Des biens de Nangaa mis aux enchères

Le Chef de l’État s’est engagé à réhabiliter 38 000 kilomètres de routes de desserte agricole prévus dans le PDL-145T, ainsi que 11 423 kilomètres de routes prioritaires supplémentaires, en un délai d’un an.
Ce programme inclut également l’aménagement de 11 432 kilomètres de voies navigables destinées à la desserte agricole et la construction d’entrepôts portuaires adaptés.
Ces initiatives visent à désenclaver les bassins de production, dynamiser les économies rurales et renforcer la sécurité alimentaire à travers le pays.
Le projet de loi des finances 2025, soumis à l’examen du Parlement, alloue des ressources importantes à ces investissements.
Les travaux incluent également l’installation de réseaux d’eau potable et de microcentrales photovoltaïques, ainsi que la construction de marchés modernes et d’espaces de vie dans les zones rurales.

2024-12-202024-12-202024-12-202024-12-20Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/makombo_mwinaminayi_roger_nomme_a_la_demiap.jpgLes Renseignements militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) (Ex-Demiap) ont désormais un nouveau chef à leur tête.
Il s’agit du général-major Makombo Mwinaminayi Jean, nommé sous-chef d’État-Major chargé des renseignements militaires, à la suite d’une ordonnance présidentielle lue le jeudi 19 décembre 2024 sur les ondes de la Radio-Télévision nationale congolaise (RTNC).
Ces nominations au sein de l’armée congolaise interviennent dans un contexte où l’armée rwandaise et ses supplétifs (M23) continuent d’opérer sur le sol congolais.
Il s’agit d’une stratégie élaborée par la RDC pour dissuader les groupes armés qui affligent cette région, semant la désolation parmi les populations de l’Est.
Ces nominations sont saluées par de nombreuses personnes en raison de la détérioration du climat sécuritaire dans les deux provinces sous état de siège.

Dans un communiqué du lundi 6 janvier dernier, Florimond Muteba avait annoncé le retrait de sa structure du partenariat Société civile-IGF à cause notamment de la suspension de la patrouille financière au sein des entreprises publiques.
Cette affirmation a été totalement démentie par l’IGF, qui indique que la patrouille financière a été suspendue dans certaines entreprises publiques pour évaluer si son caractère pédagogique a porté ses fruits, mais n’a jamais été supprimée.
« La chaîne de la dépense publique est sous patrouille financière depuis trois ans.
Au niveau de certaines entreprises publiques comme le Foner, le FPI, et l’autorité de régulation de la sous-traitance, nous sommes là avec la patrouille financière, que nous avons réinstaurée il y a de cela deux mois.
Pour le mois de janvier, nous allons encore nous déployer », avait soutenu l’IGF dans une interview à ACTUALITE.CD.