Criminalité à Kinshasa : d’où proviennent les armes utilisées par les braqueurs ?

La loi qui régisse le secteur foncier en vigueur en RDC, stipule que les ménages ciblés par un projet d’expropriation pour cause d’utilité publique ont droit a une indemnisation juste et préalable, calculée sur la base de la valeur réelle de leurs biens.
Cependant, ce principe n’est souvent pas respecté chez certains particuliers à qui l’Etat congolais demande de quitter le lieu pour la construction d’un ouvrage d’intérêt public tels que les routes, les ponts, les voies ferrées, etc.
– Quelle est la procédure à respecter en cas d’expropriation pour des raisons d’utilité publique ?
Jody Nkashama s’entretient sur ce sujet avec Me Eshimata Ngimbi Kevin, avocat d’affaires et assistant à la Faculté de droit de l’Université de Kinshasa.
Alfred Kibiswa, charger de plaidoyer adjoint de la Confédération Nationale des producteurs agricoles du Congo (CONAPAC) a aussi pris part à cet entretien.

2025-03-272025-03-272025-03-272025-03-27Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/03-mars/24-30/felix_tshisekedi_et_joseph_kabila_250.jpegDevant la crise sécuritaire qui secoue le pays, particulièrement en sa partie est, les Forces spéciales de la République ont lancé un appel retentant.
L’unité nationale, une priorité absoluePour les Forces spéciales de la République, les querelles politiques doivent céder la place à l’intérêt supérieur de la nation.
Un appel à la grandeur et à la responsabilitéEn tant que « père de la nation », le président Tshisekedi est appelé à rassembler tous les Congolais.
Ce geste, selon les Forces spéciales de la République, enverrait un message fort aux ennemis de la RDC et marquerait un acte de grandeur.
Un plaidoyer pour l’unité et la réconciliationMalgré leurs divergences, les Forces spéciales de la République se disent « tous les Congolais et amoureux de la République ».

Onze personnes ont été condamnées mercredi 4 décembre, à des peines allant de 20 ans de servitude pénale à la peine capitale à Biakato dans le territoire de Mambasa (Ituri).
La plupart des condamnés ont été reconnus coupables d’association de malfaiteurs.
Parmi les seize prévenus qui ont comparu devant le Tribunal militaire garnison de l’Ituri, huit sont condamnés à la peine capitale.
Les huit condamnés à mort ont été reconnus coupables d’association de malfaiteurs, vol à mains armées et extorsion.
Il s’agit pour la plupart de bandits armés, qui ont commis plusieurs exactions dans la région de Biakato.