Tanganyika : plus de 200 cas suspects de Mpox notifiés depuis le début de l’année 2025 à Moba

La fédération Kasaï 3 de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS Tshisekedi) qualifie de “calamiteuse” la gestion de la province du Kasaï par le gouverneur Chrispin Mukendi Bukasa, membre du même parti politique.
Dans une déclaration faite à 7SUR7.CD ce mardi 18 mars 2025, le président fédéral de l’UDPS Kasaï 3, Donat Muamba, estime que la gestion de la province par l’UDPS, n’a pas répondu aux attentes de la population.
“Jusqu’à présent, la gestion est calamiteuse, on ne peut pas apprécier quelque chose qui ne marche pas.
Depuis que Mukendi est gouverneur, il n’a jamais reçu la délégation de l’UDPS.
Il faut signaler que le gouverneur du Kasaï, Chrispin Mukendi Bukasa, est membre du parti politique UDPS Tshisekedi.

De violents combats se poursuivent dans la province du Nord-Kivu entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23 soutenus par Kigali.
Ces actions ont permis la neutralisation des opérateurs ennemis des drones, la destruction de six drones kamikazes, ainsi que la reconquête des localités de Kasiki, Luanga, Ndoluma et Mambasa.
De lourdes pertes en vies humaines ont été enregistrées du côté des agresseurs”, rapporte le compte rendu de la réunion.
Kigali insiste sur une négociation préalable avec les rebelles du M23, une option catégoriquement rejetée par Kinshasa.
“Nous ne négocierons jamais avec le M23”, avait affirmé Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement, lors d’un briefing de presse.

« Les FARDC et leurs alliés ont effectué des frappes aériennes sur Kalehe et Ihusi le 12 février, causant de lourdes pertes parmi la population civile », accuse l’AFC/M23.
Dans le même communiqué, l’AFC/M23 affirme que les FARDC et leurs soutiens ont fui Bukavu après leur défaite, laissant la ville livrée à elle-même.
« Nous exhortons la population à ne pas céder à la panique et à désigner des responsables intègres pour assurer la sécurité de la ville », insiste l’organisation.
Selon le groupe, la présence des militaires Burundais à Nkomo, Nyangezi et dans la plaine de la Ruzizi alimente les violences ethniques et aggrave la crise humanitaire.
« Ces forces étrangères doivent quitter la RDC sans délai », affirme le mouvement, dénonçant l’impact de leur intervention sur la population locale.