Doha : un cessez-le-feu immédiat décidé entre la RDC et le Rwanda, explique la présidence congolaise

Les injures, marque de mépris, de dégradation, ont envahi nos rues, nos écoles, nos foyers.
Kinshasa, en particulier, est devenue le théâtre d’une explosion de violence verbale, où les insultes à caractère sexuel règnent en maîtres.
Un langage qui, selon les experts, laisse des cicatrices profondes sur l’éducation et le psychisme de nos enfants.
Aujourd’hui, nous plongeons au cœur de ce magazine, qui donne la parole à ceux qui subissent cette violence : des enfants, qui expriment leur désarroi et leurs attentes, des parents, qui partagent leur inquiétude, mais aussi des acteurs de la rue, chauffeurs de taxi, de bus, conducteurs de moto, communément appelés “wewa”.
“Injures publiques : des mots qui blessent, des enfants qui trébuchent” : Nous brisons le silence sur un fléau qui gangrène notre société !

Kamituga, 7 décembre 2024(ACP).- Une personne a trouvé la mort et deux autres blessées dans un accident de circulation routière samedi à l’Essence sur l’artère principale de la ville de Kamituga, au Sud-Kivu dans l’Est de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP de source locale.
Le motocycliste mort sur le champ et ses deux passagers transportés ont été blessés », a déclaré Alexandre Bundya M’pila, maire de Kamituga, peu après sa visite sur le lieu de l’accident.
Le responsable de la coordination des taximen et des motocyclistes au Congo « COTAM », Wenceslas Lusambya Bugoma, a appelé tous les motocyclistes à l’apaisement et à maitriser leurs émotions, en attendant le verdict de la police.
Le représentant régional des musulmans dans les territoires de Mwenga et Shabunda, Aruna Riziki, a reconnu le drame survenu à la mosquée de Kamituga.
« Je lance un cri d’alarme aux autorités et aux personnes de bonne volonté pour nous aider à construire notre mosquée qui vient d’être détruite dans cet accident de circulation routière.

Gisèle Nzundu Kukwela : Je suis assistante et chercheure en sciences de l’information et de la communication de l’Université de Bandundu.
Le soutien aux intérêts étrangers semble avoir primé sur les droits humains et la justice, reléguant la lutte pour la paix et la sécurité des Congolais au second plan.
Cette lutte difficile ne doit pas être abandonnée, car les Congolais méritent la paix, la justice et la reconnaissance de leur souffrance sur la scène internationale.
Ces mobilisations peuvent changer la dynamique, en mettant la pression sur les grandes puissances et en faisant entendre la voix du peuple congolais.
Cela pourrait également encourager l’autonomie et la résilience, réduisant ainsi la dépendance vis-à-vis de l’aide étrangère.