenga a, par ailleurs, appelé les infirmiers à cultiver l’esprit de recherche afin d’augmenter leurs connaissances et s’adapter aux progrès de la science.
Elle a conclu par demander aux infirmiers leaders de pouvoir répercuter auprès des autres les notions apprises lors de cette formation.