Contrat Chinois : “il ne revenait pas aux négociateurs de modifier les dispositions d’une loi” réplique l’IGF aux allégations de CNPAV

2025-02-042025-02-042025-02-042025-02-04Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/02-fevrier/03-09/maisons_incendiees_a_irumu_ituri_25.jpeg4 civils ont péri dans une incursion signée par des présumés combattants Ougandais des Forces démocratiques alliées (Adf), dans la soirée de dimanche 2 février 2025, au village Ndimo, en chefferie des Walese-Vonkutu, territoire d’Irumu (province de l’Ituri).
L’attaque a eu lieu proche d’un camp militaire des FARDC-UPDF, a expliqué Christophe Munyanderu Mumbere, responsable de l’organisation citoyenne, convention pour le respect des droits de l’homme en territoire d’Irumu qui ajoute que 4 personnes seraient également blessées et des maisons incendiées.
“La population sous une forte émotion se demande si réellement les autorités de l’état de siège et le gouvernement Congolais se soucient d’elle.
Ils ont attaqué un endroit proche des FARDC-UPDF, comment ces forces n’ont pas stoppé les barbaries des rebelles ?
Cette nouvelle exaction rebelle intervient après celle du jeudi 30 janvier 2025 où 28 civils ont été tués dans les villages Ndalya Salamu na Bibi, Kathwakasoya et Mataha, dans la même chefferie des Walese-Vonkutu.

L’Église du Christ au Congo (ECC) va convoquer son Comité exécutif national pour aborder plusieurs défis nationaux, notamment le débat autour de la Constitution de 2006 et la situation sécuritaire dans l’Est du pays.
Dans un communiqué, le président national de l’ECC, le révérend André-Gédéon Bokundoa-bo-Likabe, a souligné la nécessité pour l’ECC de jouer un rôle actif dans l’évolution de ces discussions.
Il a appelé les Congolais à privilégier un cadre consensuel et apaisé pour traiter des questions touchant à l’intérêt supérieur de la nation.
L’ECC propose des solutions idoines et consensuelles face aux défis susmentionnés », a déclaré le Révérend Dr. Bokundoa.
Depuis des semaines, le Président Félix Tshisekedi a annoncé, la mise en place d’une commission multidisciplinaire qui va réfléchir sur la possibilité de révision ou de changer la constitution congolaise.

L’expansion territoriale du M23 au Nord-Kivu et les déplacements massifs de populations montrent que la situation humanitaire s’est drastiquement détériorée.
Nous devons agir maintenant», a déclaré Bintou Keita, lors de la session extraordinaire du Conseil des droits de l’homme sur le carnage perpétré par ces terroristes dans la ville de Goma.
«Nous faisons face à une avancée sans précédent du M23 et des forces armées rwandaises depuis le début de cette année.
Vous en avez la démonstration assumée et décomplexée, et le risque d’embrasement dans la région des Grands Lacs est aujourd’hui à prendre en considération».
«Cette commission aura pour mission d’établir la vérité sur les auteurs de ces crimes et rendre des recommandations pour en tenir lesdits auteurs responsables» a-t-il ajouté.